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5 raisons de combattre les nouvelles-technologies au quotidien

Frappé par la manière dont les nouvelles technologies (et notamment le smartphone, les réseaux sociaux et les mails) ont changé ma vie, j’ai décidé de reprendre le contrôle.

S’il fallait définir Presse-Citron aujourd’hui… je pense qu’une définition honnête serait de dire qu’il est un site d’actualité sur l’innovation sous toutes ses formes.

Nous avons ainsi tendance à glorifier l’innovation dans ce qu’elle apporte dans nos vies.
Depuis sa création, Internet a été dépeint comme un vecteur de liberté… un moyen d’échanger avec une personne à l’autre bout du monde de manière instantannée, sans contraintes.
Mais avons-nous toujours notre liberté ? J’ai décidé de faire le point sur mon utilisation des nouvelles-technologies pour les remettre “à leur place”.

1. Le téléphone, comme nouvelle cigarette

Le réveil sonne. Vous ouvrez les yeux. Vous tendez le bras pour, non pas saisir et allumer une cigarette, mais pour saisir et allumer votre téléphone.
Il est devenu le premier réflexe de très nombreuses personnes. Puis, tout au long de la journée, vous allez le consulter sans cesse pour répondre à un besoin irrépressible.
Vous pensez pouvoir arrêter quand vous le souhaitez ? Pouvoir contrôler cette envie ? Ce n’est malheureusement pas le cas.
D’après une enquête ebay menée auprès des femmes, 92% des françaises seraient incapables de passer une journée sans smartphone et 9% d’entre elles, préféreraient perdre leur animal de compagnie plutôt que leur smartphone.
Est-ce que c’est votre main que je vois trembler ? Allez, ouvrez la fenêtre de vos mails… une nouvelle promotion Priceminister vous attend peut-être !

2. Pas de temps mort grâce au téléphone

Auparavant, vous aviez immanquablement des temps d’attentes, des moments pour ne rien faire… pour méditer.
Pour exemple, alors que vous vous dirigiez vers votre lieu de travail en transports en commun, vous fixiez droit devant vous, vous observiez les personnes alentours, vous profitiez d’un bon bouquin.
Aujourd’hui, le smartphone est venu engloutir l’ensemble des micro-moments de votre vie où vous étiez oisif.
Sortir son téléphone est devenu le nouveau réflexe par défaut lorsque vous devez attendre plus de 5 secondes pour quoi que ce soit.
Vous êtes Passager dans une voiture : Facebook.
Dans le train : Angry Birds.
Dans la file d’attente pour acheter une glace : Feedly.
Un bref moment de silence dans une conversation : Mail.
En effet, profiter du silence dans une conversation est devenu impensable. S’il y a un blanc, il faut le combler par la présence froide du smartphone.

3. Internet pour masquer vos pensées personnelles

Conséquence directe du point précédent, le smartphone est venu colmater chaque instants où vous aviez l’occasion de réfléchir. Comme si vous aviez peur de vous retrouver seul avec vous-même.
Prendre du recul sur soi, sa vie, ses aspirations… est ainsi devenu complexe puisque vous préférez parasiter vos propres réflexions en lisant des tweets de personnes que vous ne connaissez pas vraiment.
Waouw, ce gars lambda vient de dire quelque chose d’intelligent ! Il faut le retweeter.

4. Le besoin de partager ce que l’on voit sur Facebook, Twitter

Que les réseaux sociaux changent ma manière de travailler et ma relation avec mes amis… okay ! Mais pourquoi faut-il qu’il change aussi mon rapport au monde.
Je me souviens d’une époque où, en vacances en montagne, j’avais profité des paysages un sourire aux lèvres avant de manger un bon repas en famille… à discuter pendant des heures. Et cela me suffisait comme notion de partage.
Maintenant, “partager” signifie que le premier réflexe devant un beau paysage, devant une belle assiette, c’est d’en prendre une photo pour l’exposer sur la place publique (après lui avoir appliqué un filtre sépia).
Est-ce qu’il s’agit de partage ? Ou est-ce que l’objectif est de chercher une sorte d’assentiment d’amis lointains ?

