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Une étude révèle quels sont les jeux vidéo les plus addictifs

Un palmarès qui réserve quelques surprises.

Lorsque l’on joue à des jeux vidéo de manière raisonnable, cela ne pose en général aucun problème. Des bienfaits pour la santé mentale et physique ont même été relevés par certaines études. Pour autant, il peut aussi arriver que certains joueurs adoptent un comportement problématique et passent beaucoup trop de temps sur leur titre favori, au détriment de leur vie personnelle et professionnelle.

Des jeux pour lesquels il est très difficile de s’arrêter

En 2019, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a conclu que le trouble du jeu vidéo est une maladie. Cette pathologie est d’ailleurs rentrée en vigueur en début d’année. Une nouvelle étude menée la Private Rehab Clinic, Delamere, au Royaume-Uni a justement tenté de déterminer quels jeux étaient les plus addictifs pour les gamers.

Pour cela, les scientifiques ont sélectionné une cinquantaine de jeux sur Metacritic, puis ont classé ceux qui mentionnaient le plus le mot « addictif » dans les avis. Cette méthode peut bien sûr être critiquable et ce terme n’est d’ailleurs pas forcément vu négativement par l’ensemble des joueurs.

Quoi qu’il en soit, les auteurs ont pu établir un top 20 que nous vous listons ici dans l’ordre : Rocket League, Littlewood, Demigod, Stardew Valley, League of Legends, Frostpunk, Path of Exile, My Time At Portia, Fortnite, PlanetSide 2, Tom Clancy Rainbow Six : Siege, Dota 2, Animal Crossing : New Horizons, The Elder Scrolls V : Skyrim, Fallout 3, Counter Strike : Global Offensive, Call of Duty Black Ops III, Smite, The Sims 4, Rust.

Cité par nos confrères du site 25entertainment.ie, Martin Preston, fondateur et directeur général de la clinique, explique les raisons qui peuvent rendre ces titres addictifs :

L’une des caractéristiques les plus addictives des jeux est que beaucoup d’entre eux n’ont pas de fin prédéfinie, ce qui est le plus courant dans les jeux MMORPG. Cela signifie que le joueur n’arrive pas à un point où il a “terminé” chaque défi ou tâche, ce qui met un terme naturel au jeu et lui permet de passer à autre chose. Au lieu de cela, ils sont présentés avec des défis continus et des tâches à surmonter qui les incitent à revenir encore et encore.

Comme dans toute pratique, il est donc important de savoir poser des limites à ne pas dépasser. Ne pas hésiter non plus à en parler à un spécialiste lorsque l’on sent que l’on arrive pas à sortir d’une certaine dépendance.

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Par : Gouvernement français
4.4 / 5
325,5 k avis
8 commentaires
8 commentaires
  1. Ouf je suis rassuré car sur metacritic pour wow le mot addictif n’est pas assez cité pour ce jeu. Donc il n’est pas addictif si je suis le raisonnement de ce “chercheur” qui doit avoir trop de temps libre et de l’argent en trop.

    1. Le problème n’est pas le jeu vidéo, mais son utilisation. Ce sont les utilisateurs qui ont un terrain addictif ou non… L’OMS est à côté de la plaque avec cette histoire d’addiction… On peut être addict à absolument TOUT ! Ce n’est pas l’objet le problème mais plutôt le sujet !

  2. C’est à cause de genre d’article qui réprime les jeux vidéos que les parents pensent que leurs enfants sont de bon à rien….

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