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Les métiers du web #1 : Fleur Marty, chef de projet freelance

J’ai reçu plus de 50 réponses à ma proposition d’enquête sur les métiers du web. J’ai donc été contraint de trier car beaucoup font double-emploi, afin…

J’ai reçu plus de 50 réponses à ma proposition d’enquête sur les métiers du web. J’ai donc été contraint de trier car beaucoup font double-emploi, afin de dégager si possible une dizaine de profils significatifs.

Fleur Marty, alias Flaoua, 29 ans, Chef de projet freelance à Paris, fait partie de ceux-ci et inaugure la série.

Fleur Marty - Chef de projet multimédia freelance

Fleur, quel est ton métier en en quoi consiste-t-il ?
Je suis Chef de projet freelance, spécialisée web, mais aussi sur des projets plus avancés (jeux vidéo, mise en place de solutions personnalisées pour des entreprises).
Je gère les intervenants ou l’équipe en charge de la réalisation d’un site web.
La création web étant un domaine très riche faisant intervenir plusieurs compétences (graphistes, codeurs, ergonomes, créateurs multimédia, son…) mon métier consiste à coordonner tous ces acteurs du projet afin d’harmoniser et de rendre cohérente et efficace leur production.

En temps que freelance, quels sont tes principaux clients, et tes interlocuteurs habituels ?
Je travaille majoritairement avec des agences de communication, qui sont mes principaux interlocuteurs et prescripteurs. J’interviens en avant-vente, en réponse aux briefs que les agences reçoivent de leurs clients. Je les aide à monter les dossiers, structurer la réponse au appels d’offre. Il y a dans ma mission un travail important en amont du démarrage du développement.

Quels sont ton cursus personnel et ta formation ?
Je travaille dans le web depuis 1996. J’ai commencé par le développement et la programmation puis mon parcours m’a conduit chez différents grands acteurs de l’internet français (fournisseurs d’accès, éditeurs de jeux vidéo…). Je suis complètement autodidacte pour ce qui concerne le web pour lequel je me suis formée sur tas, ma formation initiale ne correspondant pas trop à ma situation actuelle, vu que je suis titulaire d’un DEUG d’Histoire !

Tu a précisé précédemment que tu faisais principalement du web mais également d’autres projets. Dans quelles proportions ?
Je travaille à 80% sur des dossiers liés au web, le reste étant principalement les jeux vidéo et d’autres projets IT.

Quelle est ton organisation personnelle et la forme juridique de ton activité ?
Je travaille chez moi. Mon domicile est le siège de ma société Flaoua Corp, une SARL unipersonnelle.

Fleur, peux-tu décrire ta journée-type ?
Etant donné que je travaille chez moi je n’ai pas d’horaires très définis, mais je sais que je passe une partie importante de mon temps au téléphone d’une part, et en réunion d’autre part, chez mes clients. Le téléphone et les réunions de point d’avancement des projets constituent la majeure partie de ma journée, entre 4 et 5 heures par jour. Le reste du temps je travaille à la rédaction de dossiers, réponse aux briefs, mise en place d’équipes pour un nouveau dossier, et il m’arrive de remettre un peu les mains dans le cambouis en codant moi-même si le projet le nécessite et que je n’ai personne sous la main à ce moment-là.

Utilises-tu des outils web spécifiques dans le cadre de ton activité ?
J’utilise un peu Facebook, à double titre : d’abord pour moi, comme tout membre de Facebook, mais également pour certains clients, notamment les entreprises qui souhaitent avoir une présence sur ce réseau social. J’ai déjà conduit des projets de développement d’applications Facebook pour quelques clients.
Sinon j’utilise beaucoup Basecamp, qui est idéal pour le suivi de projets.

