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Google se lance dans l’éducation en ligne avec EdX

Google va travailler avec EdX, une plate-forme d’éducation en ligne fondée par le MIT et l’Université de Harvard en 2012, un projet baptisé MOOC.

Le lancement de Mooc.org est prévu pour 2014. La plateforme sera hébergée par Google, via son service de cloud computing. Celui-ci va peut-être même fournir quelques cours en ligne.

Quant à EdX.org, c’est une organisation à but non-lucrative fondée par le MIT et Harvard. Les cours qui y sont disponibles sont déjà utilisés par près de 12 millions d’étudiants. Mais contrairement à Mooc.org qui devrait être une plate-forme « Open Source », edX.og ne fournit que des cours provenant d’institutions partenaires du projet, comme les deux entités fondatrices, l’Université de Californie ou Standford. Grâce à cette nouvelle plate-forme, EdX pourra accueillir plus de contenus provenant d’autres universités, d’entreprises et d’experts. Annoncé comme étant le YouTube de l’éducation en ligne, Mooc.org sera un moyen d’avoir du contenu pédagogique plus diversifié.

Ce n’est pas la première fois que Google s’implique dans l’éducation en ligne. En 2012, la firme a introduit Course Builder, un outil en ligne permettant de créer des cours. Cette technologie fera partie de la contribution de Google, dans le cadre de ce partenariat avec l’organisation EdX.

Pour le moment, on ne sait pas comment le projet sera financé. Mais le président d’EdX, Anant Agarwal, a exprimé son désir de voir une plateforme autonome.

En tout cas, cette nouvelle annonce une sérieuse concurrence pour les plateformes existantes comme Coursera ou encore Udacity. Ce dernier vient récemment de lancer un partenariat avec des géants du high tech, incluant Google, Nvidia ou encore Autodesk.

(Source)

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Par : Opera
1 commentaire
1 commentaire
  1. Le débat sur les cours en anglais voulus par le gouvernement risque d’être mort-né (beaucoup de bruit pour rien)
    Toutes les universités du monde vont avoir accès à des cours en anglais de haut niveau. qui vont être produits même par les universités… non anglophones, pour avoir accès à une audience maximum.
    En France aussi des écoles s’associent pour créer des plateformes de ce type.

    Ça va certainement aller assez vite.

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