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Test de la trottinette électrique Xiaomi M365

Une étonnante trottinette électrique stable et confortable pour moins de 300 euros, c’est la Xiaomi M365. Voici notre test complet.

Vous entendez certainement parler de plus en plus souvent de Xiaomi. Inconnue il y a seulement cinq ans, cette entreprise chinoise spécialisée dans les produits high-tech et objets connectés s’est rapidement imposée comme l’un des challengers qui comptent, notamment avec des smartphones haut de gamme à prix très compétitifs.

Mais Xiaomi c’est désormais un véritable empire dont la production s’étend à des centaines de références couvrant toute l’électronique grand public. Et parmi elles cette fameuse trottinette électrique Xiaomi M365 qui fait un malheur chez les geeks en recherche d’un moyen de locomotion urbain agile, amusant et écologique, le tout pour moins de 300 euros actuellement (promo, voir ci-dessous).

Nous en avons une depuis quelques semaines et je vous livre mes impressions après quelques trajets domicile-travail et autres déplacements dans ma bonne ville de Lyon.

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Déballage de la trottinette électrique Xiaomi M365

C’est le site de e-commerce high-tech Gearbest qui nous a fourni la trottinette. Le colis étant assez volumineux, il a fallu patienter un bon mois entre l’expédition de Chine et la réception dans nos bureaux du septième arrondissement de Lyon. Côté packaging, c’est très simple : la trottinette est pliée et il faut moins de cinq minutes montre en main pour la sortir de son carton et qu’elle soit opérationnelle. Il suffit de déplier la colonne de direction, de la fixer et la serrer avec quatre vis grâce à la clé fournie, et c’est fait. Elle est chargée à environ 60% et si pour vous le chinois est du chinois, vous pouvez décoller les autocollants transparents qui ornent divers éléments de la bête, dont la potence de guidon.

Design et ergonomie

Première impression : c’est beau et bien fini. Une impression de design soigné, de finition et de robustesse “à l’Allemande” se dégagent de la M365, grâce notamment à son cadre en alliage d’aluminium. Le modèle reçu est de couleur blanche, ce qui est inattendu mais plutôt agréable à l’œil. L’engin est assez volumineux et offre une impression rassurante, solidement campé sur ses grandes roues de 8,5 pouces à pneus gonflables avec son frein à disque arrière. Le plateau est haut, plus haut que celui des trottinettes que j’ai pu tester précédemment. Certains ne sont pas fans des plateaux surélevés et s’y sentent mal à l’aise. Cela ne me pose personnellement aucun problème, et j’avoue que c’est même un détail que je n’avais pas relevé si on ne me l’avait pas fait remarquer. Clairement on n’a pas affaire à un jouet ni un gadget mais une vraie “grande routière” qui donne dès le premier contact envie de traverser la ville, voire plus si affinité (tiens j’y pense, pourquoi ne pas proposer à Xiaomi un tour de France sponsorisé avec cette M365 ?). La potence de direction stylisée fait son petit effet avec sa section carrée et son gros bouton de mise en route central. Idem pour le projecteur à LED avant intégré dans la face avant du guidon et le feu arrière incrusté dans le garde-boue arrière façon. La câblerie est aussi bien dissimulée par un passage dans la colonne de direction et continuant sa trajectoire sous le plateau.

Bref, de la belle ouvrage, sobre et au design très actuel qui met un petit coup de vieux à la concurrence. Xiaomi nous a déjà habitués à sa science du design, et ne déçoit pas sur ce coup.

