Pour l’instant il ne s’agit que d’un accord signé entre l’Arcep et la Ratp, mais qui va dans le bon sens. Le premier rapport de l’autorité ne sera publié qu’en 2017, la Ratp et les opérateurs ont donc encore du temps pour peaufiner la qualité du signal en 3G et en 4G, dans les rames et dans les stations.
RATP et ARCEP signe un accord pour garantir un bon réseau 3G et 4G
L’Arcep a dévoilé : « des campagnes des mesures de la couverture et de la qualité des services disponibles, lancées il y a 2 ans et qui sont essentielles, dans ce contexte, afin de pouvoir disposer d’une vision précise et dynamique de la qualité de service par opérateur mobile ».
L’objectif de ces futurs rapports est évidemment d’inciter les opérateurs à augmenter leurs efforts d’investissements, afin d’offrir un réseau de qualité aux Français dans le métro et les RER. Le régulateur des télécommunications veut donc jouer un rôle important pour accentuer le déploiement de la 3G et de la 4G dans les transports. Comme le révèlent plusieurs sites spécialisés de nombreuses lignes de métro ne disposent peu ou pas de réseaux, et le déploiement ne semble pas suivre un déploiement fluide sur plusieurs tronçons.
Si l’on se souvient des propos de la direction de la RATP au lancement des travaux de mise en réseau, cette dernière promettait la fin des installations fin 2016, on sait aujourd’hui que cela sera impossible. C’est d’ailleurs pour cette raison que la régie autonome du transport parisien avait déclaré il y a quelques semaines que les travaux prendraient fin en 2017, mais là encore il va falloir accélérer le processus.
L’arrivée d’un rapport en 2017 devrait donc pousser les opérateurs à travailler dans ce sens pour ne pas afficher une mauvaise qualité de signal et des zones blanches trop importantes sur ce premier rapport.
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