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5 raisons de vous créer un compte sur Google+

Google+ réunit chaque mois plus de 540 millions d’utilisateurs actifs et ce sont plus d’un milliard de photos qui sont partagées sur la plateforme chaque semaine. Il n’a plus rien d’un vaisseau fantôme et il s’impose de plus en plus comme une alternative solide aux autres réseaux sociaux présents sur le marché. Si vous hésitez encore à vous créer un compte, voici cinq raisons de vous lancer.

Google cherche depuis longtemps à s’imposer sur le marché des réseaux sociaux mais ses précédentes initiatives se sont toutes soldées par un échec. On se souviendra notamment de Wave ou de Buzz qui n’ont pas rencontré le succès escompté. Ils ont finalement laissé la place à un Google+ qui s’impose de plus en plus comme un outil incontournable pour les communicants, bien sûr, mais également pour les internautes.

Ces dernières semaines, l’équipe de Vic Gundotra a été très active et elle a présenté un certains nombre de nouveautés particulièrement bien accueillies par la communauté, des nouveautés touchant aux photos et aux vidéos partagées sur la plateforme, mais également aux Hangouts. Cette fois, c’est certain, la firme ne va pas baisser les bras et il va falloir s’habituer à l’idée que Facebook ne règne plus en maître incontesté sur le secteur.

Mais faut-il pour autant suivre la mouvance et se créer un compte sur Google+ ? Vous êtes les seuls à pouvoir le décider, mais voici tout de même quelques points à prendre en compte dans votre réflexion.

Google+ s’impose comme la clef de voûte de l’écosystème Google

C’est désormais une évidence, Google+ occupe une place de choix dans la stratégie de Google et le géant américain l’a prouvé à plusieurs reprises au fil de ces derniers mois. L’exemple le plus frappant, de mon point de vue, c’est le lancement de Google+ Sign-In. Si ce dernier a pour ambition de proposer une alternative à Facebook Connect et aux autres outils du même genre, il va surtout venir remplacer, à terme, le protocole OAuth sur tous les services édités par la firme. Certains grands noms du web ont d’ailleurs apporté leur soutien à cette initiative et même Feedly a fait un pas dans cette direction avant de revenir en arrière, sous la pression de ses utilisateurs.

Et que dire de YouTube qui a choisi de troquer son ancien système de commentaires au profit de Google+ ? Ce même Youtube qui compte plus d’un milliard d’utilisateurs actifs à travers le monde et qui occupe la troisième place du podium dans le classement Alexa. En imposant ce changement aux internautes, Google a pris un gros risque et cela prouve finalement tout l’intérêt que porte la firme à son réseau social.

La tendance n’est donc pas prête de s’inverser et nous ne sommes sans doute pas au bout de nos surprises.

Google+ marque l’avènement de l’AuthorRank

Il ne faut pas être dupe, le moteur de recherche de Google fait la pluie et le beau temps sur le web, même s’il existe d’autres leviers pour développer le trafic d’un site. Ce que n’a pas manqué de rappeler la firme en déployant une succession de mises à jour touchant à son algorithme. Les ravages causés par Panda et Penguin sont encore dans tous les esprits.

Que vient faire Google+ là-dedans ? Rien si l’on en croit la position officielle de Matt Cutts. D’après lui, les signaux sociaux n’auraient aucun impact sur le classement de nos pages sur le court terme. Ce qui vaut pour le nombre de “+1” récoltés par nos articles, bien sûr, mais également pour le nombre de “retweets” glanés sur Twitter ou le nombre de “likes” totalisés sur Facebook.

Toutefois, à côté de cette posture, il y a également la réalité des faits. Google a déposé en 2005 un brevet traitant d’un certain “Agent Rank”, soit un brevet visant à classer les créateurs de contenus en fonction de différents critères, dont la popularité de leurs articles. Quelques années plus tard, la firme a remis le couvert en levant le voile sur l’AuthorShip, soit sur une technologie permettant de lier un contenu avec un profil Google+ pour faire ensuite apparaître dans les SERP la photo et le nom de son auteur.

Google se limitera t’il à l’affichage de ces éléments dans le futur ? Rien n’est moins sûr. De nombreux spécialistes pensent d’ailleurs que l’AuthorShip débouchera, à terme, sur l’AuthorRank, soit sur une nouvelle variable qui viendra grossir la Grande Equation de Google, celle-là même qui détermine la popularité et le classement d’une page dans les résultats des recherches. Je vous invite d’ailleurs à lire l’excellente analyse publiée chez CopyBlogger.

Alors bien sûr, si cet AuthorRank doit réellement être mis en place, son impact sur le positionnement de nos sites sera minime, ou tout du moins maitrisé. Toutefois, il aura tout de même un rôle à jouer, et il ne devra donc pas être pris à la légère.

Google+ facilite le contrôle des données partagées

Mais au delà de ces considérations, Google+ est également un bon produit. L’un de ses meilleurs atouts, c’est sans conteste ses nombreuses options en matière de partage de contenus. Contrairement à certains réseaux sociaux présents sur le marché, il fonctionne effectivement par entités et chaque utilisateur peut restreindre l’accès à ses données à certains cercles, et donc à certains groupes. Quoi qu’il arrive, il garde le contrôle sur ses informations personnelles, mais également sur les contenus partagés sur son profil.

C’est une bonne chose pour les particuliers, bien sûr, mais également pour les marques et les entreprises. Grâce aux cercles, ces dernières pourront parfaitement regrouper leurs clients les plus fidèles pour leur donner accès à certains éléments en avant-première, ou en exclusivité. Un bon moyen de fédérer une communauté autour d’un produit, ou d’un service, tout en transformant les internautes en véritables évangélisateurs.

Si les cercles améliorent la sécurité et la confidentialité de nos données, ils permettent également de mieux cibler les internautes, et donc d’augmenter l’engagement. Pas mal, surtout à l’heure où d’autres services souffrent d’une légère baisse en la matière…

Google+ peut être utilisé comme outil de veille ou de curation

A la base, les réseaux sociaux ont été pensés pour favoriser les échanges entre les internautes. Ils ont considérablement évolué avec le temps et ils peuvent désormais être utilisés comme des outils de curation.