Hola, Basecamp, mais c’est encore un outil assez typé “geek”, non ? Tu arrives à évangéliser les clients non-initiés au web 2.0 et à les convaincre d’utiliser Basecamp ?
Ca m’arrive mais c’est vrai que c’est assez rare. En fait je l’utilise surtout pour moi 🙂

Quelles sont les compétences principales selon toi dans ce métier ?
Je placerais la capacité d’organisation en premier. La sienne, mais aussi être capable de gérer celle de plusieurs personnes. Je le dis d’autant plus facilement que je suis complètement bordélique en privé.

Donc on peut être bordélique en privé et super organisé du point de vue professionnel ?
Oui, c’est indépendant et déconnecté. Je suis très rigoureuse dans ma vie professionnelle, il existe de nombreuses méthodologies éprouvées et reconnues en matière de gestion de projets multimédia, mais comme aucune ne me convenait complètement, j’ai construit ma propre méthode, qui est un peu un mix de ce qui existe et que j’ai adapté à ma sauce.

A part l’organisation, d’autres qualités ?
Oui, je dirais que la capacité de gestion de la relation humaine est aussi fondamentale : il faut savoir s’adapter à tous les profils avec lesquels on travaille, un graphiste et un codeur n’ont pas la même façon de fonctionner. Il faut donc aussi faire œuvre de pédagogie.
Enfin je dirais que les compétences techniques sont un plus : même s’il n’est pas forcément indispensable d’être une pointure en programmation, avoir quelques notions de développement web est un plus car cela permet de faire des choix plus facilement sur telle ou telle voie technologique, et accessoirement d’être plus crédible auprès des équipes qu’on coordonne.
J’ajouterai aussi que si on veut se lancer à son compte il est fondamental d’avoir déjà un bon réseau professionnel, et si possible d’avoir déjà exercé ce métier pendant quelques années auparavant, ce qui permet de connaître les erreurs à éviter et d’être opérationnel rapidement. Sortir des études et démarrer immédiatement en créant sa structure est très très hasardeux.

Tu as un blog, est-ce que celui-ci fait partie intégrante de ta sphère professionnelle, est-il un relais en termes de visibilité, ou est-ce complètement déconnecté ?
Mon blog est très… perso et ne date pas d’hier. Il ne peut donc pas être considéré comme vitrine de Fleur Marty, chef de projet. Il m’a même parfois valu des regards mi-étonnés mi-amusés de recruteurs dans le passé, mais ne m’a jamais desservi, au contraire, en montrant une autre facette de ma personnalité que les gens ont semblé apprécier.

Parlons un peu argent, comment factures-tu, et combien ?
Ca dépend des projets, mais la moyenne pour le web est de 550 euros par jour. Bien sûr si le dossier est important et que le projet s’étale sur plusieurs journées, je forfaitise et je propose un budget global fixe au client. Pour le jeu vidéo ou les autres projets IT, c’est un peu plus élevé.

En conclusion, Fleur, tu es heureuse de ta vie professionnelle, tu aimes ce que tu fais ?
J’adore ! Pour rien au monde je ne reviendrais à une autre situation (salariée…). C’est un luxe de bosser pour soi, de pouvoir choisir ses clients, ses projets, et les gens avec qui on travaille. Ce métier est varié et son domaine d’intervention est vaste.
J’ai choisi cette voie un peu par hasard et un peu sur un coup de tête suite à une démission du poste que j’occupais avant, et je ne le regrette pas une seconde !

Repères :
L’url de son blog : http://log.fleur.net
L’url de sa boîte : http://www.flaoua.fr
Son Twitter : http://twitter.com/Flaoua
Son profil Linkedin : http://www.linkedin.com/in/flaoua
Son profil Facebook : http://www.facebook.com/profile.php?id=600375677

Formations (source : Helia.fr) :
INPG
ESSEC
ABC Formation
Les ateliers des Gobelins
Université Montesquieu – Bordeaux IV
UVSQ

Bibliographie :
Conduite de projet web – Editions Eyrolles
Réussir un projet de site web – Editions Eyrolles

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Opera One - Navigateur web boosté à l’IA
Opera One - Navigateur web boosté à l’IA
Par : Opera
38 commentaires
38 commentaires
  1. Très bonne interview.

