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Test ROG Ally : la révolution de la console portable selon Asus ?

Tout juste officialisée, la nouvelle console portable Asus ROG Ally est arrivée chez Presse-citron il y a quelques semaines. Après de longues heures de jeux, il est grand temps de livrer notre verdict complet concernant cette “console de jeux vidéo PC portable”.

Il y a quelques semaines seulement, Asus a officialisé sa toute première console de jeux vidéo portable : ROG Ally. Un véritable petit PC sous Windows 11 dans un châssis de Nintendo Switch, qui promet aux joueurs de retrouver tous leurs jeux favoris en un seul et même endroit.

Sur le papier, la ROG Ally a tout pour constituer une rivale de choix face au Steam Deck de Valve, avec la présence ici de Steam, mais aussi de l’Epic Games Store, d’Ubisoft Play, d’Ubisoft Connect, de GOG… sans oublier une intégration poussée du Xbox Game Pass, et de tout ce que permet Windows 11 (coucou les émulateurs).

Après de nombreuses heures de jeu (et de nombreuses recharges), voici le test de cette très attendue Asus ROG Ally.

Tout, tout, tout, vous saurez tout sur ROG Ally

Fin avril, Asus réunissait la presse dans ses locaux pour présenter sa ROG Ally. L’occasion de prendre en main pour la première fois cette console PC dotée d’un écran Full HD de 7’’ et d’une architecture à faire pâlir la machine de Valve (et rougir de honte la Nintendo Switch).

Asus ROG ally test
© Presse-citron

L’Asus ROG Ally est livrée dans un packaging somme toute très sobre. La machine est parfaitement calée, et on tombe aussitôt nez à nez avec l’engin, qui en impose. Par son gabarit, mais aussi par sa robe blanche, à l’opposé de l’austérité d’un Steam Deck.

Asus ROG ally test
© Presse-citron

Petit plus agréable, le boitier dispose d’un petit support ROG, qui permet de maintenir la ROG Ally en mode « tabletop ». En effet, contrairement à la Nintendo Switch, pas de pied rétractable ici, aussi on apprécie ce petit geste de la part d’Asus, qui permet de maintenir la console en toute sécurité, pour jouer sur la table de la cuisine avec une manette en Wi-Fi, ou tout simplement pour regarder une vidéo ou consulter un site web (Windows 11 oblige) en ayant les mains libres.

asus rog ally
© Presse-citron.net

L’Asus ROG Ally c’est :

  • Écran tactile 7″ IPS en Full HD et 120 Hz
  • Processeur AMD Ryzen Custom Z1
  • 16 Go de DDR5
  • SSD 512 Go
  • Capteur d’empreintes
  • Deux sticks analogyques asymétriques
  • Croix directionnelle
  • Disposition des boutons façon Xbox
  • Un bouton dédié au panneau de commandes, un autre dédié à la surcouche Armoury Crate SE
  • Port microSD
  • Port USB Type-C

Elle n’est pas trop « big » Ally ?

Une fois extirpée de son packaging, l’Asus ROG Ally continue de surprendre par son gabarit, et on en scrute évidemment le moindre recoin. L’ensemble est massif et parait bien peu ergonomique à première vue… et pourtant c’est tout l’inverse.

En effet, le design a été soigneusement pensé pour s’adapter parfaitement aux mains du joueur, avec en prime des sticks asymétriques (façon Xbox) pour le bonheur des pouces, sans oublier des poignées elles aussi creusées juste comme il faut.

rog ally hands on
© Presse-citron

Avant même de démarrer la machine, on apprécie également le feeling « tout en douceur » des sticks analogiques, mais aussi des gâchettes (comme sur Xbox toujours) LT et RT. À noter la présence ici d’une croix directionnelle très similaire à celle embarquée par la Game Gear de SEGA en son temps.

asus rog ally sega game gear
Sur certains aspects, l’Asus ROG Ally nous a fait penser… à la Game Gear de SEGA © Presse-citron

L’autre excellente nouvelle, c’est la présence d’un capteur d’empreintes digitales situé directement sur le bouton d’allumage de la machine. De cette manière, vous pouvez déverrouiller la console en toute simplicité, comme vous déverrouillez votre smartphone.

La console est aussi livrée de série avec un chargeur 65W, mais pas de sacoche de transport ni même de port pour relier la machine à un écran.

asus rog ally nintendo switch presse citron
Malgré un écran de taille identique, l’Asus ROG Ally est plus imposante (et bien plus puissante) qu’une Nintendo Switch OLED © Presse-citron

Côté gabarit, l’Asus ROG Ally est incontestablement une grosse machine. Un chouia plus compacte que le Steam Deck (qui prend aussitôt un terrible coup de vieux au passage), la ROG Ally est toutefois beaucoup plus imposante qu’une Nintendo Switch OLED… malgré un écran de diagonale identique (7’’). Cela s’explique bien sûr par une architecture PC haut de gamme à bord, sans oublier un système d’aération composé de deux ventilateurs.

rog ally hands on design
Pour refroidir la bête, Asus a placé deux ventilateurs, lesquels soufflent l’air chaud vers le haut de la machine © Presse-citron

Toutefois, comme évoqué plus haut, malgré une silhouette imposante et un poids de 600 grammes, qui laisse craindre le pire quant à la prise en main (un peu comme la Game Gear il y a 30 ans finalement), la ROG Ally est vraiment très agréable à manipuler. Mais qu’en est-il une fois la console démarrée ?

