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Test Honor 70 : le smartphone des jeunes ?

Officialisé lors de l’IFA de Berlin, le Honor 70 est le nouveau fleuron milieu de gamme de la firme chinoise. Ce smartphone a-t-il les épaules assez solides pour refaire d’Honor le roi incontesté de cette tranche tarifaire ?

Honor 7 (2015), Honor View 10 (2017), Honor 8X (2018)… Pour ne ce citer qu’eux. Avant le début de ses déboires indirects avec les autorités américaines en 2019, Honor inscrivait régulièrement ses smartphones au panthéon du milieu de gamme. Après un retour convaincant fin 2021 avec le Honor 50, une digression plus que réussie dans le premium avec l’épatant Magic Pro, le constructeur veut désormais récupérer son trône grâce à son dernier rejeton, le Honor 50.

Oui, mais voilà, le marché du milieu de gamme s’est fortement densifié durant son absence. Rien que sur ces derniers mois, de sacrés bons smartphones se sont vu défiler à la rédaction. Pêle-mêle : un Google Pixel 6a et un OnePlus Nord 2T pour 429 euros, un Samsung Galaxy A53 pour 459 euros ou encore un Motorola Edge 30 pour 499 euros. Ces derniers bénéficient tous à ce prix d’une configuration en 6/128 Go, sauf le Edge 30 qui propose une mémoire vive de 8 Go. Ou voulons-nous en venir ?

Sur un marché aussi concurrentiel, parfois une poignée d’euros peut être décisive. En faisant le choix de dépasser la barre symbolique des 500 euros, le Honor 70 se met lui même une petite pression. Il se doit d’être habile dans ses concessions et cohérent avec les attentes de sa cible : les adolescents et les jeunes adultes. Nous avons eu la chance de pouvoir le tester en avant-première pendant tout l’été, voici nos impressions.

Prix et disponibilité du Honor 70

Disponible depuis le 2 septembre, le Honor 70 se décline en une version de 8/128 Go pour 549 euros et en une autre de 8/256 Go pour 599 euros. Par ailleurs, ce smartphone est disponible en trois coloris : Crystal Silver, Emerald Green et Midnight Black.

Lorsque le Honor 70 a été officialisé en mai dernier en Chine, le constructeur en a également profité pour présenter les Honor 70 Pro et 70 Pro+. À l’heure où nous écrivons ces lignes, aucune date de sortie en France n’est prévue pour ces deux autres modèles.

Honor 70 au meilleur prix Prix de base : 549 €
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Photo : il sublime la nuit

Ils sont nombreux les smartphones à s’autoproclamer les nouveaux rois de l’expérience photo et vidéo, avec des stratégies, et des trajectoires parfois bien différentes. Certains misent sur les partenariats, on pense à Vivo et Zeiss ou encore récemment à Xiaomi et Leica. D’autres sur les algorithmes, Google et sa famille Pixel.

Avec son Xperia Pro-I, Sony vise les pros, tandis que le reste des constructeurs se lancent dans une course aux capteurs de plus en plus performants. Honor a choisi ici le dernier camp, en mettant le paquet sur un tout nouveau composant.

Honor 70 de dos

Notre larron du jour est en effet le premier smartphone à être équipé du nouveau capteur Sony IMX800 d’une taille de 1/1,49 pouce. Pour vous donner une idée, ce format plus généreux détrône, tout du moins en taille, les capteurs du Galaxy S22 ou du Magik 4 Pro, qui eux affiche un format de 1/1,56 pouce.

Oui et alors ? Schématiquement, plus un objectif est grand, plus il peut capter de la lumière et par conséquent améliorer la netteté ou réduire le bruit numérique lorsque l’obscurité pointe le bout de son nez. Avant de passer dans le vif du sujet, voici la totalité des forces en présence :

  • Module principal ; Sony IMX800 de 54 Mpx (capteur 1/1,49 », photosites 1 µm et 2 µm, ouverture à F/1.9.
  • Ultra grand-angle : 50 Mpx (autofocus ,122°, macro 2,5 cm et ouverture à F/2.2.
  • Capteur de profondeur : 2 Mpx ouverture à F/2.4.
  • Caméra frontale de 32 Mpx.