5. Empiéter sur les conversations face à face

A force d’y partager les petits et grands bonheurs de votre vie, les personnes qui sont le plus proches de vous apprennent des informations capitales sur les réseaux sociaux.
J’ai ainsi pu avoir une conversation avec mon frère qui était déjà au courant d’une bonne nouvelle grâce à Facebook… et qui regrettait que l’information soit d’abord communiquée de manière indéfinie avant d’arriver à ses oreilles de manière personnelle.
Inutile de dire qu’un silence gêné à suivi cette discussion… j’ai donc évidemment sorti mon smartphone pour combler le silence.

Resistance

Il ne faut pas mal me comprendre… les nouvelles-technologies sont la meilleure chose qui me soit arrivée. Je suis véritablement passionné par mon métier et par les innovations que je couvre chaque jour.
Mais ce monde d’informations, d’instantanéïté, de notifications, n’a pas que du bon.
Pour moi, l’heure est venue de combattre les nouvelles-technologies… de me dresser face à elle pour en prendre le contrôle.
Décider quelle place elles ont dans ma vie… et quand est-ce que je souhaite m’aménager un peu de temps sans elles. Je vous ferais évidemment une narration de ce combat de chaque instant dans d’autres articles.

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Par : Opera
34 commentaires
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  1. Comme pour toutes activités plaisantes, l’utilisation des nouvelles technologies sont addictives, il y aura toujours ceux qui deviendront dépendant, ceux qui sauront faire la part des choses et ceux entre les deux 😉

  2. j’ai exactement le même ressenti sur la plupart des points que tu évoques. Je pense que cette démarche de se réapproprier nos vies est difficile, mais avec des petits points d’efforts bien précis, des règles en fait, on arrive pas trop mal…
    Par exemple je ne sors pas mon smartphoen quand je suis avec des amis

  3. Pour le point 4, c’est bon, j’ai pas instagram, et mon compte Facebook n’est pas harcelé de photos.

    D’ailleurs, on m’a reproché de ne pas avoir pris des quantités phénoménales de photo pour le mariage de ma nièce. En revanche, j’ai bien pris le temps de profiter de la journée 😀

  4. Ouf, c’est dur la réalité dans la face le vendredi matin 😉 Mais oui x 5 . Je m’étais aussi jurée de ne pas me faire envahir, pleine de bonnes résolutions. Un moment inattention, un coup de fatigue et bim! je reposte des photos de bouffe sur Instagram.
    Merci pour cette piqûre de rappel, je vais bosser dehors et sans réseau…! 🙂
    Bonne journée!

  5. Bon article dont je partage tous les points.
    On a trop tendance à créer une relation d’équivalence entre le Progrès et la Technologie alors même que l’évolution actuelle de la technologie, en nous promettant une vie plus simple et “efficace”, tend à nous rendre dépendant voire esclave.

  6. Pour le point numéro 2, il suffit de se déplacer avec de quoi faire (pour ma part j’ai souvent une BD dans mon sac) pour en profiter lors des déplacements comme le train ou le métro. C’est un réflexe à prendre mais si on est équipé on se détourne facilement du téléphone.
    Pour le point 3 je pense qu’Internet ne façonne pas notre pensée mais nous permet de développer notre manière de voir les choses tout en nous enrichissant les uns des autres. Il faut bien évidemment savoir décrocher comme tu l’indiques pour s’adonner à quelques réflexions personnelles qui nous aiderons à construire notre propre philosophie loin d’Internet, mais influencée par ce que l’on a pu lire et voir.
    Courage dans ton combat ! (je trouve perso que le PC portable est bien plus addictif que le smartphone :D)

  7. merci pour cet article dont je partage l’idée.
    j’ajouterai pour ma part un questionnement familial : quelle image de la vie suis en train de donner à ma fille de 2 ans, qui voit en presque permanence son pere avec un smartphone en main , comme si c’etait le prolongement de son bras ?
    quel argument aurai-je pour lui en refuser un quand elle en demandera un (sûrement trop tôt à mon goût) ?