    Ce qui est flippant c’est la vitesse à laquelle se développe le net et les nouvelles technologies.
    Je peux pas m’empêcher de me dire que certaines compétences peuvent devenir rapidement obsolètes, nécessitant de lourdes formations pour rester au niveau.

  2. Etonnant, j’ai croisé Fleur dans mon premier boulot chez un éditeur de jeux mobiles.
    Que le monde de l’informatique est petit !
    En tout cas, tu as eu bien raison de te mettre à ton compte.
    @+

  3. @BenReilly : ce que je trouve flippant au contraire, c’est le décallage entre ceux qui pensent que le web est d’une importance croissante, indéniable et immense (toi, moi) et une autre génération, qui pense que blogueur = kikoolol/skyblog et que internaute = délinquant, et que bon, le téléchargement, le haut débit, tout ça, c’est pas vraiment important, avant on faisait bien sans etc.

    Ca, ça me fait peur. Et en même temps, à mon avis, celui qui a bien compris le web et ses enjeux à une longueur d’avance sur ses camarades qui passent leurs journées sur Facebook et ne savent même pas que IE possède un concurrent (Firequoi ? Un navigateur ? Pour quoi faire ? ou bien : “oui, je connais Firefox, mais j’aime pas il est moins beau que Internet Explorer, et puis c’est énervant, il me demande tout le temps d’installer des mises à jour, j’ai l’impression d’utiliser un produit pas fini et donc pas très sûr).

  4. Merci pour cette brillante interview . Je compte également me lancer en freelance sur les reseaux sociaux.@Benreilly C’est vrai que le web évolue vite et nous évoluons avec lui . La formation on se la dispense directement en passant nos heures sur le web mais c’est vrai qu’il est parfois difficile de suivre toutes les nouveautés. Heureusement y a presse-citron pour nous tenir au courant . @+

  5. Très bonne idée ces articles !

    Perso je suis encore au lycée, et j’hésite entre deux de ces professions :

    – juriste internet (ou plutôt avocat de la proprio intellectuelle)
    – responsable référencement et marketing

    Je verrais. En tout cas c’est sûr que tant que je le pourrais, je bosserai en freelance.

  6. Arf : les rêves des métiers qu’on veut faire…

    Moi, j’étais fort en maths et en physique au Lycée, alors je me suis dit que la prépa serait facile, et que je pourrais envisager les grandes écoles d’ingénieur. La blague !

    Bref : Alex, les années dans lesquelles tu arrives sont (à mon avis) celles qui sont les plus importantes dans les choix d’orientation, car c’est maintenant que tu va commencer à voir ce que l’on fait vraiment dans le monde professionnel. Et ça change beaucoup de chose.

    Exemple : entre un ingénieur qui travaille dans l’aviation (par exemple, dans la conception d’une pièce du moteur d’un avion) et celui qui travaille à créer la forme la plus rentable d’un pot de yaourt, ben… y’a pas tant de différence que ça.

  7. Le Web c’est pas une innovation c’est juste une suite logique d’un truc que l’on nomme les systèmes d’information.
    Les innovations pure c’est un truc super rare.
    Par contre l’informatique à bouleversé énormément de métiers. Avant par exemple pour pouvoir imprimer une pauvre page il fallait une armés de métiers (typo, presse, etc).
    De pouvoir transmettre des données sur des longues distances et de façon immédiates à bouleversé notre écosystème.
    Nous sommes passés d’un écosystème local à mondial, en peu de temps en plus.
    Aujourd’hui la réflexion, car y’a toujours des types malins en observation, c’est :
    C’est dingue: Il y a des projets sur le web qui se font avec une grande vitesse de réalisation mais sans organisation !
    Et d’autres de remarquer: purée si nous pouvions appliquer cette méthode à nos monstres d’entreprises nous ferions de sacrés économies en management….

    Moralité : Rester un modeste artisan créatif cela offre beaucoup plus de débouchés pour un futur passage en freelance ,

  8. AbriCoCotier -> Je n’en doute pas 🙂

    Rien qu’au lycée, je commence déjà à avoir ma dose de maths et de physique, donc je ne pense pas qu’une MPSI et des grandes écoles d’ingé soient mon truc.