De jour, n’y allons pas par quatre chemin, le capteur est tout bonnement époustouflant. Les textures de lumière et des couleurs sont vraiment réalistes en toutes circonstances. À ce propos, on remarque que le constructeur rompt avec ici une tradition bien chinoise. Celle d’un traitement logiciel porté sur la saturation.

Avec le Honor 70, on se rapproche plus d’un rendu, notamment dans les teintes, semblable aux derniers iPhones. Sur toutes les photos, la netteté est irréprochable et la balance des blancs toujours maîtrisée ce qui confère un équilibre subtil à chaque photo, même les plus complexes.

Sur la photo ci-dessus, la fresque est parfaitement restituée comme dans la réalité, avec un coin supérieur droit plus doux, car ne recevant pas la même lumière au moment de la photo.

Honor 70 -fresque

 

En intérieur, il est également excellent et il gère extrêmement bien les reflets et les flux lumineux, même en fin de journée.

Logiquement moins auguste, l’ultra grand-angle ne démérite pas pour autant. Il parvient même à éviter deux écueils que l’on retrouve souvent sur ce type de capteur : la discontinuité colorimétrique et l’effet tunnel. En effet, même sur une scène de perspective cavalière, le Honor 70 n’affiche que peu de distorsion.

Dans certaines situations, le piqué sur les bords fait grise mine, comme sur les arbres ci-dessous, mais rien d’aberrant. Son plus grand défaut réside dans sa gestion des taux de contrastes, il a tendance, par facilité, à surexposer parfois certains pans de l’image. Par contre, pour prendre des monuments avec peu de recul, il est vraiment performant.

Honor 70 à l'aise en ultra grand-angle

Économie oblige, le Honor 70 ne propose pas de téléobjectif. À ce prix, cette absence n’est en soi pas une infamie. Les zoom x2 et x5 rendent quelques petits services bien utiles si on ne tremble pas trop. Pour le x10, il faudra vraiment se concentrer pour l’exploiter sereinement. Quand c’est le cas, on remarque d’ailleurs qu’il est loin d’être aussi mauvais que certains de ses compères milieu de gamme.

Dès que la lumière décline, on sent tout l’apport de ce nouveau sapeur Sony. La nuit, le Honor 70 a une véritable vision de félin. Il arrive à se servir de la moindre source lumineuse pour éclairer l’ensemble de la scène. Si bien que dans les environnements urbains, le bruit numérique est souvent inexistant, même lorsque l’on zoom sur les photos. C’est impressionnant autant en extérieur qu’en intérieur.

Regardez la différence ci-dessous entre une photo de nuit avec le capteur principal et l’ultra grand-angle.

Et encore, nous n’avons même pas utilisé le mode « Nuit ». D’ailleurs dans les conditions où la lumière n’est pas totalement absente, nous vous conseillons de rester la plupart du temps sur le capteur principal. De là à dire que le mode « Nuit » est inutile ? Pas du tout, il rend de fier service dans des situations précises.

La première, quand l’obscurité est presque totale. Par exemple, sur photo ci-dessous dans la cours, c’est le noir complet. La seule source provient de la fenêtre en haut et pourtant le Honor 70 arrive à s’en servir pour éclairer l’ensemble de la scène. Costaud.

Ce mode « Nuit » est aussi le bienvenu pour venir rehausser un arrière-plan en douceur. Sur les photos ci-dessous, ce mode arrive par exemple à rendre visible ce qu’il y a derrière le mur, ce qui a pour effet de donner plus de relief et de perspective au cliché.

Un mot rapide sur le mode « Portrait », le bokeh est convaincant, quoique un peu trop uniforme. Rien à dire sur le détourage, il est de bonne facture.

