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Test Xiaomi 12S Ultra : une démonstration magistrale

Co-conçu avec Leica, le 12S Ultra de Xiaomi embarque un Capteur 1” et se présente comme un expert en photographie. Lisez notre test pour le découvrir !

Depuis ses déboires avec le gouvernement américain, Huawei voit ses ventes de smartphones s’écrouler. Dès lors, l’annonce d’un divorce à l’amiable entre le chois et son partenaire Leica en début d’année était prévisible. Ce qui l’était moins, c’est que ce dernier s’allierait rapidement à Xiaomi afin de le faire bénéficier de ses compétences en matière d’imagerie numérique.

Le résultat de ce partenariat ne s’est pas fait attendre puisque le Xiaomi 12 S Ultra fut annoncé quelques semaines plus tard. Très orienté photographie — le constructeur parle d’un smartphone destiné aux professionnels de l’image fixe — le nouveau venu empile des caractéristiques techniques impressionnantes, saupoudrées du savoir-faire de Leica. Bref, on salivait d’avance à l’idée de tester le 12 s Ultra et nous fûmes très déçus d’apprendre qu’il ne serait pas commercialisé en Europe.

Nous avons tout de même pu nous procurer pendant une semaine une version chinoise du 12 S Ultra afin d’évaluer la partie photographique, ce qui nous donnera une idée de ce que le partenariat Xiaomi-Leica pourra donner sur les futurs modèles.

Ecran Xiaomi 12S Ultra
© Marc Mitrani pour Presse-citron

Prix et disponibilité du 12S Ultra de Xiaomi

Le 12S Ultra n’est pas commercialisé en dehors de la Chine. On peut se le procurer en le commandant sur un site comme Aliexpress mais il ne faudra pas compter sur Xiaomi France pour la garantie. la version d’Android qu’il embarque est spécifique au marché chinois. Si l’on peut facilement installer les services Google, il faudra se contenter d’une interface en chinois ou en anglais. La majorité des applications préinstallées sont uniquement disponibles en chinois et inutiles en France.

En cherchant un peu sur le Net, on peut trouver une ROM internationale à installer sur l’appareil. Il faudra pour cela déverrouiller le bootloader (logiciel interne qui gère le démarrage du smartphone) et prendre le risque de transformer le 12S Ultra en une brique inutilisable…

Un équipement photographique de rêve

La caméra dorsale du 12 S Ultra embarque trois modules :

  • Module principal : 50,3 Mpxl (capteur 1’’, photosites 1,6 µm) ; objectif 23 mm f/1,9 ; Autofocus hybride (Dual Pixel et Laser), stabilisation optique
  • Téléobjectif : 48 Mpxl (capteur 1/2’’, photosites 0,8 µm) ; objectif périscopique 24-120 mm f/4,1 ; autofocus Dual Pixel à détection de phase ; stabilisation optique
  • Ultra grand-angle : 48 Mpxl (capteur 1/2’’, photosites 0,8 µm) ; objectif 13 mm f/2,2 ; autofocus Dual Pixel à détection de phase

On le voit, Xiaomi n’a pas plaisanté avec les capteurs embarqués. Celui du module principal est de type 1″, soit de la taille de ceux équipant des compacts experts comme le RX100 de Sony. Les photosites qui le composent mesurent 1,6 µm et sont donc nettement plus aptes à capter les informations passant au travers de l’objectif. Et comme chaque pixel de l’image est le résultat des informations provenant de quatre photosites grâce au pixel binning, on peut logiquement espérer d’excellents résultats en faible luminosité.

Utiliser un tel capteur n’est pas aisé dans un smartphone. Il faut le positionner à une distance suffisante de l’objectif afin qu’il soit entièrement couvert par l’image qu’il transmet, ce qui est notoirement incompatible avec la finesse des smartphones contemporains. Xiaomi avait le choix entre deux alternatives : utiliser un objectif rétractable (comme le faisait le CM-1 de Panasonic, le premier smartphone à capteur 1’’ jamais commercialisé) ou épaissir considérablement le boîtier.