(comme vous pouvez le constater sur les photos, la trottinette est sale, preuve qu’elle a déjà bien roulé et que nous l’avons soumise à rude épreuve sur tout type de terrain. Preuve aussi que le blanc est définitivement très salissant)

Mise en route et prise en main

La mise en route est on ne peut plus simple. Une fois la trottinette chargée, il suffit d’appuyer une seconde sur le bouton central situé sur le guidon et c’est parti. La charge de la batterie est indiquée par quatre LEDs sur la potence, qui fournissent le niveau d’autonomie restante. Notez que le mode par défaut à l’activation est celui de la pleine puissance. Vous pouvez opter pour le mode économie d’énergie qui limite la vitesse maxi à 16 km/h. Pour cela il suffit d’appuyer une deuxième fois sur le bouton jusqu’à ce que la première LED (celle du bas) passe du blanc au vert. Pour démarrer, comme la plupart des trottinettes électriques, il y a un système de sécurité qui évite que la machine vous échappe si vous mettez les watts sans être dessus. Pour cela il faut donner une petite impulsion du pied comme avec une trott mécanique et accélérer en même temps en actionnant le poussoir sur la poignée droite du guidon, et c’est parti. Le silence est presque total, pas de bruit de roulement (merci les pneus gonflables) et à peine un très léger bourdonnement du moteur électrique de 500 Watts situé dans la roue avant. L’accélération est douce et progressive, on ne sent pas une certaine brutalité que j’avais pu connaitre avec d’autres modèles testés, comme la Condor de Micro Mobility par exemple, même si cette nervosité n’est personnellement pas pour me déplaire. Avec la M365 l’accélération est linéaire et tout se passe en douceur. Les pneumatiques gonflables n’y sont pas pour rien, conférant une sensation de confort et de stabilité inédites avec ce type d’engin. Même à 25 km/h (la vitesse maxi que j’ai pu atteindre, chronométrée avec le tachymètre GPS de ma montre connectée puis celui de mon vélo roulant à ma hauteur avec ma chère et tendre aux commandes), les bosses et irrégularités de la chaussée et des pistes cyclables lyonnaises et même les petits trottoirs sont avalées sans a-coups ni secousses, comme si on flottait sur un tapis volant.

La trottinette est pliable au niveau du pied de la potence et se transporte assez aisément sur de courtes distances grâce à un poids contenu de 12,5 kg (sans le plein d’essence)

A noter aussi la fonction “cruise control” comme sur une berline (mais sans l’autopilot ni la vitesse adaptative), un réglage qui permet de maintenir une vitesse constante et qui peut s’activer après 5 secondes quand vous avez atteint votre vitesse de croisière. Cette option est présente dans l’application pour smartphone, il suffit de l’activer. Personnellement je n’aime pas du tout car d’une part il est rare que vous ayez à parcourir un trajet à vitesse constante durant un long laps de temps avec de genre de véhicule, et d’autre part je déteste le petit lag d’une demi-seconde qui fait que la trottinette ne décélère pas immédiatement dès qu’on lâche le poussoir d’accélération. En matière de sentiment d’insécurité on ne peut pas faire pire.

Autre caractéristique intéressante, que je regrette de ne pas avoir sur mon vélo électrique : comme sur une voiture électrique la Xiaomi M365 est pourvue d’un dispositif de récupération d’énergie qui recharge la batterie au frein moteur.

L’autonomie de la batterie est donnée pour 30 km mais quand j’ai parcouru 5 km à fond les LEDs m’indiquent déjà que j’ai déjà consommé le quart de la batterie. Dans ces conditions je miserais plutôt sur 15 à 20 km.

Alors, est-ce que ça grimpe ?

Une trottinette électrique peut-elle réellement représenter une alternative crédible à un autre moyen de transport “doux” comme le vélo, le VAE ou, dans un autre registre moins doux, le scooter ? Est-ce un moyen de transport urbain fiable, rapide et efficace dans toutes les situations ? C’est la question que se posent certainement ceux qui voudraient bien craquer pour une trottinette électrique mais hésitent encore à franchir le pas. La question des déclivités est notamment au cœur de ces préoccupations.