  8. “92% des françaises seraient incapables de passer une journée sans smartphone”

    Il y a comme un petit pb dans la phrase ? faudrait-il que 92% des françaises aient un smatphone …je pense que nous n’y sommes pas.
    D’ailleurs ce post reflète une certaine catégorie de la population ..celle-la même qui vient sur ce site donc effectivement ça colle plutôt bien au public visé. Mais c’est quand même loin de la majorité. Il y a encore beaucoup de personnes qui passent une journée sans relever leurs mails, qui n’allument pas un PC de la journée et qui ont un téléphone qui peut resté une semaine sans être rechargé …si si.

  9. Je suis en train de lire cet article depuis… feedly. Et je suis entièrement daccord. Pour ma part et afin de pas être submergé au quotidien, j’ai simplement désactivé TOUTES les notifications de mes appli (sms compris). Et je dois dire que au final ca me repose le cerveau …

  10. Je suis totalement d’accord. Je suis le premier à le reconnaître on s’est laissé envahir par la nouvelle technologie. J’ai pris mes distances avec Facebook et autres réseaux sociaux. Je ne veux pas ou plus céder à cette “tentation” de passer par ce biais pour parler aux gens (famille proche ou amis)
    Je crois que ce qui m’a fait le plus sourire c’est de voir un couple discuter sur FB alors qu’ils étaient l’un à côté de l’autre …

  11. Il faudrait préciser que cet article cible le geek de base accro à son smartphone, loin de représenter la majorité des utilisateurs. Quant aux ado accro à FB, c’était la même chose il y a 10 ans avec les texto et snake, rien de nouveau sous le soleil.

  12. A cet article intéressant et malheureusement trop vrai, j’ajouterais:

    6. Le besoin de partager ce que l’on ressent vis-à-vis des nouvelles technologies et des nouvelles habitudes sur Presse-Citron

    😉

    Heureusement, cet article ne concerne pas tout le monde et il existe encore des gens qui fixent droit devant eux, observent les personnes alentours ou profitent d’un bon bouquin dans les transports 🙂 J’en vois tous les jours 🙂

  13. @Toh : ça existe des gens qui passent une journée sans relever leurs mails ??!? Oh my god!

    En effet, cet article est probablement un poil ethnocentrique, mais c’est assumé.

  14. @Chasseur immobilier : J’ai un smartphone, je bosse dans le web, j’ai des amis, une femme et une fille, je ne vis pas sur une ile deserte et pourtant :
    – Je n’ai pas de compte facebook
    – Pas de twitter, instagram, et j’en passe
    – Je ne réponds pas à un email quand je le vois sur mon tel

    Je pourrais continuer longtemps comme ça la liste. C’est pas une question de génération ou d’addiction ou d’imitation… Juste savoir la ou vous voulez mettre du temps et peut-être se rappeler aussi que toutes ces techno que j’adore, sont des outils. A mon sens on doit en être “maitre” pas “esclave”.

    Un conseil pour les courageux, faites vous 2 mois sans facebook et twitter, vous allez voir, vos amis vous aimes encore !!!

  15. “Nous avons ainsi tendance à glorifier l’innovation dans ce qu’elle apporte dans nos vies.” Et oui, l’homme est comme ça, c’est le “progrès”. On se créer de nouveaux besoins continuellement.

    Je crois pas qu’on puisse y faire grand chose. Les jeunes y sont habitués, les générations plus anciennes ont du mal, comme d’habitude.