Xiaomi a opté pour la seconde solution en faisant dépasser l’objectif de cinq millimètres de la face arrière (9,1 mm hors objectif, 14,2 mm avec). On n’ose imaginer les prouesses accomplies par les ingénieurs du constructeur afin de reculer au maximum le capteur de la surface de l’objectif… On se souvient peut-être que Sony lui-même avait renoncé à exploiter la totalité de la surface du capteur 1″ embarqué dans son Xperia Pro-I afin de ne pas rendre l’appareil plus épais. Force est de constater que le 12 S Ultra est assez bien conçu pour ne pas rendre cet embonpoint gênant.

Xiaomi 12S Ultra
Module principal © Marc Mitrani pour Presse-citron

Le téléobjectif est quant à lui constitué d’un capteur nettement plus petit, mais bénéficie d’un zoom optique périscopique : l’objectif est littéralement couché dans le châssis du smartphone, un jeu de miroir transmettant l’image à la manière d’un périscope (d’où son nom). Ce mécanisme, inauguré en 2019 par Huawei avec le P30 Pro, permet de produire une image sans perte de détail, principal défaut des zooms numériques. En revanche, la nature de sa construction l’oblige à avoir une ouverture plus faible qu’un objectif non périscopique (f/4,4 ici, contre f/1,9 et f/2,2 pour les autres modules.)

Xiaomi 12S Ultra
© Marc Mitrani pour Presse-citron

De son côté, l’ultra grand-angle dispose du même capteur que le téléobjectif. Comme pour les deux autres modules, son objectif a lui aussi été l’objet de toutes les attentions afin de réduire les aberrations optiques généralement constatées (franges violettes sur les zones contrastées, manque de piqué sur les bords de l’image). Il bénéficie d’une stabilisation optique et d’un autofocus ultra-réactif.

Signalons enfin la présence d’un module technique de type ToF (Time of Flight). Celui-ci n’est pas destiné à la production d’images, mais uniquement à l’enregistrement d’informations sur la position des objets de la scène à photographier. Il est surtout mis à contribution lorsque le mode portrait est activé.

Pour résumer, le 12 S Ultra dispose d’une caméra dorsale optique couvrant la totalité des longueurs focales entre 23 et 120 mm. L’ultra grand-angle se concentre quant à lui sur le 13 mm. La définition de son capteur, combinée à l’utilisation d’un zoom hybride, lui permet de faire le pont sur les longueurs focales allant de 13 à 23 mm. Restait à vérifier si la qualité d’image est bien au rendez-vous.

Des performances époustouflantes

Le savoir-faire de Leica a principalement été mis à contribution sur le traitement numérique du signal optique. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que l’allemand touche sa bille en la matière ! Son expertise du domaine est incontestable : en plus de ses propres appareils photo, il a collaboré avec Huawei, équipé les drones du chinois Yuneec et même co-conçu avec Insta360 d’étonnantes caméras panoramiques.

Xiaomi 12S Ultra
© Marc Mitrani pour Presse-citron

Le premier apport de Leica au 12 S Ultra réside dans l’ajout d’un discret point rouge, emblème de la marque, à l’icône de l’application Camera. L’interface de prise de vue reste quasiment identique à ce que l’on trouve sur tous les autres smartphones Xiaomi. On ne s’en plaindra pas, tant celle-ci est intuitive et simple à prendre en main. On remarque tout de même dans le haut de l’interface une icône Leica. Elle permet de choisir entre les deux modes colorimétriques proposés par défaut : Leica Authentic ou Leica Vivid.

Le premier offre des textures de lumière et des couleurs réalistes afin de coller au rendu des appareils Leica. Il fait ainsi l’impasse sur les traitements numériques trop forts afin de privilégier le « look Leica » qui a fait le succès de la marque après des photographes. On y retrouve le fameux contraste clair-obscur qui a fait la réputation du constructeur et rend immédiatement reconnaissables les images shootées avec un appareil de la marque.