Honor 70 - Portrait
Mode “Portrait”, l’effet bokeh ne peut pas s’ajuster après la prise

En ce qui concerne la caméra frontale, elle ravira les amateurs de selfies par sa propension  à bien gérer les ombres et les reflets lumineux. Comme on peut le remarquer sur les azulejos, le capteur arrive à bien détailler les motifs et les teintes de bleu.

Honor 70 selfie

Vidéo : à l’assaut des réseaux sociaux

« Le smartphone idéal pour la production de vlogs et de vidéos Tiktok ». Voici la manière dont se présente, d’un point de vue marketing, le Honor 70. Pour joindre sa parole aux actes, le constructeur a muni son smartphone d’une armada complète.

  • Vidéo en 720p (16:9), 1080 p (16:9 et 21:9) en 30 et 60 FPS.
  • Vidéo en 4K à 30 FPS.
  • Un mode « Multi vidéo », déjà aperçu sur Honor 50, pour filmer avec des plans et des angles de vues différents (zoom, caméra avant et arrière…).

À l’heure du microblogging sur Instagram et encore plus sur TikTok, Honor fournit aux plus jeunes un attirail complet pour créer facilement des contenus innovants. En plus du mode Honor inaugure avec ce smartphone, un inédit mode « Solo Cut ». Avec ce dernier, il est possible de filmer les multiples sujets d’une scène, jusqu’à 5 personnes maximum, tout en faisant un focus sur une personne en particulier.

Grâce à un suivi IA, le Honor 70 filme alors également sur la même interface la personne désignée en suivant ses mouvements. En effleurant l’écran, on peut facilement durant la prise passer d’un sujet à un autre. Fonctionnant également en mode large et zoom x2, le « Solo Cut » créé à la fin deux fichiers vidéos distincts. La scène globale en format paysage et le focus en vertical sur le sujet choisi.

Dans les faits, ce mode fonctionne relativement bien. Parfois l’autofocus met du temps à se positionner sur un sujet mais c’est plutôt rare. Petite contrainte tout de même, le vidéaste doit se trouver idéalement entre 4 et 6 mètres de la scène pour un fonctionnement optimal.

À noter également que ce mode ne filme « que » dans une résolution de 1080p à 30 fps, ce qui est déjà pas mal. Quoiqu’il en soit, Honor vise juste à ce mode vidéo qui est loin d’être gadget et qui ravira les plus créatifs.

Écran : difficile de lui trouver des poux

Pour séduire la jeunesse, Honor savait qu’il ne devait pas non plus lésiner sur cet aspect. Avec son écran OLED de 6,67 pouces Full HD+ (2400 x1080), le Honor 70 nous en a mis plein la vue pendant des semaines. Première claque ? La luminosité. En moyenne, elle flirte les 809 cd/m2 avec des pics atteignant les 855 cd/m2. Que ce soit le soir avec une lampe de chevet ou en plein soleil, les contenus s’apprécient avec une clarté épatante.

Deuxième baffe ? Le Honor 70 propose un taux de rafraîchissement selon trois schémas. Le mode « Élevé » le bloque à 120 Hz, le « Standard » à 60 Hz et le « Dynamique » adapte le taux en fonction de l’utilisation et de l’autonomie. À propos de ce dernier, il fonctionne à merveille. Nous nous rendions compte en temps réel de l’ajustement lorsque nous basculions d’une activité à une autre. Il fait vraiment bien son job.

En matière de colorimétrie, il faudra mettre un peu la main à la patte. Si le Honor 70 s’en sort bien avec une excellente couverture de l’espace DCI-P3, son Delta E en sortie d’usine s’établit à 5,47 d’après nos tests 01Lab. C’est franchement moyen. Pour une meilleure fidélité des couleurs, nous vous conseillons donc d’oublier le mode « Vif » et de passer rapidement en mode « Normal ». Avec son Delta E de 3,49, il sera plus à même de vous proposer une colorimétrie plus juste.