Google+ s’inscrit dans cette optique. Il intègre ainsi un module dédié aux contenus populaires partagés sur la plateforme, soit aux contenus ayant suscité le plus d’interactions. Point intéressant, ces derniers sont accessibles publiquement et il n’est donc pas nécessaire de suivre leurs auteurs pour en profiter.

L’équipe en charge de la plateforme a également apporté un soin tout particulier à la recherche interne. Quelques mots-clés, une légère pression sur la touche “Entrée” de notre clavier et ce sont des milliers d’articles, d’images et de vidéos qui apparaissent à l’écran, des contenus qu’il sera évidemment possible de filtrer en quelques instants pour faire remonter les éléments les plus populaires, ou les plus récents.

Et puis, il y a les cercles. Encore eux. En les utilisant de manière adéquate, il sera possible de transformer Google+ en un véritable outil de veille. Passionné par l’actualité Apple ? Pourquoi ne pas créer un cercle regroupant tous les sites et tous les blogueurs traitant de ce sujet ? Même chose pour Android, Windows Phone, le cinéma, la télévision, les médias ou encore les drones. Ensuite, pour accéder au contenu qui nous intéresse, il nous suffira de sélectionner le cercle adapté depuis les onglets présents sur l’écran d’accueil.

Google+ est taillé pour la communication et les échanges avec  les Hangouts

Et puis, il y a Hangouts. Un outil aussi simple à utiliser que Skype, mais qui regroupe des fonctions avancées et intelligentes. Plutôt que de tabler uniquement sur les conversations audio et vidéo, Google a effectivement implémenté plusieurs modules dédiés à des tâches précises. En quelques secondes et sans avoir à débourser un seul centime, nous pourrons partager nos vidéos préférées avec nos proches, ou même travailler en équipe sur des documents hébergés sur Google Drive. Mieux, si on le désire, il sera même possible de partager notre écran pour montrer notre dernière création à nos proches ou même pour aider un ami qui rencontre des problèmes avec son ordinateur.

Les artistes, de leur côté, pourront diffuser leur dernier concert en direct, et sans avoir forcément à investir dans du matériel couteux. Une bonne caméra et une connexion solide suffiront.

Certaines sociétés se sont emparés de la technologie de Google pour construire leur activité. Je pense notamment à HelloMentor qui met en relation des enseignants ou des formateurs avec des étudiants et des personnes souhaitant se former à une discipline, qu’elle soit scolaire ou extra-scolaire. Plus qu’un simple outil dédié aux échanges et aux discussions, les Hangouts se positionnent comme une plateforme à part entière, une plateforme accessible depuis un ordinateur, certes, mais également depuis un terminal nomade et donc depuis un smartphone ou une tablette tactile.

Et le meilleur reste à venir puisque Hangouts sera installé nativement sur tous les prochains terminaux produits par Google. Même nos SMS passent désormais par ce dernier et il viendra un jour où nous ne pourrons plus nous en passer. De lui, certes, mais également de Google+, par extension.

En guise de conclusion

Les produits de Google ne font pas toujours l’unanimité et Google+ ne déroge pas à la règle. Toutefois, et comme nous l’avons vu tout au long de cet article, il ne manque pas d’atouts pour séduire les internautes. Est-ce une raison pour mettre tous ses oeufs dans le même panier ? Je ne le pense pas. Les professionnels et les marques se doivent d’être présentes sur tous les fronts. Favoriser Google+ au détriment de Twitter et de Facebook serait une grossière erreur. Faire l’inverse également.

Mais qu’en est-il des particuliers ? Ici, c’est l’aspect communautaire qui rentre en ligne de compte. Si les amis, ou la famille, se trouvent sur Facebook, pourquoi donc s’embêter à créer un compte sur Google+ ? En réalité, les raisons ne manquent pas. Hangouts, par exemple, leur permettra de rester plus facilement en contact avec leurs proches. L’intégration des SMS sur Android leur fera également gagner beaucoup de temps puisque tous les échanges seront centralisés au même endroit.

Alors, envie de vous créer un compte sur Google+ ?

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Par : Google LLC
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  1. Malheureusement, Google+ n’est dispo que sur iOS et Android. Il renforce la position dominante de Google pour écraser un concurrent. Donc, non

  2. Et avec le gros bouton “Partager sur Facebook” c’est assez marrant ^^

    Personnellement, j’aime pas Google+.
    D’une parce que l’écosystème Google ne me plaît pas et je sais pas, il y a ce petit truc qui fait que j’arrive pas à m’y intéresser…
    Peut être un jour, mais G+ ne sera pas pour moi aujourd’hui !

  3. Pour mon info (on a des clients qui pourraient être intéressés), c’est quel ordre de prix que Google a du payer pour avoir un article comme ça ? Ou est-ce que c’est une histoire de RP et de press tour ?

  4. Utilisateur G+ depuis sa création, le gros avantage de G+ est que l’on peut avoir de longues discussions sérieuses sur des topics ou dans des communautés spécialisées, sans être pollué par des remarques blessantes, grossières ou la description de la dernière “biture” d’une personne. Les modérateurs des communautés (pour la plupart anglophones) sont très rapides pour bannir (et ce très facilement) un membre ne respectant pas la charte.
    Et comme on le dit dans l’article, la curation y est très facile, justement à cause de l’ecosystème Google omniprésent.

  5. J’ai appris ce matin que Google pouvait utiliser ma photo de profil et mon nom pour ses pubs sans avoir été prévenu.
    Quand bien même on puisse le désactiver, ce fut la bonne occasion de fermer mon compte G+ (que je n’utilisais pas). =)

  6. Nice propagande pour google… ils n’arrivent tellement pas à avoir du monde sur leur g+ qu’ils forcent les gens à s’y inscrire pour commenter sur le playstore, à s’y inscrire pour bien utiliser Navigation, ils force les gens qui ont un compte youtube à avoir un compte. Et maintenant ça fait du lobbying de blog. Je ne reste plus sur ce blog.