    Et c’est vrai que si sur le papier des métiers paraissent séduisants, il en est tout autre dans la réalité.

    Le principal je pense est de finir par trouver un boulot sympa qui ne nous fait pas trop chier (ou mieux, qui nous plait – et puis pourquoi pas assez rentable, aussi :p) et j’ai encore le temps de laisser mûrir mes réflexions.

  9. @Alex : “rentable” ben tu vois même ça, c’est pas gagné.

    Regarde : on nous bourre le mou toute notre scolarité pour qu’on fasse des études et qu’on aie des boulots qualifiés.

    Ben au final, la réalité n’est jamais aussi rose. Exemple : le mythe selon lequel on ne travaille plus en école d’ingénieur après avoir fais une prépa n’est qu’un énorme mensonge. EN fait tu travailles moins certes, mais c’est très loin d’être des vacances.
    De plus : le mythe selon lequel en sortant d’une école d’ingénieur, tu es le roi du pétrole (milliers d’euro & co) n’est qu’un gros mensonge également : aujourd’hui, un ingénieur sortant de l’école est très rarement payé plus de 2500€ (la moyenne doit plutôt de situer aux alentours de 1800€/mois, et encore, en travaillant beaucoup plus que 35 heures). Et même 2500€, ça n’est pas grand chose quand tu dois payer tes transports, la location d’un appartement, ta bouffe, tes impôts, bref, tout.

    Conclusion : bien payé, bien payé… Les premières années sont dûres. Et encore : les cas que j’ai cités plus hauts sont ceux de gens qui sont plutôt bien logés par rapport à la majorité de la population.

    Tout ça pour dire que, à moins de gagner au loto (ou de faire Polytechnique/ECP/ENSMP/HEC/ESSEC), on est pas prêt de se payer un Porshe.

  10. Cela dit, il est clair qu’être son propre patron reste une bonne place, même si elle nécessite beaucoup de sacrifices (un patron bosse rarement moins de 50 heures/semaine).

  11. Je plussoie ce que tu dis, parce que j’ai déjà recueilli des témoignages semblables. Et même en faisant des écoles du groupe A (X, Mines, Ponts, Supélec et compagnie) j’ai l’exemple d’un ingé major de sa promo qui bosse actuellement chez Orange pour 2500€/mois et qui finit à 21h tous les soirs.

    Donc non, c’est sûr que les études ne sont pas l’assurance d’avoir un bon boulot, et la propagande qui prétend le contraire est une… propagande, justement.

    Après le secteur informatique et TIC est déjà surchargé (et la situation ne va pas s’arranger) donc ce sont eux qui arriveront à faire leur place qui vont rafler la mise, la majorité récoltera les miettes.

  12. @Alex : je suis d’accord, mais je rajouterai je ça n’est pas nouveau ! On a l’exemple aujourd’hui avec l’info et les TIC, mais y’a trente ans c’étaient les… je sais pas mais ça a toujours fonctionné ainsi : les plus malins s’en sortent (et pas forcément les plus savants !)

  13. Vous oubliez un autre facteur, c’est qu’a 40 ans z’ou dehors, même pour des hypers diplômés.
    Donc si vous voulez continuer à gravir les falaises de la hiérarchie il faut un MBA (y’en à 80 000 euro..)
    Vous prenez le large le plus tôt possible, c’est un conseil !

  14. Déjà qu’on est en dèche pour se loger/se nourrir/se déplacer, c’est pas pour se payer un MBA !

    Mais cela dit, c’est vrai que ça peut être un bon point sur un CV.