Design soigné, mais sans effet “whaou”

Lors de la première prise en main, le Honor 70 nous a épaté par son poids et sa finesse, comptez 161,4 x 73,3 x 7,91 mm pour 178 grammes. Franchement, pour des longues utilisations, même à une main, cette sensation de légèreté est un réel plaisir. Au bout de quelques jours, la dalle incurvée a commencé de manière crescendo à nous faire également forte impression. Ces courbes latérales plongent avec cohérence sur les tranches, tandis que le menton d’à peine 2 mm renforce l’immersion de l’écran.

À l’arrière, Honor persiste et signe dans sa signature. Comme sur ses récents modèles, et comme sur les smartphones Nova de Huawei, le bloc photo s’affranchit ici totalement du joug d’un rectangle ou d’un carré. La rotondité et rien d’autre. Deux cercles de taille identique abritent le capteur grand angle et le capteur de profondeur pour l’un et l’ultra grand-angle et le flash pour l’autre.

Par contre, que ce soit au bout d’une journée ou au bout de deux mois, le dos en verre a constamment retenu nos traces de doigts et la poussière. Bien que la qualité de fabrication soit au rendez-vous, le matériau utilisé semble avoir un léger côté « cheap », on le remarque lorsqu’on tapote le dos avec nos ongles.

À ce propos, Honor n’a pas communiqué la composition du dos à l’heure où nous effectuons ce test. Quoiqu’il en soit, l’habiller d’une coque ne sera pas de trop. Par contre, en matière d’intégration des boutons sur la tranche droite (volume et mise en marche), nous ne pouvons que saluer la conception. Grâce à une habile excroissance, ces commandes tombent parfaitement sous les doigts.

Sur la tranche inférieure, on retrouve sans surprise le port USB-C et double nano-SIM, ainsi qu’une grille de haut-parleur. Et sur la tranche supérieure…Rien. Le Honor 70 propose effectivement un son mono, une petite déception, qui s’ajoute à une autre. Aucune norme d’étanchéité ne nous a été communiquée.

Performances : le choix de l’équilibre énergétique

En son cœur, le Honor 70 repose sur 8 Go de mémoire vive et 256 Go de stockage, pour notre version de test, mais surtout sur la Snapdragon 778G+. Une puce à laquelle nous nous sommes confrontés récemment sur le Nothing Phone (1) et qui ne nous a pas laissé un souvenir impérissable. Fondue par le taïwanais TSMC et gravée en 6 nm, cette puce ne mise pas sur la performance pure. Elle préfère garder ses billes pour maintenir le smartphone à bonne température et garantir son autonomie.

Pour tous les usages du quotidien, le Honor 70 s’en sort logiquement le buste droit et fier. Réseaux sociaux, streaming vidéo, multitâches intensif, jeux en 2D… Il engloutit nos moindres désirs.

TikTok Honor70

Par contre, dès que l’on pousse dans les orties, il perd logiquement en fluidité notamment sur des applications gourmandes en ressources comme du montage vidéo ou du gaming extrême. Pour le premier, ce n’est pas trop grave, la partie photo et vidéo du Honor 70 dispose d’assez de fonctionnalités pour s’en sortir seul. Pour du gaming de l’extrême, c’est plus handicapant.

Honor 70 gaming

Pour se divertir sur Diablo Immortal sans saccade, il nous a fallu le faire tourner à 30 FPS avec des graphismes réglés en faible. Attention, l’expérience de jeu reste largement acceptable et jouable. On se détend et on prend plaisir sans problème. Les dernières licences, une poignée de jeux en soi, auront juste du mal à tenir sur la durée avec des conditions optimales de jeu. Ce n’est ni une honte, vu sa puce, ni une surprise, vu sa cible. 

Honor 70 benchmark

D’autant que ce SoC respecte sa promesse initiale, le smartphone ne chauffe pas excessivement et la déperdition énergétique est convenable à peine 4%  après notre bench extrême sur 3DMark . Finalement, rendons à César…L’expérience globale de la Snapdragon 778G+ est beaucoup mieux maîtrisée ici, que sur le Phone (1).