  7. Jamais je n’irai sur google+ ! Ca à l’air génial mais : problèmes de confidentialités et impossiblilité de créer des pseudos ni de faire quoi que ce soit dans la tranquilité et l’anonymat. Tout le monde n’a pas envie de dévoiler sa vie sur internet, ni d’apparaitre dans les moteurs de recherches. Et bientôt nos photos seront liés à nos numéros de telephone; de pire en pire. J’ai toujours adoré google et ses produits ultra performant mais aujourd’hui je vais tout remplacer. Mon gmail, mon agenda, chrome….peut-être même remplacer android par un autre système pour mon phone. L’anonymat ne signifie pas qu’on a des choses à cacher, simplement qu’on veut pouvoir communiquer avec sa famille en toute discrétion. Pour ma part j’utilise FAMICITY qui me permet de poster des photos à mon entourage sans avoir l’impression d’être un produit et ça me suffit.

  8. personnellement je suis passé depuis longtemps de fb a google+.
    et je ne regrette pas dans, le privé ou le professionnel, c’est vraiment bon.
    les améliorations des hangouts de ces dernières semaines, en font un outil sans équivalent.
    cela semble c’est très ” tendance” de dénigrer google+, mais tant que ça me rend service et que cela me conviens bien, je ne vois pas pourquoi ne continuerais pas a l’utiliser….

    tiens j’ai une suggestion, l’intégration de chrome remote desktop dans les hangouts, ça serait génial dans le cadre d’une utilisation professionnelle !

  9. @Zep : Avant d’être une application mobile, Google+ est aussi un service web, accessible depuis n’importe quel navigateur.

    @Ramlec : Tu as raison de raisonner en terme d’écosystème, tu es plutôt quoi du quoi ?

    @Sébastien F. : Si tu étais vraiment du métier, tu saurais que tout billet sponsorisé doit être mentionné comme tel. Ce n’est pas le cas ici et ni moi, ni Eric n’avons touché le moindre centime d’euros pour écrire ou publier cet article.

    @Nicole @umaga : Ce n’est pas de la propagande, je ne dis pas qu’il faut créer un compte sur Google+, j’explique juste en quoi il peut être bénéfique de le faire. Auriez-vous réagit de la même manière si j’avais rédigé un article sur Facebook, ou Twitter ?

    @Toh : Pour l’instant du moins 🙂

  10. J’aimais bien Presse-Citron il y a quelques années, je commençais toutes mes journées avec lui. Et puis je l’ai abandonné.
    Ça faisait bien 6 mois que je ne n’étais pas venu faire un tour. Aujourd’hui je me dis allons donc voir si il y a du neuf. Et je tombe sur quoi? Un post à la gloire de G+…
    Allez, à dans 6 mois, au moins…

  11. Essayez de faire fonctionner Google+ sur un Windows Phone et votre “service web” aura du plomb dans l’aile. Google a tout fait pour rendre l’expérience utilisateur excécrable. Eux qui étaient des pionniers en matière de services web, voilà qu’ils tentent d’étouffer un concurrent… non seulement ils ne développent pas d’application sur WP (à la rigueur, pourquoi pas), mais ils s’arrangent pour que l’expérience web soit la plus dégradée possible.
    Tant que G+ n’offrira pas une véritable expérience utilisateur quelque soit le support, tant qu’il servira à renforcer Android au mépris des concurrents, ce sera mon second choix.

  12. @ancienfan : Commentaire très constructif, c’est certain, mais tu reproches quoi à Google+ ?

    @Tous : Juste par curiosité, vous avez quoi comme smartphone (si toutefois vous en avez un) ?

  13. J’ai un Lumia 920 pour ma part. Le navigateur est censé pouvoir afficher tout site développé en HTML5. D’ailleurs, avec un appli “trompant” le serveur avec un user-agent Android, on voit que IE est parfaitement capable d’afficher les “belles” versions web de YouTube, Gmail ou G+. Mais étrangement, Google n’affiche que les sites Wap à l’ancienne. Curieux curieux…

    Google+ est en effet un excellent réseau social, bien plus sympa que FB et surtout mieux pensé. Mais inutile s’il n’est pas correctement accessible d’un mobile.

  14. 1) 2) 3) 4) 5)
    5 raisons de ne pas s’inscrire sur G+ en une seule réponse:
    J’aime ma vie privée.

    Inciter des personnes à s’inscrire sur des réseaux sociaux révèle une connaissance niveau 0 en terme de vie privée.
    Je ne comprend plus, c’est pas pour ça que je lis Presse Citron depuis le début.

  15. @Frederic P. Je comprends certains commentaires. Le souci, avec votre article, c’est qu’il donne l’impression d’avoir été écrit avec l’enthousiasme d’une personne qui vient de découvrir un nouveau service et qui le trouve super… Il faut, je crois, prendre un peu de recul avant d’écrire ce type d’article et équilibrer les critiques positives et négatives de ce que l’on présente, sans quoi on s’expose à un manque d’objectivité (et donc de crédibilité). C’est peut-être, finalement, ce qui différentie un journaliste d’un blogger…

  16. @ced : D’accord, donc les réseaux sociaux, c’est le mal si je comprends bien ? Sur le fond, tu n’as pas forcément tort, mais je pense que c’est un raccourci un peu rapide. Facebook, Google+ et Twitter favorisent également la circulation de l’information. Les médias ne sont plus les seuls à savoir ce qui se passe dans le monde, ils n’ont plus le monopole de l’information.

    Après, ces outils doivent également être utilisés avec prudence et là, on est complètement d’accord. Mais plutôt que de condamner ces services, peut-être est-il préférable de former les gens à leur utilisation, non ?

