Je pensais à ça l’autre jour en recherchant une activité locale sur Google : pourquoi n’existe-t-il pas d’extensions de domaines localisées, qui permettraient d’identifier la ville dans laquelle est édité un site web ? On pourrait par exemple imaginer que les extensions reprennent les abréviations de la convention IATA utilisées par les professionnels du voyage pour identifier les aéroports. Ainsi on aurait une liste toute prête et assez facilement compréhensible pour le public : par exemple un site édité à lyon aurait pour extension .lys, ce qui ne l’empêcherait pas bien sûr d’avoir aussi son .com ou autre.
Bénéfice pour l’internaute : repérer en un coup d’oeil l’implantation géographique d’une entreprise, par exemple. On peut bien sûr imaginer d’autres applications, probablement.
Qu’en pensez-vous ? Idée saugrenue ou piste à creuser ?
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On a un débat en cours en Bretagne sur l’extension .bzh; avec une pétition pour l’avoir etc…
bzh.geobreizh.com/www/bzh…
suite à cela j’ai oui-dire (en fait je ne retrouve plus la référence) qu’ouvrir une nouvelle extension coute 80.000 €. Ce qui n’est pas rien quand même.
(Au passage, vous pouvez signer la pétition 😉
En parlant de iata moi je vole à LFHW donc je suis http://www.pierre.lfhw pas mal ton truc mais à 80000 euro l’ouverture d un point faut pas ce louper
Plus prosaïquement, on pourrait faire ouvrir par l’Afnic des .quelquechose.fr, à l’image des .gouv.fr.
Pour Lyon : machin.lys.fr ou (parce que tout le monde n’identifie pas les codes aéroportuaires facilement) machin.lyon.fr, ou .ly.fr et machin.pa.fr pour Paris ou machin.idf.fr pour l’Île-de-France.
Le Canada le fait pour tous ses états (le .qc.ca québécois).
L’idée me parait vraiment excellente mais difficilement réalisable en effet en fonction des couts.
Par contre un bout de code à inserer dans une page web et qui afficherait un bouton très discret indiquant la situation géographique d’un site avec un nom de ville parmi toutes celles existantes dans le monde, pourquoi pas.
hum à reflechir
Je trouve que c’est une bonne idée, mais aussi que ça peut devenir une belle pagaille toutes ces extensions.
Moi je suis plus pour le géocodage de sa page et qui permet de retrouver tous les sites à proximité d’une latitude et longitude et donc d’une ville quelle qu’elle soit. J’ai référencé un des mes sites et mon blog mais peu le font.
Très très bonne piste à creuser !
Je sais pas si c’est techniquement possible, mais si ça l’est, il faudrait vraiment s’y mettre tout de suite, car c’est une super idée.
on en parle déja pour la bretagne en effet, pour le pays basque
pourquoi ? car la Réunion a déjà son extension
Dans le meme temps, on parle d’une extensions .nyc pour la ville de New York
donc piste DEJA creusée.
Je m’emmèle les pinceaux déjà entre l’extension .ch ou .com de mon site. Pour aller jusqu’au bout de votre réflexion, le mieux serait de pouvoir prendre simplement n’importe quelle extension, genre: http://www.prenom.nom
on pourrait avoir comme adresse: je.vous.aime
Joli, non ?
on.vous.attaque
Il me semblerait plus simple d’avoir des métadonnées sur chaque page avec ces infos. D’ailleurs, je me demande si les Dublin Core ne font pas déjà ça, hmm ?
idée saugrenue !
Que signifie qu’un site est édité à Lyon ? si tu déménages, tu changes d’extensions ? qui controlera ? personne (ou se sera mal controlé), donc tout sera possible !
et tant qu’on y est, pourquoi un modele en "un.deux.trois" ? et pourquoi pas "un deux trois" ou "un" ou "je fais comme je veux" ?
dernière question: quel est l’interet pour un internaute de reperer l’implantation géographique d’un site ?
et après, pour le trouver, on lui associe un nom de rue et on fait un plan ? et un viamichelin pour se répérer ? tiens, fuzz.fr se trouve dans la même rue que presse-citron.net ! 😉
en chine, ca existe aussi : shanghai -> sh.cn
mais peu de gens l’utilisent ….
La liste n’est pas assez exhaustive; je dis ça parce que je ne trouve pas celle où j’habite, Aix-en-Provence.
A quoi ça sert?
l’idée du web est de vendre a tout le monde. Un point com permet d’être universel, si on veut que l’on sache d’ou je suis ils suffit que mon domaine le precise "jesuisdelyon.com"
de part rien n’empeche de faire ça propre extension "monsite-lyon.com"
et la ca coute pas 80 000 euros!
Trop d’extension risque de tuer le web. C’est la porte au n’importe quoi.
Dans ce cas la on pourrai faire comme le foot.
allez .lys contre les bretons .bzh
mais non c’est nous les meilleurs les .mar de marseille !
ca va etre aussi difficile de tout retenir. Franchement combien de personnes connaissent les abréviations de tous les aéroports?
De + nombre de nos concitoyens de savent deja pas le nom de la rue en face de chez eux alors une extension en .lys
d’ailleurs on voit aussi que ca risque de pas marcher le .fr a se vendre. Quand au .eu seul les cybersquatteur l’on achetait.( a mon avis tout le monde s’en fout du .eu, le .us d’ailleurs n’a pas trouvé beaucoups de preneurs.
Et pour finir a quoi ça sert que google se décarcasse a faire de la geolocalisation?
si tu veux un site a lyon les moteurs de recherches votn etre tellement precis quil te ponderont tous les sites a lyon en excluant lesautres.
et aussi comment fais tu pour mettre une extension a 2 villes dont le nom est similaire???
martigues marseille
mar?
lyon .lys ? et la ville de st lys ? etc etc
aussi l’exemple des gouv.fr
peut de gens le savent
je vois vraiment pas a quoi ca sert a part rallonger le nom de domaine
que le site soit edite a paris ou a marseille ca change quoi??
Et pour Paris, on utilise CDG ou ORY ? 😀
en russie c’est aussi utilise sous la forme
http://www.adresse.ville.pays
en russie c’est aussi utilise sous la forme
http://www.adresse.ville.pays
Plutôt que des noms de domaines hyper-localisés, ce sont plutôt des noms de domaines (et de sous-domaines) hyper-thématisés qui seront utilisés.
Pour reprendre ton exemple dans l’aéronautique, le TLD .aero réservé à cette communauté va sans doute servir de base à la création d’une multitude de sous-domaines thématisés permettant d’accéder facilement à une information spécifique. Les lieux seront pris en compte comme des thèmes mais gérés par des sous-domaines. Par exemple cdg.airport.aero donnerait accès à un portail pour l’aéroport Charles-de-Gaulle sur lequel l’internaute aurait ensuite accès à tous les services de cet aéroport.