Autonomie : un choix qui s’avère payant

Malgré sa finesse, le Honor 70 accueille une batterie de 4800 mAh, une belle surprise, surtout quand on sait que le Honor 50 stagnait à 4300 mAh. Ici Honor récolte ce qu’il sème avec son choix de SoC, l’autonomie est tout bonnement excellente.

Durant plus de deux mois, le téléphone tenait tout le temps deux jours pour une utilisation modérée. Et aisément une journée et demi en mode intensif. Saluons de nouveau ici le mode « Dynamique » du taux de rafraîchissement qui nous a souvent fait grappiller des heures supplémentaires.

En confrontant notre expérience du quotidien aux tests de 01Lab, la conclusion est, peu ou prou, équivalente. Dans une utilisation polyvalente, le Honor 70 a tenu 19h27 minutes et en streaming vidéo, 11h22 minutes.

En matière d’autonomie, ce smartphone fait bien mieux que ses concurrents directs et presque aussi bien que les cadors du haut de gamme. Respect.

En matière de recharge, même s’il ne tutoie pas les mêmes sommets, il se situe dans la moyenne haute. Avec sa SuperCharge de 66 W, il met 22 minutes pour passer de 0 à 50% et environ 55 minutes pour reprendre totalement des forces.

Logiciel et audio : carton jaune et carton rouge

Quelque soit le public visé, il existe des impondérables. Le Honor 70 tourne sous Android 12 et sur l’interface Magic UI 6.1.0. Si vous avez déjà eu en main un smartphone Huawei, vous ne serez pas dépaysés tant cette surcouche ressemble à EMUI. Et c’est bien là, notre souci. Certes, l’interface est sobre et possède quelques qualités indéniables comme le multitâches ou la création de dossiers élargis sur l’écran d’accueil. Nous aurions pourtant aimé que le constructeur coupe le cordon et développe une interface plus à sa sauce. Principalement sur l’interface photo et le volet de personnalisation. Aussi, il est dommage que l’une des fonctionnalités graphiques phares d’Android 12, Material You, ne soit pas encore disponible.

Et que dire de l’unique haut-parleur ! Le Honor 50 nous avait déjà fait le coup. Le pire, c’est qu’en soit, il n’est pas mauvais. La distorsion est relative à plein volume et les basses sont rondes et ne dégoulinent pas sur les médiums. Logiquement, l’impression de spatialisation est absente ce qui confère au rendu un manque d’énergie flagrant. Dommage, d’avoir un si bel écran avec une partie audio autant en retrait.

Honor 70 au meilleur prix Prix de base : 549 €
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Notre avis après le test du Honor 70

Il est bien difficile en matière de smartphone de mettre d’accord d’un coup toute la jeunesse, Honor a donc décidé d’en cibler une partie. La jeunesse qui cherche la polyvalence en photo, qui joue des heures à des jeux 3D puissants ou pour qui le smartphone est, d’abord et avant tout, un objet ostentatoire, n’est pas nécessairement la priorité du constructeur.

Par contre, celle qui raffole des photos de nuits réussies et des fonctions vidéos créatives, oui. Celle qui surfe frénétiquement sur les réseaux sociaux et sur Netflix et qui a besoin d’un smartphone puissant comme il faut et avec un écran fluide et lumineux, oui. Et celle pour qui la nomophobie est surtout liée au manque de batterie, encore oui. Le Honor 70 n’est pas le roi de tout un royaume, mais d’une province bien élargie, et c’est déjà pas mal.

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Honor 70

599€
8.3

Design

7.5/10

Écran et audio

8.0/10

Performances et interface

8.0/10

Autonomie et recharge

9.0/10

Photo

9.0/10

On aime

  • Une capteur grand-angle époustouflant, surtout la nuit
  • Des fonctions vidéo intéressantes
  • Une belle autonomie et une charge rapide
  • Un bel écran OLED lumineux
  • Des performances suffisantes

On aime moins

  • Un design sans surprise
  • Un seul haut-parleur, pas d'étanchéité
  • Une bonne surcouche mais qui manque d'audace
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