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Une nouvelle technique anti-piratage : priver les sites de revenus publicitaires

En collaboration avec des géants du high tech et de la régie publicitaire, la maison blanche adopte une nouvelle stratégie anti-piratage dont le but est de priver les sites offrant des produits piratés ou contrefaits de revenus publicitaires.

Des sociétés comme, 24/7 Media, Adtegrity, AOL, Conde Nast, Google, Microsoft, SpotXchange ou encore Yahoo! sont associés à ces directives qui visent à couper les sources de revenus des sites web proposant des produits piratés ou faisant l’objet d’une contrefaçon. La maison blanche exhorte les autres services de régie publicitaire et les annonceurs à suivre ces directives.

Une porte-parole de la maison blanche, Victoria Espinel a déclaré, dans un article de blog, que l’administration américaine supporte les efforts fournis par le secteur privé pour réduire les cas d’infraction et félicite l’initiative de mettre en place des standards pour l’industrie du web qui permettront de couper les revenus liés à ces infractions.

Les régies publicitaires en ligne ont longtemps été critiquées par les victimes de piratage, pour avoir été une source de revenu considérable pour les sites proposant des produits piratés. Des efforts ont déjà été fournis, aux Etats-Unis. Une loi oblige déjà les FAI à limiter l’accès à ces sites. Par ailleurs, Google a déjà été critiqué pour avoir gagné des revenus publicitaires grâce à des vidéos YouTube encourageant des pratiques illégales. Le but est clair, limiter la monétisation de ces sites web qui font le malheur des maisons de production d’Hollywood.

(Source)

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Par : Opera
9 commentaires
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  1. Excellente idée pour tout le monde ! Afin de perdurer, ces fameux site devront monétiser d’une certaine façon. Un abonnement mensuel serait le plus probant: nous aurions donc des catalogues riches en contenu avec un accès payant comme le font déjà certains à un tarif raisonnable. Les maisons de production ne pourrons plus rien dire, les particulier apprendrons que rien n’est gratuit. On est pas loin de la vérité : si les maisons de production et de disques proposai un réel contenu à prix abordable, tout le monde on sortirai gagnant.

  2. “si les maisons de production et de disques proposai un réel contenu à prix abordable, tout le monde on sortirai gagnant” oui et non car à la différence des maisons de productions les sites pirates n’ont que peu de frais lié au trafic et à hébergement tandis que le plus gros des coûts, à savoir la production, reste supporter par les éditeurs. Donc on n’arrivera jamais à un coup similaire.

  3. En même temps, quand on sait que sur un disque dur ou autre périphérique de stockage, la grosse partie des taxes que l’on paie est censé être reverser au maisons d’édition pour “pallier” au piratage. A cela s’ajoute la redevance TV, les taxes sur les abonnements internet. Au final même en “piratant” tous les contenus utilisés, on “paie” déjà bien assez.

  4. C’est pas nouveau ? Dans les conditions générales d’Adsense, il est bien spécifié que le site ne doit avoir aucun lien vers des fichiers piratés, ni rien du meme genre. Et pour ce que j’en connais, ces sites ont de la pub de régies plus ou moins underground, avec essentiellement des annonceurs de sites pornos.

  5. Je connais un site qui tire ces revenues avec Adsense, le contenu qu’il propose est 100 illégal, de plus avec youtube Google se goinfre à mort sur les film complet qui sont poster.

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