Résidant à Lyon, dont une partie des arrondissements du centre-ville s’étend sur des collines à forte pente, j’étais moi-même très curieux d’en avoir le cœur net afin de vous faire part de mon expérience et de vous aider dans votre éventuelle décision d’achat. La réponse est… mitigée. La Xiaomi M365 s’en tire assez bien sur des montées jusqu’à environ 15% de déclivité. Au-delà, elle déclare forfait très vite. Concrètement, pour ceux qui connaissent, il faudra descendre ou pousser à pied dans des montées comme la Grande Côte, La Saint Sébastien, la Bonafous côté Croix-Rousse mais également toutes les pentes côté Fourvière et Saint-Just. Pour monter des quais vers le plateau de la Croix-Rousse où je réside, si je ne veux pas poser pied à terre et utiliser intégralement le moteur de la trottinette, je prends deux itinéraires alternatifs : soit par les Terreaux, rue Terme, cours Général Giraud et Boulevard de la Croix-Rousse, soit tunnel de la Croix-Rousse et Montée des Esses. Là ça passe sans problème avec une vitesse moyenne en montée de 15 à 19 km/h. Mais bien sûr cela rallonge les temps de trajet car d’une part on roule moins vite et d’autre part la boucle est bien plus longue qu’une montée directe par les pentes. Nous rêvons tous d’un modèle qui grimperait sans faiblir des pentes à plus de 25%…

Et la sécurité dans tout cela ? Attention aux freins !

Je ne suis pas un forcené des conseils de sécurité, car je considère que chacun est responsable de ses actes en personne adulte et raisonnée. Bref si vous avez envie de faire des double saltos arrière avec votre M365 ce n’est pas mon problème, c’est le vôtre. Mais il me parait indispensable de vous faire part de mon expérience dans ce domaine et de vous transmettre quelques consignes de sécurité.

Tout d’abord, la trottinette électrique peut s’avérer une fausse amie. Son côté “jouet” anodin simple d’utilisation et au ras du sol lui confère une impression de sécurité qui peut s’avérer très trompeuse. D’une part parce-que mine de rien on peut atteindre à son bord 25 km/h en quelques secondes, soit la vitesse de croisière d’un vélo électrique, et que ce n’est pas rien. Même si la sensation de vitesse est absente, se prendre un râteau à cette vitesse peut faire très très mal. Et une gamelle en trottinette arrive bien plus vite que prévu. Si vous êtes sur une piste cyclable rectiligne, normalement il ne devrait rien vous arriver de fâcheux, jusqu’à ce que vous dépassiez et croisiez quelques cyclistes, car la marge de manœuvre pour éviter un écart est bien moindre qu’à vélo justement. Sur une trottinette, l’empattement très court rend l’engin très vif et interdit les grands coups de guidon pour éviter un obstacle. Il faut donc en permanence être très concentré et anticiper fortement. Il est également fortement déconseillé de lâcher le guidon d’une main (des deux n’en parlons pas) même vous voulez regarder l’heure ou le dernier clip de Jul, ou réajuster vos lunettes, car vous déséquilibrez fortement l’ensemble et le râteau n’est peut-être pas loin. Et croyez-moi ça va très vite. Impossible de se rattraper comme avec un vélo ou une auto. Toute erreur de pilotage ou d’attention est immédiatement sanctionnée.

Et si vous empruntez les trottoirs, roulez vraiment à moins de 6km/h, la vitesse moyenne d’un piéton, car là aussi le danger n’est pas loin. Pour une raison très simple : contrairement à un cycliste ou un automobiliste, un piéton peut changer de direction instantanément, sans prévenir et sans regarder dans ses rétroviseurs. D’autre part même s’il vous perçoit dans son champ de vision périphérique il vous prendra sûrement pour un autre piéton et inconsciemment interprétera que vous allez à la même vitesse que lui. Sans compter les chiens qui eux ne vous voient carrément pas du tout. J’ai récemment simplement traversé la Place des Terreaux de Lyon vers 18h avec la Xiaomi et ce ne fut pas une très bonne expérience puisqu’en quelques secondes j’ai failli m’emplâtrer trois piétons et deux chiens. Prudence donc. C’est là que j’ai compris que sur les zones piétonnes c’est au pas ou à pied avec la trott à côté ou pliée. C’est d’ailleurs la loi qui le dit.