  16. Je ne partage pas, du moinsen ce qui *me* concerne :

    point1: mon téléphone n’est jamais éteint, je n’ai donc pas à le rallumer.

    point2: lorsque j’ai un temps libre, je lis. Que ce soit grâce à mon téléphone, est, je pense secondaire.

    point3-4 et 5 : je suis viscéralement allergique àtout ce qui se rapproche de près ou de loin aux réseaux sociaux.

  17. ça compte si on lit des livres sur une liseuse dans le train? Les “nouvelles technologies” ne sont que des outils parmi d’autres. Même si je dois admettre regarder chaque matin ma boite email perso en me levant qui contient moins de choses importantes que ma boite pro qui elle attendra mon premier café pour être consultée.

  18. Article intéressant qui révèle et relève ma façon de penser depuis quelques temps… Les réseaux sociaux au départ c’est une bonne chose puis ça vous pourrit la vie … Surtout qd des soit disant amis veulent prendre de vos news ms juste pour gangrener la suite… Internet sera un outil de travail désormais … Les 5 points sont bien ciblés et reflètent la réalité ….

  19. J’ai 2 tél, un qui fait tél et uniquement tél, en version militaire, vous voyez la version incassable que j’avais acheté il y a plus de 5 ans pour mon boulot. En stand-by il tient plus de 1 semaine, le gros délire, c’est juste impensable avec un smartphone aujourd’hui. Celui là me sert de mobile d’urgence. Mon smartphone j’ai plus l’impression qu’il est greffé à ma main. En tous cas c’est sûr que si l’on ne ce met pas des directives on est très vite submerger d’infos et l’on se perds sur le net. Mon piège à moi c’est les vidéos. Ma méthode c’est de désactivé les réseaux GSM et Wifi sur mon mobile, à certain moment précis (Au ciné, resto, avec des amis…) et pendant certaine heures de la journée. Et là du calme 🙂 C’est ma méthode parce que jeté mon mobile j’ai testé, non ce n’est juste pas possible. Par contre avec modération c’est jouable.

  20. Je ne suis pas totalement d accord avec cet article … je suis profondément geek … oui je consulte tres régulièrement whatsapp , email, facebook, googler reader ( euh …. feedly … pardon :-p ) … et pourtant je n ai jamais perdu se besoin de me retrouver avec moi meme et mediter, reflechir sur le monde et la vie … c’est trop facile de mettre ça sur le dos de nos chers Smartphones …

  21. Bizarrement j’ai un smartphone et je bosse dans le web, et je me retrouve dans aucun des 5 points.
    D’ailleurs, en faisant un peu d’archéologie, on peut retrouver le même genre d’article au sujet de la télé.

    C’est peut être pas les nouvelles technologies le problème, mais l’auteur de l’article 😉

    En passant : voilà le retour d’expérience d’un type qui a vraiment tenté d’arrêter les nouvelles technologies :
    http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/05/02/deconnexion-retour-dexperience-apres-une-annee-passee-sans-internet/

  22. Tout a fait d’accord avec Azd et Benjamin, je trouve que cet article reflète une vision très superflu et subjective des choses.
    C”est, je trouve, un premisse d’essai pseudo-philosophique qui ne cherche pas à aller plus loin que les clichés conventionné ( et rabâché) par les médias.
    (par exemple : il est dit qu’il y à une diminution de l’intensité des relations à courte distance, mais au profit de quoi ?..Je pense que la question mériterait d’être traité dans ce genre d’article et pas seulement dans le monde (pompeux) universitaire de l’information et de la communication)
    Tout est question de raison et de jugement à mon avis.