  17. Un réseau social n’a d’intérêt que si on y trouve du monde pour échanger.
    Or avec G+, ça reste encore limité.
    J’y suis pourtant présent, car je fais de la veille sur la plupart des plateformes sociales, et je me force à y partager et échanger.
    Je suis d’ailleurs pas mal de comptes G+ “célèbres” qui nous rabâchent que G+ c’est vivant, c’est l’avenir…
    Mais ce que j’y trouve pour le moment, ce ne sont que des partages d’articles (souvent les siens, comme le fait Presse Citron) ou des partages de photos/vidéos virales comiques, pour générer du like.
    Une sorte de mélange entre Twitter (pour le public) et Facebook (pour les usages).
    Ceci dit, j’y resterai, et ceci principalement dans une optique SEO. Mais pas franchement pour échanger…

  18. A la différence de facebook et twitter, G+ impose d’avoir son nom et prénom, son tel, une photo de soi, etc.. D’ailleurs, google ne se priverait pas pour bloquer youtube ou adsense si un de ses utilisateurs se rebiffe.
    Vu que les gens veulent un minimum de liberté ils ne vont pas sur g+, et comme ils ne veulent pas aller dessus.. G+ les oblige par différentes stratégies que nous n’approuvons tous apparemment pas. (sauf presse citron)
    Faire un article comme celui là est vraiment misérable. Vous perdez toute crédibilité.
    Si vous n’avez pas remarqué que les gens fuient de plus en plus google refaite votre veille…

    PS : Google s’est lancé également dans la “santé” comme Big Pharma.. ça ne sera pas pour notre santé mais pour leur business au détriment de notre vie privée. Merci à presse-citron de promouvoir une telle société sans éthique accès sur les nouvelles technologies.
    Je suis ravie de voir que tout le monde ici partagent ces idées communes. Et a plus, je n’ai plus envie de lire et me faire désinformer.

    PS2 : Vu le niveau de mépris envers nous, à quand un article pour dire que les drones c’est bien tant qu’on y est ? Avant, aller voir ce qu’il se passe actuellement au Pakistan..

  19. Ceux qui parlent de propagande ou de je ne sais quel post sponsorisé démontrent à quel point ils méconnaissent le fonctionnement de Google. Je crois que cela ne mérite même pas de perdre son temps de répondre à ce genre de commentaire. Idem pour les “bye bye Presse-citron”, juste pour un article approfondi qui n’a qu’une vocation : informer, éclairer et éventuellement aider. Que de réactions excessives et sans aucun fondement, bref…

  20. Il n’est donc pas possible de véhiculer de l’information sans passer par les réseaux sociaux ?
    Penser que les réseaux sociaux puissent être l’unique vecteur d’information et extrêmement réducteur pour les vrai journalistes.
    Aucunes personnes travaillant sérieusement dans le monde de l’informatique ne peut ce permettre de recommander quelque réseaux social que ce soit.
    C’est juste totalement irresponsable, ils servent à quoi les gens qui jouent leurs vie pour dénoncer ça?
    je n’arrive pas à comprendre comment “l’humain moderne” conçoit comme normal que tout le monde sache tout sur lui.

  21. Merci une fois de plus pour cet article de qualité Fred.

    À en juger des propos des futurosceptiques, ce n’est ni une perte pour presse citron, ni pour Google et encore moins pour le web. Je suis toujours amusé d’entendre ces mêmes personnes défendre leur vie privée alors qu’ils possèdent un téléphone portable, une carte bancaire , un pass navigo …

  22. AhAh en voyant le titre je me suis dit : oula un post sur google, il va y avoir du troll dans les commentaires. Pas loupé.
    La vie privée sur G+, comme sur Facebook/Instagram ou à moindre mesure Twitter est ce que tu en fais. @ced : C’est à toi à réfléchir sur ce que tu veux partager et avec qui. Si tu partages tes photos privées en mode public, c’est que tu n’as rien compris aux réseaux sociaux, et il vaut mieux que tu évites de brancher ton appareil photo à ton ordi.
    @Nicole, etc : Tu n’es pas non plus forcé à affiché ton propre nom pour Youtube, tu peux te créer une page avec ton pseudo comme on a du te le proposer si tu as regarder avec de cliquer sur ‘ok’, et elle n’est pas lié à ton vrai profil.

  23. @Eric
    Au vu des nombreuses réactions allant dans le même me sens, ne serait il pas judicieux de considérer l’article comme mal formulé?
    Perso je ne suis pas habitué à ça ici.
    Avons nous tous mal compris et interprété cet article?
    J’ai comme un doute.

  24. @KRIS3D : Je ne suis pas complètement d’accord avec toi. Certes, les interactions sont parfois limitées, mais pas plus qu’elles ne le sont ailleurs. Tout dépend après de tes cercles, de ta communauté et donc des gens que tu décides de côtoyer.

    En ce qui me concerne, j’utilise Google+ de deux façons différents. Pour faire de la veille et partager du contenu, bien sûr, mais également pour rester en contact avec mes amis et ma famille. Là dessus, on a beau dire mais les Hangouts font de l’excellent travail. Après, cela ne m’empêche pas non plus d’être actif sur Twitter, bien sûr, et d’avoir un compte sur Facebook, LinkedIn et tous les autres.

    @Nicole : Google est méchant, j’ai bien compris le message, et votre point de vue. Le mien est moins tranché que le votre, en revanche. Il s’agit évidemment d’une multinationale et, comme toutes les multinationales, son objectif reste avant tout d’imposer ses produits et ses services sur le marché. Ce qui vaut pour son moteur de recherche, son réseau social et sa plateforme mobile, entre autres choses.

    Mon article, puisque c’est de ça dont il s’agit, n’a pas pour objectif de vous “forcer” à vous inscrire sur Google+. J’ai simplement souhaité mettre en avant certaines de ses particularités. Je ne suis pas là pour approuver ou désapprouver les agissements de Google. Je pars du principe que les lecteurs de Presse Citron sont assez grands (et assez intelligents) pour se faire leur propre avis, de toute façon.

    Concernant votre ultime remarque, celle concernant les drones, je pense là encore qu’il faut être mesurer. Ces derniers ne sont qu’un outil entre les mains des hommes. Ce sont eux qui décident ensuite de les utiliser d’une manière, ou d’une autre. Certains en font des armes, d’autres les utilisent pour immortaliser certains paysages et Dronestagram reflète d’ailleurs plutôt bien cette tendance.

    Quelque part, c’est un peu comme le nucléaire. On peut l’utiliser pour alimenter des foyers en électricité, mais aussi pour détruire le monde.

    Quant à ma perte de crédibilité, je préfère ne pas rebondir sur des attaques personnelles.