  15. La conversation me passionne car elle montre bien la différence entre ce que vous apprenez par les voies traditionnelles ( pour moi la faculté ) et la réalité du terrain … Rien n’est en phase entre le monde du travail et le parcours en faculté .
    Exemple : j’ai suivi une filière économique et pas un cours où on apprend à créer une société…comment voulez-vous qu’un pays soit compétitif si on n’y apprend pas ce genre de chose. ça me paraît indispensable! J’avais 1h30 de cours d’anglais seulement par semaine en filière éco. Une amie qui étudie les ” cailloux ” en science ( ne me demandez pas ce qu’elle étudie précisément )en avait 3 H…va comprendre!
    Peut-être qu’il fallait plus d’heure d’anglais pour parler à des cailloux…

  16. Capitaliser pour votre pomme, pas celle des autres.
    Vous allez en paver 3 à 4 ans tout au plus au début et après vous garantissez votre avenir car c’est vous qui l’avez fabriqué.

    Je croise des X et autres qui sont obligé de passer un MBA (sinon zou..)

  17. Ben au moins, l’avantage de ces formations (ou plutôt de ces non formations), c’est que ça met en valeur ceux qui se sont bougés le cul et ont des expériences extra-scolaires !

    Et puis bon, l’anglais, aujourd’hui, c’est pas si difficile à apprendre. Tu arrête de télécharger/regarder/louer des films en VF et tu les regarde plus qu’en VOST FR d’abord puis au bout de 6 mois un an en VOST EN et je te garantie que ton niveau va s’élever très rapidement et efficacement !

  18. Tu bosses à ton compte, le plus petit statut possible et tu réponds aux annonces de recherche d’emploi avec ce statut, c’est aussi simple que ça.

  19. Non…
    Les entreprises sont dans une logique de moindre coût, quand ils utilisent les services d’un indépendant, ils n’ont pas les problèmes de licenciement, les charges etc.
    Toi tu doit coller de côté 50% de ce que tu gagnes pour payer tes charges. Si tu factures 500 € / jour tu bosses combien de jour pour avoir un salaire identique au tien en tenant compte des 50% de charge.

    Ah ben oui je sais ça fait réfléchir….

  20. Pour un enregistrement en Eurl, c’est 200 € environ, tu doit suivre des cours sur 2 jours (200€ environ) et voilà c’est fini, tu peux facturer.

  21. AbriCoCotier -> Clair pour l’anglais, depuis que je regarde plus mes films et séries qu’en VOST(en) je suis quasiment bilingue (sans me vanter). A compléter avec quelques bons podcasts (www.anglaispod.com). A l’école on apprend les bases, un peu de vocabulaire, mais si on plonge un étudiant qui ne fait qu’apprendre ses cours dans une conversation d’anglophones, il saura rien dire…

    Du côté de la création d’entreprises en France, outre le fait que l’esprit entrepreneur n’est pas assez mis en valeur et que le grand public n’est pas informé (même en filière éco, c’est tout dire), c’est en effet les charges qui sont intenables (dans les 50%).

    Un nouveau statut va arriver en 2009 (autoentrepreneur) avec des charges qui tombent à 15-20%… la France se réveille, il était temps.

  22. @yaka : t’as testé ? Ca marche au niveau des entreprises ?

    Et pour quelles compétences/jobs dans ton cas ? Quels retours des entreprises as-tu ?

  23. Ils orientent mal les jeunes. S’épanouir dans l’entreprise, tu parles d’un rêve !
    En plus la direction au niveau mondial va vers l’utilisation au maximum des compétences externes, donc il faut démarrer maintenant pour être pénard dans quelques années.

    Moi je bosses à mon compte depuis 4 ans je crois je sais plus bien. Quelque soit le job ça marche.
    La cerise sur le gâteau c’est que tu peux bosser de chez toi, ben oui le matos passent dans les charges. Si tu restes sur une fourchette de 350 / 400 tu vas trouver partout.

  24. Le retour des entreprises si tu fais ton job correctement tu fais partie de leur famille, sauf que toi tu as envie de partir 3 mois de vacance ben pas de problème…

  25. Nous avons donc un point commun !!!
    Heureusement qu’on peut rester bordélique en privé et malgré tout être super organisé du point de vue professionnel !

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