 

D’autre part je veux vous parler du freinage car j’ai eu une très mauvaise expérience à ce sujet, qui aurait pu mal finir. Il faut bien comprendre comment fonctionnent les freins de la Xiaomi M365. Le système de freinage est double. D’une part un frein moteur inclus dans la roue avant, là où est situé le moteur électrique, donc. Ce ralentisseur (je ne peux pas parler de véritable frein même s’il est puissant) fonctionne un peu comme le frein-moteur d’une Tesla. Si vous le gérez bien, avec l’habitude vous n’utilisez pratiquement plus que celui-ci. Pour cela il suffit de lâcher l’accélérateur. Plus vous le lâchez brusquement plus fort ça “freine”. Et d’autre part vous avez un frein mécanique à disque sur la roue arrière. Un disque normalement ça freine fort et c’est rassurant. Le tout est commandé par un seul levier sur la poignée gauche. Donc si vous voulez obtenir le meilleur freinage, lâchez d’un coup le poussoir d’accélération et tirez la poignée de frein. Tout va bien ?

Pas vraiment. C’est notamment en descente que cela peut se gâter gravement. J’en ai fait l’expérience récemment justement dans une pente à forte déclivité où généralement je débaroule assez vite. Le problème avec les descentes c’est que vous n’utilisez plus le moteur de la trottinette puisque la déclivité vous permet d’atteindre une vitesse élevée en roue libre. Vous me voyez venir : qui dit plus de moteur dit… plus de frein moteur ! Je l’ai compris à mes dépens quand un piéton a surgi devant mes roues (évidemment sans regarder et avec un casque sur les oreilles, une espèce en fort développement dans les les pentes de la Croix-Rousse). Ne pouvant l’éviter d’un coup de guidon (voir chapitre précédent) j’ai voulu piler. Et là j’ai vite compris que je n’avais pas de frein. Mais je veux dire : aucun frein. Du tout. J’ai quand même réussi à éviter l’imbécile (qui n’a sûrement pas encore compris ce qui s’était passé) mais ne pouvant arrêter la trott, j’ai été contraint de sauter de celle-ci et de me freiner tout seul avec mes jambes alors que j’étais probablement à plus de 25 km/h. Mes genoux et mes chevilles ont tenu le coup mais s’en souviennent encore. Que se serait-il passé si cela avait été une voiture ? Je ne serais peut-être plus là pour vous raconter cela.

Alors, que s’est-il passé ? Comme expliqué ci-dessus le frein moteur n’a pas fonctionné, et le frein à disque est bien trop faible pour arrêter le bazar. Je pense en outre qu’il était mal réglé, voire que le câble s’est détendu complètement au moment du freinage fort, voire qu’il a lâché dans sa mâchoire (même si après vérification ça n’avait pas l’air d’être le cas). Depuis j’ai réglé le frein arrière plus ferme et j’ai “appris” à freiner, mais surtout à fortement anticiper et à ne plus jamais laisser le moteur en roue libre. Ni à jouer les freine-tard.

Mais une chose est sûre : le freinage de cette trottinette est trop faible et sa puissance est à mon goût insuffisante. Attention donc en descente et dans toutes les situations où un obstacle peut surgir de façon inattendue car même à vitesse assez basse vous ne pilerez pas comme avec un vélo ou un autre moyen de transport. Pour vérifier cela, j’ai fait des tests de freinage d’urgence à 25 km/h sur le plat et le résultat confirme mon impression : ça ne freine pas fort puisque la distance de freinage se situe entre 6 et 9 mètres. Pour un combo pilote – trottinette qui doit à peine atteindre 85 kg (12,5 kg pour la trott et 72 kg pour ma pomme) cela me parait beaucoup. En tout cas à cette vitesse et dans ces conditions dites-vous bien que vous n’éviterez pas l’enfant ou le cycliste qui traverse si vous n’avez pas anticipé les comportements.

