Cette année pour le concours Google Science Fair, un jeune français est toujours en lice pour aller en finale avec son projet Bot2Karot, un robot jardinier prévu pour gérer un potager depuis un smartphone. Eliot Sarrey, c’est le nom de ce jeune adolescent qui représentera la France, aura face à lui 19 autres concurrents au mois de septembre, au siège de la firme de Mountain View. Le vainqueur remportera 50 000 $ de bourse d’étude.
Un jeune adolescent de 14 ans va proposer son robot Bot2Karot à la finale du concours Google Science Fair
Eliot Sarrey a été très fier de déclarer : « J’espérais que mon projet me permettrait d’accéder à la finale, mais je ne m’y attendais pas. C’est vraiment une grosse surprise », ajoutant avec émotion : « C’est la première fois que je vais me rendre aux États-Unis, c’est vraiment super ».
Son robot Bot2Karot permettrait à des jardiniers qui ne sont pas présents chez eux de continuer à entretenir leur potager à distance, via un smartphone. Il suffit en effet, que le bras articulé du robot choisisse l’outil adapté. Il est possible d’imaginer que cette technologie puisse également servir pour des personnes handicapées, ou de façon encore plus vaste, de créer de nouvelles machines pour l’agriculture.
Toutefois, le petit français aura du fil à retordre, car face à lui se trouveront des projets bien plus complexes, à l’instar de celui de Tanay (18 ans) un jeune britannique et pour lequel sincèrement nous ne comprenons rien. Il proposera : « un algorithme de vision topographique par ordinateur pour des diagnostics hématologiques et une détection des parasites rapides et peu onéreux grâce au modèle de classification des forêts aléatoires et à l’imagerie de type van Leeuwenhoek ». Vous comprenez quelque chose vous ?
On souhaite vraiment bonne chance à Eliot et son robot jardinier Bot2Karot, pour qu’il remporte le concours Google Science Fair 2015. La précédente édition de ce concours avait accueilli un autre français Guillaume Rolland, avec son réveil olfactif.
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C’est vraiment cool pour lui, il a du mérite.
Pour ce qui se demande à priori , il s’agit d’un système d’analyse des parasites sanguin à l’aide d’une lentille low-cost à mettre sur la caméra d’un smartphone.
L’idée des deux chinoises de détecter de l’essence frelatée grâce à au son qu’elle produit quand on la frappe dans une bouteille est assez sympa et simple à mettre en oeuvre, faudrait étendre ça au vin 😉