Les utilisateurs sur Android ont la possibilité d’utiliser un clavier moins conventionnel que le classique azerty sur leur smartphone et tablette, même si le clavier d’Android 4.2 aka Jelly Bean est efficace avec l’intégration de la saisie gestuelle.
SnapKeys SI est un nouveau clavier en version bêta qui n’a rien à voir avec les alternatives que l’on connait. Composé de quatre touches colorées translucides qui sont superposées en bas de l’écran, ces mêmes touches sont elles-mêmes divisées en quatre tuiles dont l’une est une voyelle et les deux sont des lettres que vous utilisez le plus souvent dans une journée.
Le principe est simple : il suffit de taper sur une touche colorée à n’importe quel endroit pour insérer un caractère. Sauf que parfois, même souvent, la lettre dont vous avez besoin n’est pas visible donc il est nécessaire de taper sur les quatre touches colorées pour que l’application tente de prédire le bon mot ou la bonne expression. Au fur et à mesure que vous écrivez, des suggestions de mots sont affichées sur les côtés de l’écran. Si vous restez appuyé sur une tuile, vous pouvez aussi ajouter un des petits caractères disponibles aux extrémités des touches de couleur. La barre d’espace est sur le côté droit et la fonction de suppression est, quant à elle, sur le côté gauche.
Ce clavier d’un nouveau genre, qui allie simplicité et efficacité à condition de le maîtriser à la perfection, est actuellement disponible en anglais sur Android. Si vous voulez tester la version bêta, il faut commencer par s’inscrire sur le site officiel et ensuite télécharger le fichier .apk de l’application.
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On arrête pas le progrès. Clavier a tester car effectivement, il n’a rien de commun.
Original ok. Mais est-ce vraiment pratique/rapide/ergonomique pour une utilisation quotidienne et intensive de la saisie ? 🙂
Bonjour,
Waw c’est extraordinaire, ça rend les chose plus facile et plus rapide.
Apparemment, c génial , il continue encore et toujours à nous faire tourner la tête ces génies de l’informatique mais quelles sont vraiment les limites de l’innovation ?