    @ced : Bien sûr que c’est possible, et heureusement. Je n’ai d’ailleurs pas dit le contraire. Ceci étant, les réseaux sociaux constituent eux aussi une source d’informations, pour peu que l’on prenne le temps de réduire le bruit environnant. Et il ne faut pas oublier une chose, chacun est libre de partager ce qui lui plaît, d’où l’importance de former les gens à leur utilisation.

  25. @Nicole : à bien décrypter votre commentaire, il ressort comme une évidence que vous avez un compte personnel à régler avec Google et ses services. Probablement une expérience malheureuse qui génère toute cette aigreur. Ce sont des choses qui arrivent.
    Quant aux drones, vous ne croyez pas si bien dire, ça peut être super ou effrayant [1], et nous avons érigé deux sites à leur gloire pour justement en parler ou montrer ce que l’on peut faire avec : http://www.smartdrones.fr et http://www.dronestagr.am. Oui, nous sommes le mal, comme Google 🙂
    [1] comme une fourchette : ça peut servir à se nourrir mais aussi à crever un œil. Ou comme l’eau : ça peut servir à boire, ou à se noyer. La vie est mal faite.

  26. Lorsqu’on écrit un article qui se veut impartial (et sans ironie, je n’en doute pas), il est nécessaire d’équilibrer les critiques positives et négatives. Dans le cas contraire, on s’expose à un manque certain de crédibilité du fait d’un article jugé non objectif. Ceci montre peut-être la différence entre un journaliste et un blogger. Cet article me donne en effet l’impression de décrire l’excitation d’une personne qui découvre avec enthousiasme un nouveau service (or je sais bien que ce n’est pas votre cas, ce qui est d’autant plus dommage)

  27. Je l’utilise encore peu mais je trouve que c’est une bonne source d’inspiration en matière de webdesign et d’interaction avec l’utilisateur sur une page web. Ils arrivent toujours à nous inventer des petits effets sympas 🙂

  28. Pour l’instant, j’y crois encore moyennement à G+. Ce n’est encore que du trafic préfabriqué, ne reflétant pas une véritable utilisation sociale. La communauté est large mais très floue (sauf ceux travaillant dans le web) et la plupart des personnes ne savent même pas qu’elles ont un compte G+.

    Le vrai souci de ce réseau social peut finalement venir de son interconnexion avec d’autres outils extrêmement utiles et utilisés : Gmail évidemment, mais aussi Adsense, Adwords, Analytics, Local…

    En gros, je ne me sens pas libre de poster ce que je veux. J’imagine que s’il y a quelque chose qui ne plait pas Google, celui-ci pourra supprimer allègrement mon compte, et donc les autres outils que j’utilise : risque énorme au demeurant et absent de Twitter ou Facebook. Ces derniers sont addictifs mais restent séparés du reste de notre écosystème web perso.

    Si on ajoute le fait d’utiliser le profil pour afficher notre photo sur n’importe quelle pub Google, cela peut faire peur à pas mal de monde.

    Pour finir, je trouve l’interface de G+ compliquée et très peu ergonomique, notamment lorsque l’on gère plusieurs pages (sans parler de la photo envahissante en tête de profil).

  29. Après avoir vérifié qu’un nouveau lien sur G+ que celui était pris en compte encore plus rapidement par Google, on arrête pas les (bonnes surprises).
    Il permet aussi un référencement mais sans prise en compte d’après certains sites spécialisés, des mots, à nous d’optimiser sur pages…
    Le doffollow a pourtant existé, comme l’indique http://www.billhartzer.com/pages/how-to-make-your-links-do-follow-links-in-google-plus/, mais à l’avoir testé à l’instant ce n’est plus le cas. Google n’aime pas l’optimisation pour le référencement, et la fait comprendre plus d’une fois.

  30. Facebook : tout ce que je diffuse est public (et Big Facebook is watching me), et quand je veux restreindre ma diffusion, je dois me casser la tête à le contrôler.
    Google+ : tout ce que je diffuse est restreint à mes cercles (et Big Google is watching me), et quand je veux étendre ma diffusion c’est pas compliqué.
    C’est une question de besoin.
    Résultat : je n’ai jamais autant partagé avec ma famille et mes amis qu’avec Google+

  31. @Nicolas
    j’écris en connaissance de cause.
    je n’ai aucun compte, quelque soit le réseau social, je ne laisse aucunes infos perso transiter par ce biais. je pense donc maitriser un minimum mes infos perso.
    D’autant plus que d’en le cas présent, seul ced peut révéler que mon prénom est Cédric, la bonne affaire, surtout derrière un Tor ou un bon VPN.
    Pour moi les réseaux sociaux ne servent que les entreprises, pourquoi jouer leurs jeux, c’est absurde.

  32. 2 arguments contre G+ :
    1) Très peu de mes amis sont sur ce réseau
    2) Je n’ai pas le temps ni la motivation d’utiliser 2 réseaux en parallèle

  33. Bonjour, la subjectivité de la part de l’auteur de l’article alors qu’il aurait mieux valu l’intituler 5 bonnes raisons de ne pas créer un compte Google plus.

    Ces réseaux sociaux ne sont rien d’autre qu’un ramassis de merdes qui permettent de dresser le pedigree de chaque individu par recoupement.

  34. Triste de voir les gens attaquer l’auteur de l’article. Fred est tout sauf un propagandiste. Faites vous votre opinion à partir de l’info que vous décidez de consommer. Et n’oubliez pas de penser à trois choses positives avant de fermer l’œil chaque soir. Ça peut toujours servir ^^

  35. Conclure cet article par : « L’intégration des SMS sur Android leur [les particuliers] fera également gagner beaucoup de temps puisque tous les échanges seront centralisés au même endroit. » est relativement révoltant d’après moi.

    Ces services web sont des systèmes qui ne sont pas interopérables (Facebook incompatible avec Twitter) et qui s’utilisent sans payer directement le service utilisé. Autrement dit : quand le SMS a été créé, il a fait l’objet d’une norme internationale et il a été mis en place par l’ensemble des opérateurs dans le monde. Il existe bien des SMS publicitaires, mais est-ce que les opérateurs télécom exploitent la connaissance de l’intimité de leurs clients (sans nécessairement parler de violation de la vie privée) pour cibler les messages de leurs annonceurs ? En outre, des opérateurs de téléphonie ont bien essayé de vendre de la téléphonie moins cher en diffusant des spots de publicité au milieu de la conversation (Bouygtel en France) mais sans réel succès.

