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Avec Baraza, Google veut enrichir les contenus du web africain

Pour créer du contenu rapidement, quoi de plus efficace que de faire travailler contribuer les internautes eux-mêmes ? C’est la voie choisie par Google pour le…

Pour créer du contenu rapidement, quoi de plus efficace que de faire travailler contribuer les internautes eux-mêmes ? C’est la voie choisie par Google pour le web Africain, qui selon la firme de Mountain View manque de contenu local qui lui soit spécifique.

Google vient donc de lancer Baraza, un service de questions-réponses dans l’esprit de Yahoo! Anwers, qui permet à chacun de poser une question sur n’importe-quel sujet qui touche spécifiquement l’Afrique, et d’obtenir des réponses de la communauté.

“Baraza”, qui signifie signifie “force de travail” ou “conseil” en swahili, et qui a été lancé le 25 octobre dernier, est disponible en anglais et en français.

Pour en savoir plus, allez donc de ma part lire l’excellent article complet d’AfricanScreenShots sur le sujet, sans oublier de faire un tour sur les blogs africains, de plus en plus nombreux, en commençant par exemple par le blog de Yoro, dont j’avais publié le portrait ici, et en suivant les nombreux liens qu’il propose dans sa sidebar. Lire également l’article sur le blog de Google Africa.

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Par : Opera
16 commentaires
16 commentaires
  1. Mais google ignore peut-être qu’en Afrique les connexions aux webs sont rares et que les africains ont d’autres préoccupation que de participer à un programme américain…
    Hasna de Djibouti (en Afrique comme beaucoup l’ignorent !)

  2. L’Afrique est un énorme marché, malgré tout. Et prendre des part de amrché dans le net aujourd’hui c’est s’assurer un bel avenir à 15-20 ans… plutôt qu’aplaudir google il faudrait s’en inspirer…
    Patricia

  3. @Seotons Cos
    C’est un des gros problème du net avec le développement massif du “communautaire” participatif que mettent en place des entreprise et qui font bosser des personnes sans les rémunérer pour le profit de l’entreprise.
    On appel ça l’esclavage moderne et c’est sanctionnable pénalement dans tous les pays comme en France avec les lois sur le Travail Dissimulé sanctionnant pénalement donc de prison et fortes amendes ! L 324-9 et suivants du code du travail !

    En Afrique Google développe l’esclage moderne, en Grande Bretagne des entreprises de gardiennage utilisent les internautes pour surveiller les caméras de parking, en lieu et place de salariés, etc …

    Mais bizarrement les internautes, blogueur de tous poils, ne semblent pas bien analyser la situation.

  4. Jamais vu des commentaires aussi mal informés, dire que Google est dans le “communautaire participatif”, c’est ne pas connaître le développement et les métiers de cette entreprise.
    Google ne met pas en relation des personnes entre elles mais met en relation des personnes avec un stock de ressources trouvables ou non sur le Web.
    La démarche est une démarche de scaling, technique de recherche dans un volume important d’information générées par un nombre tout aussi important d’utilisateurs et non pas une démarche de Web communautaire.

  5. Rien de suprenant à ce que Google cherche à s’implanter sur cette terre encore d’avenir pour le web qu’est l’Afrique. S’assurer une place aujourd’hui, c’est s’assurer des bénéfices gigantesques dans 10 ou 15 ans.
    Patricia

  6. Juste un projet développé par quelques geeks kényens travaillant à Google Afrique (basé à Nairobi (Kenya))… Comme certains ci-dessous, par persuadé par le projet, il finira surement à la poubelle avant deux ans…

    Enfin, comme toujours, beaucoup ont encore une image dépassée de l’Afrique; à penser que les africains sont dépasés. Et bien, je le repète encore, ce n’est pas le cas !!! Beaucoup de pays africains ont une croissance positive avec un nombre d’abonnés/possesseurs de téléphones portables qui ne cessent d’augmenter

    Au Kenya, je fais mon shopping et paye mes factures avec mon téléphone sans passer par intermédiaire/banque (M-pesa ou Zap) et ce depuis 2007 (et vous trouverez cela nulle part ailleurs dans le monde); et les prix des communications sont devenues minimes grâce à la concurrence.

    Nokia a même lancé ses derniers téléphones en exclusivité mondiale de Nairobi (celui avec chargeur vélo intégré, lampe diodie et dualcard – pour avoir deux SIM dans le même téléphone).

    Le dernier concours “Global Growth Economy Venture Challenge” de Nokia a été gagné par une société kényenne (il a gagné 1 million de dollars) et très prochainement Nokia va tester son système de paiement par téléphone au Kenya puis va le lancer dans le monde entier.

    Et toutes les multinationales du sotware/hardware sont maintenant installés au Kenya.

    Bref, ce Baraza n’est qu’une bétise… juste le petit pic de l’iceberg…

    Comme disent les développeurs ici, “si cela fonctionne en Afrique alors cela fonctionne dans le monde entier”

    1. @TheBigBoss : merci pour ces infos très intéressantes sur le web en Afrique. Cependant le Kenya n’est peut-être pas représentatif de toute l’Afrique, si ?

  7. L’initiative est interessante, mais les questions posées artificiellement sans beaucoup de délicatesses par l’équipe de modération donne une mauvaise image.
    C’est remplis un peu à l’arrache, on est habitué à mieux de la part de google.
    Esperons que ce site trouve son publique et comble un véritable manque.

  8. Les affaires

    Inculpé dans une affaire de pots-de-vin et fausses factures, un homme politique est représenté au tribunal par son avocat.

    Celui-ci obtient l’acquittement, et se précipite sur un téléphone pour annoncer la bonne nouvelle à son client.

    – Monsieur le député, la vérité a triomphé !

    Et l’autre répond :
    – Faites appel !

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