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Les Victoires de l’Internet

Vidéo clip de l’année : Kamini – Marly Gomont.Clip vu 4 millions de fois sur Youmotion et Dailytube, réalisé avec 200 Euros de budget (enfin selon…

Vidéo clip de l’année : Kamini – Marly Gomont.
Clip vu 4 millions de fois sur Youmotion et Dailytube, réalisé avec 200 Euros de budget (enfin selon la – déjà – légende en tout cas), que je n’avais jamais vu avant ce matin (même si on connait la chanson et l’histoire par coeur depuis pas mal de temps déjà).

Sinon, Vegetal d’Emily Simon élu meilleur album dans la catégorie Musiques électroniques/groove/dance, et Superbus dans Pop-rock ça me va bien aussi.
Sans parler de Grand corps malade, superbe.

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Par : Google LLC
4.3 / 5
158,3 M avis
14 commentaires
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  1. Victoire éphémère, peut être qu’il arrivera malgré tout à avoir un bon salaire toute sa vie si son marly tient le coup aussi longtemps qu’un Je te survivrai de Jean-Pierre François ou encore mieux un Patrick Hernandez Born to be alive

  2. Superbus ??? 2 minutes de concert à Benodet m’a suffit. Je précise, 2 minutes de fou rire. Et même combat pour Dionysos et compagnie.

    Alors album Pop/rock.. 🙁

    "Sans parler de Grand corps malade, superbe."
    > Je préfère Abd Al-Malik, un grand artiste, de superbes textes. Mais GCM est très bon!

    Par contre, tout à fait d’accord pour le choix d’émilie Simon!

    (j’ai oublié de parler de kamiki? Bernard la grosse fouine résume bien ma pensée.)

  3. Pour Kamini, je ne fais pas de jugement sur le bonhomme mais sur le fait que le mec est devenu célèbre grâce à un clip à deux balles qui a fait son buzz sur le web (voir le titre de l’article).
    Je n’ai jamais vu Superbus sur scène et ce n’est pas dans mes projets mais je trouve que leur pop sautillante et acidulée passe bien en FM.

  4. Mouais a la rigueur pourquoi pas, disons que le buzz a bien fonctionné. Maintenant musicalement c’est pas trop ca.
    Quand on voit que Diam’s qui avait 4 nominations n’a rien gagné on est rassuré…

  5. Je suis d’autant plus éffondré que, depuis toujours, je m’étais juré de ne pas me scléroser, devenir le rouspéteur de base qui se plaint que "c’était mieux avant". Dans pas mal de domaine, c’est réussi. Mon modem ADSL2+ est aujourd’hui le fier héritier de mon 300bauds de 87, ma Honda Hornet 600 est plus sympa que mon Peugeot 103 SP, et passer une nuit avec Florence est franchement sans comparaison face à une sortie McDo avec Caroline et sa mère.

    Mais alors, question musique française, j’ai beau tout essayer, me défragmenter, me repartitionner, faire tous les restore cérébraux possibles et imaginables, je n’y arrive pas.

    Bénabar, Sanséverino, Delerme, Biolay, Grand corps malade, Diam’s enfin, tous, non mais.. c’est ça l’horreur.. tous, vraiment, ou alors, si j’en oublie, c’est bien la preuve que ça ne m’a pas vraiment emballé, bref, toute la nouvelle vague (le Tsunami, oui…) me laisse pantois, halluciné par l’engouement provoqué par ce ramassis de machins improbables qui n’auraient même pas eu le droit de figurer dans les morceaux démos de mon synthé Roland D-50 de 1987 (la version rack, hein, because j’avais déjà un DX7 comme clavier-maître).
    Ou est la musique ? Ou est la nouveauté ? Quand je pense que je trouvais que Nicola Sirkis chantait faux… ben tiens..Les mélodies, c’est à ce point une honte d’en faire ? Il y a plus d’inventions dans une parodie des Inconnus que dans un album de Delerme.
    Mais moi, je n’ai pas voulu ça, je m’en tape de mes vignt ans, j’avais pas de fric et je me faisais chier, moi je voudrais bien virer mes vieilles gloires et les remplacer par du neuf, mais c’est ma faute moi si la seule chose qui me fasse vibrer c’est de bientôt voir Polnareff à Genève ? On me payerais, jamais j’irais voir Superbus (même en tramway, humour), ça pompe sur Gwen Stefani, sur Blondie, sur tout ce qui traine et ça dépasse pas le petit bassin. C’est atroce comme sentiment. En 84, j’avais 18 ans, et j’aimais tout, de Marley à Front 242. J’ai été voir le premier concert à Bercy (du hard, les Scorpions), je ne vivais que pour Depeche Mode au point de reprendre le piano abandonné au conservatoire l’année d’avant, mais j’appréciais Mylène Farmer et je ne redoutais pas l’écoute de Brel ou Brassens. Mes potes non plus. Les Bérruriers Noirs, Jill Caplan, on était pas sectaire, y’avait du bon dans presque tout. De la qualité. Pour le même prix qu’un bazar rigolo mais sans aucun intêret "à la Anaïs" on avait droit à quelque chose d’autre qu’un Choco BN musical pour la récré d’une génération SMS pour qui la musique consiste à voter dix fois par prime de Star Academie.

    Et là, 23 ans plus tard, j’ai l’impression de me trouver dans un Leclerc un samedi soir à la fermeture. Y’a plus que des restes, des invendus, ça pue le vieux réemballé, et j’en veux pas.

    Allez, je vais me repasser le dernier Morrissey, ça va passer.

  6. Haben moi je trouvais que superbus fesait grosse tache dans le cru de cette année, quand on voit contre qui ils se battaient y a quand meme de quoi avoir peur (heuu je parle pas du dernier indochine qui est à chier.).
    Surtout que bon, c’est un prix décerné par les pro, si ça avait été le public on aurait compris.
    Ce qui m’a quand même le plus bluffer, c’est bénabar qui gagne avec les votes du public…
    Maitre, même s’il est vrai que la musique n’est pas très innovante, la majorité des artistes primés ce samedi chante quand même de belle parole.

  7. Je suis assez d’accord sur la facilité qu’a notre société à jeter son dévolu sur la soupe immonde mais facile à digérer que nous serve les majors.
    Néanmoins, les victoires de la musique reste un prix de distinction et de découverte. Aussi, je ne pense pas que Grand Corps Malade sois à classer dans ce pot-pourri, ni Emilie Simon malgré un album un peu plus pop et plus facile d’accès.
    Il faut se souvenir, qu’avant sa première victoire, son album avait déjà presque deux ans d’existence et n’était connu que de très peu de personnes.
    Oui c’est sur que le slam de Grand Corps Malade n’a rien avoir avec la pop de Polnaref, c’est sur que l’electro de mademoiselle Emilie ne ressemble pas à Depeche Mode, mais on ne peut décidément pas affirmer que ces deux là ne font pas de la musique une production différente de ce que l’on entend habituellement.
    Il suffit de se mettre Graines d’étoile d’Emilie Simon pour se souvenir que nous avons encore des artistes français qui créé de la belle musique, tout en sortant du lot.

  8. Aaaaaaaaaargh !
    Superbus ! mais c’est une honte, cette chanson, butterfly !
    Quand, par mégarde, je tombais dessus à la radio, je me disais que ça devait être la fille du directeur d’Europe 2, pour que passe cette daube à la radio !
    Heureusement que RadioDio existe !

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