    Donc peut-être que ces services web non-interopérable, financés par la publicité ciblée et l’exploitation de la vie intime des utilisateurs (sans nécessairement parler de violation de la vie privée), ont une efficacité, mais conclure cet article par : « L’intégration des SMS sur Android leur [les particuliers] fera également gagner beaucoup de temps puisque tous les échanges seront centralisés au même endroit. » est relativement révoltant, si on considère qu’un fournisseur de services qui fait converger à lui la connaissance intime de l’utilisateur et de ses relations sociales est inadmissible (exploitation de ces informations à des buts lucratifs et services non-interopérables avec d’autres fournisseurs concurrents).

    Ceci dit, les services web qu’utilisent le grand public – de réseaux sociaux (Google plus, Facebook, Twitter, Tumblr, etc), de vidéo-conversations (Yahoo! messenger, Skype, hangouts, etc) – outre les usages divertissants, peuvent être efficaces et utiles :

    – Pour un communiquant (d’une marque, d’une association, d’un club sportif, etc) qui veut faire passer rapidement une information

    – Pour un journaliste, un consommateur, un demandeur d’emploi qui cherche de l’information

  36. Hmm, je suis moyennement convaincu…

    * L’arrivée en grande pompes de Tizen, financé par les industriel fatigué du diktat de Google, risque de donner du fil a retordre a Android.
    Donc on perd un peu de l’avantage du “tout-google” déjà.

    **Oui niveau SEO, je suis d’accord sa renforce un peu la “legitimité” pour une boite/particulier/siteweb d’avoir un g+.

    ***On peut contrôler de la même manière ses données sur facebook (enfin c’est vrai que les “listes facebook” sont un peu moins ergonomique que les cercles ggle…)

    ****Les Hangouts perso je ne m’y fait pas, et du coup j’abandonne de plus en plus cet outil de chat. Les reglages sont difficilement accessible (ergonomiquement parlant j’entends) et la confusion privé/public brouille encore plus les pistes.

    Enfin c’est vrai que mon g+ est un outil de veille/curation sympathique. Mais peut-être est ce tout simplement parce que mon compte G+ est celui de mon mail pro 🙂

    PS : je ne suis nullement un fanboy facebook twitter ou autre! Merci.

  37. PPS : Vous remarquerez que je n’ai meme pas troller cet article sur la confidentialité “réel” que permet (*ironie) une entreprise web comme Google.

  38. les améliorations des hangouts de ces dernières semaines, en font un outil sans équivalent.
    cela semble c’est très » tendance » de dénigrer google+, mais tant que ça me rend service et que cela me conviens bien, je ne vois pas pourquoi ne continuerais pas a l’utiliser….
    tiens j’ai une suggestion, l’intégration de chrome remote desktop dans les hangouts, ça serait génial dans le cadre d’une utilisation professionnelle !

  39. @Frédéric Pereira : A la base mon commentaire était une petite perfidie mesquine et gratuite, mais se basant néanmoins sur mon ressenti de l’instant (un commentaire à chaud, pourrait-on dire). Accessoirement, je suis certain que certains de mes clients pourraient être intéressés, mais passons. Quoi qu’il en soit, votre réponse chatouille le troll qui sommeille en moi.

    “Si tu étais vraiment du métier” : lequel ? Blogger ? Parce que si Presse-citron c’est du journalisme, la presse française mérite sa crise. Accessoirement, j’ai été du métier (les deux en l’occurence, blogger à l’époque où c’était encore des weblogs, et journaliste (carte de presse et tout), même si je ne me suis jamais considéré comme journaliste).

    “tu saurais que tout billet sponsorisé doit être mentionné comme tel. Ce n’est pas le cas ici et ni moi, ni Eric n’avons touché le moindre centime d’euros pour écrire ou publier cet article.” : je suis prêt à le croire. C’est donc la piste du copinage ou du press tour à retenir ? Le genre de press tour où j’ai justement croisé Eric à Las Vegas pour le Mix 2011 où, sauf échec critique de ma mémoire, il était invité tous frais payés par Microsoft (comme les autres journalistes ou bloggers présents d’ailleurs ou moi-même). Les deux articles ne mentionnent d’ailleurs pas qu’il s’agit de publireportages : https://www.presse-citron.net/en-direct-du-microsoft-mix-2011 et https://www.presse-citron.net/mix-2011-ce-que-jen-ai-retenu, donc peut-être qu’il avait bien payé son billet, son hotel et le reste.

    Enfin, peut-être que c’est juste le troll en moi qui parle et que ce post est un vrai post courageux, destiné à donner un nouvel éclairage sur une technologie qui a mauvaise presse, parce que vous êtes convaincu de son utilité et ne vous êtes pas contenté de recopier le dernier CP de google. Si c’est le cas, je m’excuse si mon perfide commentaire vous a vexé (mais je veux bien les tarifs quand même).

    1. @Sebastien F. : c’est marrant un gars qui “balance” mais qui n’ose pas révéler son identité 🙂 Concernant le truc Microsoft à Vegas, ta tirade est assez minable. Ce n’est pas du publi-reportage, et tout le monde sait très bien comment se passent les voyages de presse, sauf les hypocrites et les trolls, bien sûr. Les voyages de presse existent depuis que la presse existe, et si tu y trouves à redire (mais apparemment quand tu y étais ça ne te dérangeait pas beaucoup), va dire cela à TOUS les médias, qui fonctionnent sur ce mode, et pour beaucoup, dans des conditions bien plus “avantageuses” que ce que nous pouvons connaitre aujourd’hui. Si tu as été blogueur, tu ne devais pas être très informé, car tu devrais savoir qu’il n’y a pas de “copinage” possible avec Google.
      Bref, ton commentaire sent le mec aigri, tu as perdu ton job (ou ta carte) de journaliste, peut-être ?

  40. Google+, c’est Facebook, sans les bébés, les chatons et les kikoolols..! Et franchement, ça fait du bien de pouvoir discuter et partager des choses intéressantes..!