  23. Bonjour, bon article, je ne pense pas que les nouvelles technologies déjà sont le futur, ils sont le présent, (Smartphone, portable, mails, Instagram, réseaux sociaux….). Qui ne nous les connait pas ? Qui ne les utilise pas ?
    Sûrement, je ne sais pas vivre sans smartphone, surtout aujourd´hui qui nous sommes confinés, je l´ai utilisé pour rechercher une recette de cuisine, des exercices sportifs, pour voir séries, pour beaucoup plus des choses comme faire vidéos avec la famille et mes amis, donc pour Ça ils sont très, très, utiles, en revanche je n´aime pas partager une photo chaque moment de ma vie a les réseaux sociaux.
    Je me contredis toujours sur l´utilisation des nouvelles technologies, d´une côte je pense qu´elles sont nécessaires elles nous aidons au quotidien mais par contre je pense que beaucoup de fois elles sont superflus, pourtant je propose que le débat devrais être sûr comme nous pourrions utiliser les nouvelles technologies de façon responsable.

    1. J’ai internet au bureau et à la médiathèque (donc pas tous les jours). Je n’ai pas de smartphone. Juste un téléphone fixe et un mobile basique que j’active avec une carte prépayée quand j’en ai vraiment besoin. Dans les transports je lis un vrai livre.
      Je pense que les gens se sont créés un besoin auquel ils sont devenus accros, comme un drogué qui ne peut plus se passer de sa dose. Pourtant avant de se droguer, il vivait bien sans, non ?
      Et je ne vous dis pas les économies que je fais :
      – pas d’achat d’ordinateur, d’imprimante, de smartphone etc…
      – pas de frais mensuels d’abonnement
      – du temps pour faire autre chose, pour dormir…
      Beaucoup de gens qui possèdent les “nouvelles technologies” sont au SMIC et ne mangent que des patates. Cherchez l’erreur…
      Malheureusement, je suis considérée comme bizarre quand je dis que je n’ai pas internet, pas de smartphone, on me prend pour une extraterrestre, c’est pourquoi je suis venue sur ce site pour essayer de comprendre…

  24. A la lecture de cet article, j’ai été trés surprise pour l’information : “92% des françaises ne pourront pas passer un journal sur un smartphone et 9% d’entre elles, ont préféré perdre la compagnie plutôt animal que le smartphone”.
    Je pense qu’aujourd’hui nous avons tous un certain besoin, peut-être imposé par la société dans laquelle nous vivons, d’avoir toujours le smartphone en main. Je dois admettre que j’utilise habituellement le smartphone (whatsapp, email, google…) pour le travail et pour les loisirs, mais préférer le téléphone à une vie, me semble assez sérieux.
    Á mon avis, nous devrions être suffisamment responsables pour savoir comment différencier le besoin de la dépendance. Et de cette façon, même avoir la capacité de laisser de temps en temps le téléphone á la maison. Je crois que c’est serait très sain pour notre santé mentale et le bien être de notre relation avec les autres, sans écrans entre nous.

  25. je n’ai sûrement pas le même avis puisqu’étant jeune adulte j’ai presque grandi avec les tecnologies.
    du haut de mes 18 ans je considère que internet et les smartphones sont les meilleures inventions du siècle.
    je n’utilise pas internet aux même fins que mes parents ou enfants de la génération suivante.
    pour moi internet et les réseaux sociaux notamment sont une source infinie de savoir, d’ouverture d’esprit et de partage.
    grâce aux réseaux sociaux j’ai beaucoup appris sur moi même comme sur beaucoup de sujets extrêmement importants auxquels je ne me serai sûrement jamais interessée si j’étais restée bloquée à la pensée de mon entourage conservateur et religieux.
    internet m’a permis de m’éduquer sur des sujets comme le racisme, le sexisme, l’homophobie, le féminisme, les minorités et pleins de sujets que l’on entends dans les médias mais jamais des personnes concernées. car en tant que jeune personne blanche, non binaire ce sont des sujets que je n’ai pas toujours la chance d’aborder.
    j’ai également pût améliorer mon anglais en partageant avec des personnes étrangères sur les réseaux sociaux.

    je pense que le problèmes ne sont pas les nouvelles technologies mais bien ce nous en faisons.

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