Leica Vivid propose un rendu un poil plus classique en jouant sur la luminosité et la saturation des couleurs. Si elles ne perdent rien de leur naturel, elles sont un peu moins typées que ce que produit le mode Authentic.

Bien entendu, des déclinaisons monochromes de ce fameux look Leica sont proposées. Étonnamment, elles ne sont pas accessibles directement depuis la même icône. Il faudra aller les chercher parmi les filtres du mode photo. Pourquoi ? Mystère. Elles n’en restent pas moins fort intéressantes et réussies.

Xiaomi 12S Ultra
© Marc Mitrani pour Presse-citron

Et tant qu’ils y étaient, les concepteurs du 12 S Ultra ont ajouté une possibilité de watermarking amusantes. Au lieu d’incruster un simple logo dans l’image, elle lui accole dans sa partie basse un bandeau blanc orné du logo rouge de Leica, où figure aussi les principaux paramètres de prise de vue. Nous devons avouer que le résultat est plutôt réussi.

La prise de vue en format RAW est bien entendu possible. Xiaomi et Leica ont travaillé en collaboration avec Adobe afin de proposer des fichiers optimisés pour ses logiciels. Les photos réalisées en RAW disposent de métadonnées automatiquement reconnues par Lightroom et Camera RAW afin de donner aux photographes professionnels un point de départ optimal un traitement en postproduction.

Des images exceptionnelles

Nous avons mené nos tests sous différentes conditions de luminosité et à toutes les longues focales disponibles afin de pousser le 12 S Ultra dans ses derniers retranchements. Autant le dire tout de suite, nous avons été bluffés par ce que nous avons obtenu !

Xiaomi 12S Ultra
© Marc Mitrani pour Presse-citron

Dans un premier temps, nous nous sommes concentré sur les performances du module principal et de son capteur 1″. Les images qu’il produit sont tout simplement excellentes en luminosité correcte ou moyenne. Cette constatation reste valable lorsqu’on active les filtres monochromes Leica. On peut alors réaliser des portraits de très bonne tenue qui n’auront rien à envier à ce que l’on obtiendrait avec un compact expert ou même un hybride.

Xiaomi 12S Ultra
Ici, pas de mode portrait : juste le module principal en mode photo automatique. Merci à PSJ pour avoir servi de modèle… et à ses parents pour avoir autorisé la publication de ce portrait ! © Anne Onyme pour Presse-citron

Pas besoin de passer par le mode portraits pour en tirer avantage : le flou d’arrière-plan naturel du à la combinaison d’une grande ouverture et d’un grand capteur sont largement suffisant. Le Bokeh produit s’avère alors bien plus convaincant que ce que peut générer une IA. Et pour tout dire, les images réalisées en activant le mode portrait nous ont semblé moins convaincantes que celles obtenues sans modification par l’IA.

Xiaomi 12S Ultra
Photo de nuit © Marc Mitrani pour Presse-citron

En mode nuit, le module principal impressionne tout autant même si l’on constate une petite perte de piqué dans les zones sombres de la scène. Rien de dramatique, surtout pour un produit de cette compacité.

L’ultra grand-angle et le téléobjectif ne déméritent pas non plus. Le premier produit des images au piqué plus que satisfaisant, y compris sur les bords. On ne constate pas non plus d’aberrations chromatiques ni de défaut optique gênant. La colorimétrie est raccord avec celle du capteur principal, ce qui n’est pas toujours le cas.

Le zoom périscopique du téléobjectif est lui aussi convaincant, malgré l’ouverture plus faible dont il dispose. Heureusement, une stabilisation efficace évite de rallonger outre mesure le temps de pose, réduisant ainsi le risque de flou de bouger lorsque la luminosité baisse. On apprécie la qualité du grossissement en 5X, limite du zoom optique. Au-delà, les images restent à peu près exploitables jusqu’à 50x, valeur où le zoom numérique commence à devenir trop imprécis pour être satisfaisant.