  41. ce qui me fait rire dans certains commentaires, c’est ceux qui accuse les réseaux sociaux de grand collecteurs de données personnelles, mais qui utilise Google Bing ou Yahoo comme moteur de recherche et n’utilise pas de VPN ou de proxy pour naviguer..!
    que vous le vouliez ou non, vous êtes dans la matrice ! PRISM nous l’a assez prouvé dernièrement !
    après, c’est à l’utilisateur de savoir partager intelligemment, sans forcément étaler sa vie privée !

  42. @Dimitri : Critique parfaitement recevable, j’en prends bonne note 🙂

    @Sophie : Et il ne peut que prendre de plus en plus d’importance, en terme de visibilité, dans les semaines et dans les mois qui viennent.

    @Arthur : Je suis d’accord, Google a de plus en plus le souci du détail en terme d’interface et d’ergonomie, et pourtant ils viennent de loin, très loin même.

    @Eric : Là encore, tout dépend de vos cercles. Personnellement, j’échange régulièrement avec plusieurs de mes lecteurs et G+ me permet également de découvrir du contenu à valeur ajoutée.

    @produit bio : Oui, et Google n’aime pas non plus les ancres optimisées 🙂

    @Nicolas : Exactement. Facebook permet aussi de cibler la portée des messages, mais l’interface est moins intuitive que sur G+, ce qui présente pas mal d’inconvénients pour les néophytes. J’en forme depuis 10 ans et ils ont plus de mal avec Facebook et Twitter qu’avec G+.

    @ced : Pour vivre heureux, vivons cachés. Mais parfois, c’est bien aussi de se dévoiler et de faire son “coming out” numérique. Bon, au début, tu as un peu l’impression de te balader à poil mais c’est une question d’habitude.

    @Brian : Et c’est l’un des plus gros défauts de G+ on est bien d’accord 🙂

    @Brian : Je trouve ça un peu dommage, c’est un peu comme les querelles entre ceux qui sont partisans d’Apple et ceux qui ne jurent que par Android.

    @Zebulon : Laissez moi deviner, vous n’aimez pas les réseaux sociaux ?

    @Thomas : Merci, vraiment 🙂

    @joma : Vos arguments sont parfaitement recevables, mais il est encore trop tôt pour pointer du doigt Google puisque cette fonction vient d’arriver. Il ne faut pas non plus oublier que les premières entreprises à “vendre” nos numéros de téléphone aux publicitaires, ce sont les opérateurs eux-mêmes… Et eux aussi ont accès aux données envoyées et reçues sur nos terminaux.

    @Ikario : Tizen est encore trop jeune, il lui faudra sans doute plusieurs années pour s’installer durablement. Ceci étant, c’est vrai qu’il attire du beau monde et les entreprises sont de plus en plus nombreuses à soutenir cette initiative. Pour le reste, on est à peu près d’accord, sauf pour les Hangouts mais je pense que tous les outils ne conviennent de toute façon pas à tous les utilisateurs. Et c’est heureux 🙂

    @raihanalorbo : Tu peux déjà partager ton bureau 🙂

  43. Google + est un réseau plutôt masculin.
    Les filles sont sur Facebook, donc c’est pas demain qu’on verra rappliquer du monde sur GG+. Il ne faut pas chercher plus loin.

  44. J’aime beaucoup les Google haters 🙂
    Ce sont les même qui encensent Facebook, Apple et Microsoft… que des modèles pour la liberté des usages et des données.
    Non mais si vous voulez critiquer, soyez crédibles 🙂

    (Je met de côtés les approximations du genre “obligé d’avoir un compte G+ pour YT”, “obligé de mettre une photo”, “obligé de mettre son vrais nom”, “obligé de mettre son No de tel”… toutes aussi stupides les unes que les autres).

    Honnêtement, si on pouvait se passer de ces grosses firmes, ça serait bien, mais trouver l’équivalent de leurs services gratuitement et à ce niveau de qualité ailleurs c’est impossible.
    Par exemple ça me plairait d’avoir un FirefoxOS, mais déja baser le développement d’un smartphone sur HTML5+Javascript, c’est mort né, rien que pour développer dessus c’est la merde. Et ce qui fait le succès d’un smartphone, ce sont ses applications et ses services web.

  45. C’est sans doute un très bon outil (GG en fait rarement de mauvais) mais la façon dont ils tentent de l’imposer me pose question… Malgré des critiques un peu facile, bcp de commentateurs m’ont réjoui : la vie privée ça existe, et bcp t’entre nous y tiennent ENCORE !
    Une innovation sociale se doit d’abord être adopter… socialement. C’est à dire que les utilisateurs doivent l’intégrer à leur vie et à leurs échanges. Cette “ingénierie de la personne” Made in California est, au fond, assez effrayante. Son but n’est ni social ni humaniste. Mais plutôt marchand, et nous devenons donc tous, potentiellement, des produits à vendre.

    Des entreprises énormes tentent par tous les moyens de gérer nos vies privées. Idem pour les états.
    Chacun en pensera ce qu’il voudra…

  46. @Frédéric Pereira : merci pour votre réponse. Je pense que ce qu’on appelle les “big data” vont transformer les relations du consommateurs avec leurs prestataires télécom, bancaire, etc. et qu’on en est qu’au début avec les services de réseaux sociaux publics.

    Même si je pense que la publicité et les techniques de ciblages du message commerciale ont une utilité, je pense que l’utilisateur devrait avoir le choix entre plusieurs modèles économiques. Dans les médias audiovisuels, il y a bien plusieurs modèles (ex: radios commerciales, associatives, d’Etat, etc) et on utilise les uns ou les autres, suivant sa personnalité ou suivant l’humeur. Avec les services Google plus Facebook etc j’ai l’impression d’être dans la situation des années 1970 avec un seul modèle économique de média sans choix possible. Donc je trouve compréhensible que beaucoup de personnes n’utilisent pas Google plus ou Twitter.

  47. C’est dommage de lire des commentaires qui sont soit complètement POUR soit complètement CONTRE Google plus. C’est une hérésie de penser de la sorte. Google plus n’est qu’une marque commerciale parmi d’autres qui fournissent des outils et des services web. Chacun fait ce qu’il veut sans avoir besoin de nier le sens critique de celui qui n’est pas complètement d’accord avec lui.