L’application pour smartphone

La trottinette Xiaomi M365 est évidemment connectée et l’on peut régler certains de ses paramètres et obtenir des infos en temps réel à l’aide de l’application Ninebot pour iOS et Android, dont les menus présentent un subtil mélange d’anglais et de français avec même une petite pincée de chinois. Vous avez notamment accès à la vitesse en temps réel, à la distance parcourue, des infos sur la batterie et autres indications généralement fournies par ce genre de dispositif de bord. Concernant son mode de connexion, c’est assez bizarre : j’ai débord dû la connecter en WiFi avec mon iPhone, puis ensuite en BlueTooth. Bref…

En conclusion

La trottinette Xiaomi M365 est une excellente surprise. Stable, confortable et véloce, elle remplit son rôle de moyen de locomotion urbain alternatif dans quasiment tous les domaines attendus : maniable, transportable, puissante peu encombrante. Reste la question des montées à plus de 15% dans lesquelles elle déclare forfait, ce qui en limite l’usage à des terrains relativement plats. Et surtout celle du freinage, qui, s’il est puissant, ne permet pas de stopper l’engin assez rapidement en cas de danger inopiné. Mais pour de petits déplacements urbains elle fait le job, à condition d’être attentif et d’anticiper les situations. Que ces quelques réserves ne masquent pas l’essentiel : j’ai adoré et je me déplace avec à la moindre occasion !

J’aime

  • Le design
  • La finition
  • Le confort et la stabilité
  • Le prix

J’aime moins

  • Le freinage
  • Le manque de puissance dans les côtes prononcées

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11 commentaires
11 commentaires
  1. Super pour ce retour ultra complet ! Quid du délais de livraison ? Apparement super long. Et aussi a voir la durée de l’engin car les retour sont assez mitigé sur sa résistance dans le temps. Cela donne lieu aux DIY et dépatouillages en tout genre que l’on trouve au rayon vidéo de l’internet.

  2. Compter un bon mois de délai de livraison, comme indiqué en début d’article. Pour l’endurance dans le temps je ne peux pas encore me prononcer, je ne l’ai que depuis 1 mois environ et je ne m’en sers pas tous les jours.

  3. Attention pensé à acheter des chambres à air de rechange ainsi que des pneus en cas de grosse perforation car une rustine ne suffira pas . Je l’ai depuis 3 mois j’ai déjà crevé 3 fois sans changer la chambre à air malgré cela j’en suis satisfait j’ai parcouru 287 km avec et l’utilise ts les jours. Éviter les roues pleines car vs perdrez en autonomie et vous risquez de dégrader la batterie plus rapidement à cause des secousses qui ne sont pas amorti du au fait des roues pleines enjoy pour ceux qui l’achètent. ?

  4. Bonjour. Vous évoquez le problème de puissance dans les côtes. Pouvez-vous être plus précis sur votre poids? Perso je fais100kgs et cherche une trottinette électrique qui puisse me véhiculer correctement. En vous remerciant. Régis.

    1. Salut, je pèse 100 kg et ma M365 à 25 km d’autonomie réel en mode éco dans les rues du 15 ème. Parfait pour mon utilisation ( avec mon ordi dans le dos). La règle, comme le précise l’article, c’est l’anticipation et la courtoisie envers les piétons et autres utilisateurs des espaces publics.

  5. Je l’ai reçue il y a un jour, je l’ai donc testée et je suis d’accord.
    Cet achat consiste au trajet pour me rendre au travail et limiter la fatigue en ayant le sentiment de m’amuser.

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