Dans tous les cas, on ne peut que saluer la performance de l’autofocus, toujours précis et rapide comme l’éclair. Le temps de réaction de l’appareil est lui aussi remarquable et l’on peut enchaîner les prises de vues sans constater le moindre ralentissement.

À l’issue de notre semaine de test, nous n’avons rien à reprocher au 12 S Ultra en matière photographique. Il s’avère être un excellent compagnon de voyage ou de prise de vue au quotidien. Il nous semble idéal pour un photographe pro cherchant un boîtier d’appoint pouvant tenir dans une poche, ou pour un amateur exigeant. Dommage qu’il ne soit pas disponible en Europe !

Le reste, en bref

Ergonomie et construction : classique et soigné

Fait de matériaux premium, le 12 S Ultra bénéficie d’une construction soignée d’une finition irréprochable. Sa face arrière, recouverte de « cuir vegan » (donc d’un plastique qui ne veut pas dire son nom) a le double avantage de ne pas être sensible aux salissures habituelles et de bien tenir en main.

Le reste est très classique : écran occupant la quasi-totalité de la face avant, lecteur d’empreintes digital logé sous la dalle d’affichage, touches mécaniques de mise sous tension et de contrôle du volume sont de la partie. L’appareil bénéficie d’une certification IP68 et sa face avant est protégée par une feuille de Gorilla Glass Victus fournie par Corning.

Écran : très réussi

L’écran est constitué d’une dalle AMOLED LTPO2 de 6,73 ’’ affichant 1440 x 3200 pixels. Certifiée HDR10+ et Dolby Vision, elle dispose d’une fréquence de rafraîchissement variable pouvant atteindre 120 Hz. De technologie 10-bit, elle s’avère très lumineuse puisqu’elle peut monter jusqu’à 1000 nits (1500 nits en HDR). L’image qu’elle produit est tout bonnement excellente. Sa colorimétrie s’avère correcte avec le paramétrage par défaut. On pourra l’ajuster à ses besoins en jouant avec les nombreux réglages proposés.

Puissance : une bête de course

Le 12 S Ultra est construit autour du Soc Qualcomm Snapdragon 8+ Gen1, soit ce qui se fait de plus performant actuellement. Il est épaulé par le processeur graphique Adreno 730 et 12 Go de mémoire vive. Le stockage de notre exemplaire de test s’élève à 256 Go de Flash UFS 3.1 non extensibles.

A aucun moment durant nos tests, nous n’avons rencontré le moindre ralentissement ou un quelconque manque de fluidité. Le 12 S Ultra est actuellement le smartphone Android le plus puissant du moment comme l’atteste le benchmark Antutu puisqu’il est l’un des premiers à dépasser le score d’un million de points (1 016 711 points très exactement).
Il donne entière satisfaction, quelle que soit la tâche qu’on lui confie (faire tourner les jeux 3D les plus exigeants du moment, retoucher des photos, etc)

Nous ne nous prononcerons pas sur l’autonomie électrique du smartphone ni sur la vitesse de charge de la batterie, car nous n’avons pas eu le temps d’effectuer nos tests habituels. Nous nous contentons de relayer les infos fournies par le constructeur : batterie LiPo de 4860 mAh ; 41 minutes pour passer de 0 à 100 % d’autonomie.

Notre avis sur le 12S Ultra de Xiaomi

Dire que nous avons été époustouflés par le 12S Ultra lors de cette rapide prise en main tient de l’euphémisme. À la fois puissant, bien pensé et disposant d’un appareil photo incroyable, il est tout simplement le meilleur smartphone Android que nous n’ayons jamais eu en main ! Cette démonstration magistrale du savoir-faire de Xiaomi et de Leica en matière de traitement d’images nous rend impatients de voir les prochains modèles du constructeur… ceux qui seront commercialisés en France !

