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L’introduction en Bourse de Facebook en photos

Aujourd’hui, le sujet le plus chaud sur Internet est forcément l’impressionnante introduction en Bourse de Facebook. Le réseau social, désormais connu de tous sur le NASDAQ, a vendu pas de moins de 421 millions d’actions !

Aujourd’hui, le sujet le plus chaud sur Internet est forcément l’impressionnante introduction en Bourse de Facebook. Le réseau social, désormais connu de tous sur le NASDAQ, a vendu pas de moins de 421 millions d’actions !

Comme on peut s’en douter, l’ambiance est au beau fixe au quartier général de Facebook à Menlo Park en Californie. Les milliers d’employés partagent cette expérience sur une des dernières acquisitions du réseau social, Instagram.

En effet, il est possible de voir (quasiment) en temps réel les photos postées par les employés depuis le campus Facebook. Cela est possible grâce à l’API d’Instagram et surtout au service Spots.io qui permet de trouver les photos Instagram géolocalisées à un endroit précis.

Au moment où j’écris ces lignes, le service Spots.io était par moment indisponible suite à un afflux de visites. Si c’est toujours le cas, vous pouvez visiter la galerie Instabam.

(source)

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Par : Instagram, Inc.
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11 commentaires
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  1. Merci pour ces photos Camille.

    L”explosion” attendue de l’entrée en bourse de Facebook n’a pas eu lieu mais ce n’était pas une “défaite” non plus. Initialement valorisées à 38 $, la valeur des actions est rapidement montée à 42 $, pour redescendre à 38,xx € en fin de séance. Pas de réel séisme.

    Mais devait-t-on s’attendre à une réelle explosion de valeur à cette entrée ? Personnellement, j’en attendait une petite. D’un autre côté, cette valeur est surévaluée et bien des gens risques de se voir déçus d’ici un an ou 2. Mais bon, l’avenir nous le dira.

  2. Projetons-nous dans un siècle ou deux : un lointain descendant de WikiLeaks ou Facebook, que les détracteurs de ces exhibitions numériques pourraient baptiser WikiShit ou Fuckbook. Un peu à l’image des progrès fulgurants pour scruter l’univers, se profilera une génération de satellites observateurs associés aux innombrables données qui se cumuleront pour chaque individu. Imaginons qu’une organisation publique ou privée décide de traquer tel ou tel. Entre l’observation directe et la captation de ses traces thermiques, voire génétiques, l’IP d’un individu-cible ne le laissera pas en paix une seule seconde. Sans intérêt à l’égard de la majorité de la population, cet outil se concentrerait sur les délinquants (présumés ou réels), sur les personnalités perçues comme subversives et sur ceux occupant des postes stratégiques. Même goût pour la transparence et des moyens technologiques permettant la traçabilité totale de la cible. A qui, pour quelle finalité, cette arme sociale ? Un Big Father autrement plus puissant que le grassouillet frère d’Orwell. Cf. http://pamphletaire.blogspot.fr/search/label/Internet

  3. Même si facebook est une société à potentiel, ça capacité réside de l’information qu’elle détient et du nombre croissant de ses utilisateurs. Et donc dépend énormément du secteur de la pub.

  4. C’est toujours plaisant de relire les articles quelques jours plus tard…
    Presse-Citron qui publie plusieurs articles sur l’introduction mais qui ne mentionne pas l’important dévissage du à une entrée en bourse surcotée.
    Valentin (cf. ci-dessus) ne doit plus tellement regretté que les particuliers n’aient pas pu acheter d’action lors de l’introduction.
    C’est en tout cas un phénomène intéréssant à étudier que la valorisation médiatique d’une introduction et sa confrontation au “réel” du marché.
    On verra à moyen terme mais à ce jour il semble que le titre ne soit pas encore descendu à un niveau pertinent.

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