  48. @Sébastien : Copiner avec Google ? J’avoue, ça m’a beaucoup fait rire, comme si Google avait besoin de copains… Enfin passons. Par “du métier”, il fallait entendre “travailler dans le secteur de la communication ou de l’édition, et plus précisément dans le web”. Je pense que la loi est suffisamment claire pour ne pas prêter à confusion.

    Je remarque en tout cas que tes commentaires s’éloignent progressivement du sujet principal de cet article. C’est dommage, j’aurais préféré lire un argumentaire développé plutôt que des attaques incessantes envers Presse-Citron et la blogosphère dans sa globalité.

    @G-ronimo : Tu as bien résumé l’idée 🙂

    @mrpatator : Je crois que le mieux, pour ne pas être “pisté”, c’est encore de fermer sa ligne ADSL, de couper son téléphone (fixe et portable) et peut-être même de déménager dans les terres les plus reculées de ce monde.

    @Laurent : Là, je suis d’accord avec toi. Google+ est un bon produit, mais Google va parfois un peu trop loin pour nous l’imposer et c’est précisément cette stratégie que je ne comprends pas. A terme, elle pourrait effectivement se retourner contre la firme.

  49. Je ne peux qu’inviter tous les webmasters comme moi à ignorer google+, parce qu’il est un pas vers le développement de l’authorrank, et à terme une réduction dela vie privée. Je ne suis n’y sur google+ ni sur facebook et je m’en porte tres bien, mais cela devient dramatique qu’il est de plus en plus difficile d’être éditeur en restant anonyme, ni sans devoir perdre son temps sur les réseaux sociaux. C’est meme inéquitable, puisqu’on voit maintenant la différence entre les éditeurs qui ont les moyens de payer un employé pour fabriquer du contenu sur les réseaux sociaux, et ceux qui ne l’ont pas. Moche !

  50. @Eric: Faudrait savoir, soit je balance, soit c’est connu, mais ça ne peut pas être les deux. Je ne peux en revanche pas m’empêcher de noter la petite ambiguïté de l’invitation désintéressée, surtout quand, à nouveau, on voit un post aussi à contre courant de la réalité (et les commentaires de ce post me confortent dans l’idée que majoritairement, tout le monde s’en branle de G+). Sur l’aspect désintéressé, certains média français préviennent maintenant lorsqu’ils sont invités ou qu’ils reçoivent des produits de l’éditeur/constructeur. Ça ajoute à la transparence et permet d’ignorer les petites perfidies à l’origine de cet échange.
    Par ailleurs, mon identité n’a que peu d’importance je pense. Je n’ai jamais été quelqu’un “d’important” ou de “célèbre”, juste là assez longtemps et en en ayant assez fait pour pouvoir dire que “j’y étais”. Je n’aurais même pas abordé le sujet si Frédéric ne l’avait pas mentionné en mettant en doute ma légitimité à donner mon avis sur le sujet.
    Concernant le copinage avec Google, j’étais blogger avant que google n’existe et j’ai du arrêter avant qu’ils aient besoin de faire des RP, donc je n’ai effectivement aucune expérience avec eux. De là à dire qu’ils n’en ont pas besoin, vu comment ils rament sur G+, c’est sujet à discussion.
    Concernant le Mix à Vegas, je n’y trouve rien à redire, d’autant moins que j’y étais invité par MS aussi, mais en tant que partenaire technique (rien à voir avec la presse donc). Ça résous aussi ta question de mon aigreur potentielle, je n’ai pas “perdu” ma carte de presse, je l’ai laissé avec mes autres bons souvenirs de cette époque quand je suis parti voguer vers de nouvelles aventures, tout aussi passionnantes. Néanmoins, je constate que le sujet de l’honnêteté de Presse Citron est manifestement sensible. D’aucuns, langues de pute, diront que c’est à raison, surtout quand la question, fut-elle posée avec maladresse et rudesse est de savoir si cet article est objectif.
    @Frederic je ne suis pas certain de te suivre. Si une remarque certes perfide (j’aurais dis moqueuse, mais on ne va pas pinailler sur le terme) et une réponse à un commentaire qui flirtait franchement sur l’attaque personnelle sont “des attaques incessantes envers Presse-Citron et la blogosphère dans sa globalité”, je comprends mieux pourquoi c’est intéressant de se créer un compte G+. J’ai du rater ton effet de style, un peu méditerranéen peut-être, qui joue sur l’excès dans le propos. A nouveau, my bad. Après, dire que dans l’ensemble les bloggers manquent de recul, de talent ou écrivent leurs posts à l’arrache, c’est un peu comme dire que les politiciens sont uniquement motivés par le pouvoir et l’argent. Après est-ce que dans le lot, il y a des exceptions qui échappent à la règle ? Bien évidemment !
    Mais je ne peux m’empêcher de noter (à nouveau mon petit troll) que de mon second commentaire ni toi, ni Eric n’aurez retenu le dernier paragraphe et plutôt choisit d’attaquer le reste. Je voudrais vraiment être un gros troll hypocrite, je vous soupçonnerais tous les deux de faire des posts à controverse pour générer du click et de la page vue !

  51. Le nombre de commentaire m’a intriguer et par curiosité je suis venue te rendre visite,car d’ahbitude je vais toujours voir Alexendra 😉 Une remarque par rapport au nombre d’abonné Google+,je croyais que c’était dans les 326 million d’abonnée !!!! et non pas comme vous avez cité

  52. Une des faiblesse de Google + est de baser son author rank sur l’individu et non pas l’entité. C’est bien pour les bloggueurs, un peu moins constructif pour les entreprises (là où se trouve le pognon).
    Bien sur, on peut créer une page pro … mais inféodée à celle d’un individu !
    Toto de l’entreprise machin quitte la boite, c’est le bazar pour dissocier les deux, voire générateur de conflit et / ou contentieux …
    Facebook a mieux vu l’ouverture au monde professionnel

  53. Google+ c’est rien d’autres que le petit chouchou de google. Alors, pour impressionner le maître, il faut bien côtoyer son plus proche.

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