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  • Performances au top
  • Qualité de l'écran
  • Qualité de construction
  • Certification IP68

On aime moins

  • Non commercialisé en France 🙁
11 commentaires
11 commentaires
  1. Ne trompez pas les gens, les caméras secondaires de ce portable ne sont pas dignes d’un flagship, la caméra frontale est une blague.
    Quant à l’appareil photo principal, il fait certaines choses mieux et d’autres moins bien que la concurrence, en bref il n’est pas cohérent, le soi-disant hyper méga super capteur laisse beaucoup à désirer, en photos de nuit par exemple il est franchement faible par rapport à la concurrence, bien derrière le Vivo X80 Pro, le Samsung S22 Ultra ou l’iPhone 13 Pro.

    1. Bonjour,

      Merci d’avoir pris le temps de lire mon test 🙂

      Vous écrivez :

      “Ne trompez pas les gens, les caméras secondaires de ce portable ne sont pas dignes d’un flagship, la caméra frontale est une blague”
      Sur quoi vous basez-vous afin de prétendre cela ? Sûrement pas sur la fiche technique, puisque les modules secondaires sont mieux équipés sur le 12S Ultra que sur le vivo X80 Pro (par exemple)… Vous devez sûrement avoir testé le 12S Ultra afin d’émettre de telles affirmations : pouvez-vous développer ?

      “le soi-disant hyper méga super capteur laisse beaucoup à désirer, en photos de nuit par exemple il est franchement faible par rapport à la concurrence”
      La aussi, j’imagine que vous avez testé tous ces produits, y compris le 12S Ultra : pouvez-vous donc être plus précis sur ces affirmations ?

      Je me permets de vous demander tout cela car je suis vraiment curieux de connaitre vos arguments : je ne peux pas imaginer une seule seconde que vos affirmations soient dépourvues de fondement !

    1. Bonjour,
      Comme je le dis dans le test (que vous n’avez a priori pas pris la peine de lire) il s’agit d’avoir un avant-goût de ce que prépare Xiaomi en matière photographique depuis cette alliance avec Leica.
      Rien de plus 🙂

  2. Monsieur je vous souhaite le hello happy,

    Je suis émerveillé des premiers tests sur le Xiaomi 12S Ultra sur google et attends avec impatience le numéro 13 qui lui serait fortement disponible en France. Franchement je ne possède pas le smartphone.

    Je vous le dit d’avance je n’utilise pas Iphone et ne me laisse pas enguirlander par le soit disant super haut de gamme de cette marque d’une part. Je pense que comparer les futurs Ultra de Xiaomi et les futurs Iphone semble être dérisoire.

    Aussi sur d’autres sites certains disent que cela n’est que marketing alors que je pense pas que le même 1 pouce sur un appareil photo classique aurait les mêmes caractéristiques que celui du 12S Ultra.

    De plus cela serait intéressant des photos portées sur le pro (exemple les types de poses longues, types de timelapse, les photos modes, de soirées etc, prises de photos d’objets en mouvement comme avions militaires pour le côté humain ; de l’autre côté la photo nature genre orages, animaux, insectes, plantes, cascades ou eau en pose longue etc et j’ai oublie le noir et blanc).

    Pour allez plus loin est ce que des capteurs plus gros seraient possible à l’avenir ? Cela sera une superbe idée de testé des filtres externes et aussi des téléobjectifs genre Apexel sur capteur principal.

    Continuez vos articles et fonds les RAM.

    Chao Sir.

    Théo

  3. Bonjour, et un grand bravo à Marc Mitrani pour cette réponse tout en douceur, mais mettant en exergue une seule et valable incohérence, celle du non fondé du commentaire décriant le test. Dans quel but ? Je laisse le soin à tout à chacun de se faire sa propre opinion.

  4. Superbe test ! La photo du bébé est magnifique, impressionnant.
    Juste une petite remarque si je peux me permettre, dans les tests la partie vidéo est rarement traité sur la plupart des sites. Je trouve ça dommage car c’est super intéressant ce qu’offre les smartphones aujourd’hui pour filmer !
    Surtout que xiaomi est plutôt bon sur la stabilisation d’image.

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