Vraie console portable ou mini PC ?

La ROG Ally nécessite une petite dizaine de secondes pour se lancer, et côté interface, l’ensemble « fait le job », mais on reste très vite surpris par l’omniprésence… de Windows 11. En effet, au lancement, la ROG Ally boote sur Windows 11, avant que la surcouche maison (Armoury Crate SE) ne prenne le relais. A ce sujet, un bouton dédié (à droite de l’écran) permet de revenir en un clic à l’accueil d’Armoury Crate.

Bienvenue… sur Windows 11 ! © Presse-citron

C’est un peu déroutant à vrai dire, puisque l’OS de Microsoft ne manque jamais de rappeler sa présence en arrière-plan, avec régulièrement des demandes d’autorisation et autres notifications. Rien de grave dans l’absolu, mais ceux qui pensaient retrouver principalement une console de jeux vidéo portable seront parfois un brin déroutés.

asus rog ally windows 11
L’Asus ROG Ally est animée par une interface Windows 11 complète, et parfaitement fonctionnelle (comme sur un PC classique) © Presse-citron

Si la surcouche est plutôt simple et efficace (bien qu’encore un peu bugguée), le fait d’avoir constamment affaire à Windows 11 (en version complète) laisse parfois transparaitre un côté un peu trop « bricolage » de la part d’Asus. Le tout fonctionne oui, mais on n’a jamais réellement l’impression d’être face à « une console de jeux portable » en réalité.

Vous n’échapperez pas à un petit « retour à l’accueil » parfois, ni même à des commandes qui se figent pendant quelques secondes au sortir d’une application, sans parler évidemment des mises à jour de l’OS et des applications.

asus rog ally windows 11
La surcouche Armoury Crate SE se charge de regrouper au même endroit les jeux et launchers installés… mais elle ne prend jamais le pas sur Windows 11 © Presse-citron

En contrepartie, disposer d’un Windows 11 complet est une excellente nouvelle pour qui souhaite également utiliser sa ROG Ally comme un petit PC portable.

Comme nous l’expliquons plus haut, il s’agit d’une version complète de l’OS de Microsoft, et il est donc possible de télécharger toutes ses applications préférées, mais également de relier un clavier et une souris pour taper un mail, discuter via Messenger, profiter de ses services de streaming préférés, naviguer sur YouTube… sans oublier évidemment les activités liées au rétrogaming et à l’émulation.

asus rog ally retrogaming
Via Windows 11 (entre autres), on peut aussi profiter des joies du rétrogaming sur la ROG Ally © Presse-citron

On peut évidemment profiter du tout directement depuis la ROG Ally et son écran tactile, mais en reliant la ROG Ally à un écran (via HDMI), on profite d’un vrai petit PC portable sous Windows 11, et c’est incontestablement un vrai plus à souligner.

En définitive, si Asus a clairement fait divers efforts pour faciliter l’utilisation de cette ROG Ally au plus grand nombre, son utilisation nécessite malgré tout un minimum de connaissances informatiques.

Contrairement au Steam Deck (ou à une Nintendo Switch), il ne s’agit pas d’une console dédiée uniquement à la pratique jeu vidéo, et il faudra donc accepter parfois (souvent ?) d’alterner entre la surcouche Asus et ce cher Windows 11 pour paramétrer certains aspects, à grands renforts de créations de dossiers, de clics droits et autres doubles clics.

Rien de bien sorcier toutefois, et après avoir relié vos comptes Steam / Xbox Game Pass / Epic Games Stores… vous pourrez rapidement (re)télécharger vos jeux favoris, qui viendront prendre place dans le launcher dédié. Et à partir de là, préparez-vous à être tout simplement BLUFFÉS.

Un vrai régal pour les yeux (et les oreilles !)

En effet, même si la ROG Ally peut dérouter, avec son Windows 11 très présent et quelques approximations côté expérience utilisateur, il suffit de lancer un jeu (si possible un bon gros AAA) pour démontrer les capacités hors norme de la bête.

Evidemment, s’il est possible de jouer en streaming (via le Game Pass Ultimate ou encore le PlayStation Plus), on peut également installer les jeux en local, via Steam, Xbox Game Pass etc…

asus rog ally nintendo switch
© Presse-citron

Dans notre cas, outre certains jeux « légers » (Tortues Ninja Shredder’s Revenge, Doom, The last Case of Benedict Fox, Ori and the Will of the Wisp…), nous avons également tenu à lancer de (très) gros AAA, à savoir Forza Horizon 5 ou encore un certain Death Stranding.

Et force est d’admettre que la ROG Ally impressionne… et pas qu’un peu. Non contente de faire tourner comme un charme les jeux « légers », la machine parvient également à faire tourner parfaitement Forza Horizon 5, Resident Evil VII ou encore Death Stranding, avec des graphismes calibrés en élevés (et même davantage), le tout avec une fluidité impeccable et un affichage en Full HD 1080p.

C’est simple, le rendu à l’écran est tout simplement BLUFFANT, et (re)parcourir certains jeux sur « une console portable », avec une telle qualité d’affichage, procure un plaisir assez indescriptible.

Non content d’afficher des jeux d’une beauté renversante, la ROG Ally dispose également d’une fonction de vibration, pour optimiser l’immersion, mais sa spatialisation sonore s’avère elle aussi vraiment excellente.

Conçue pour proposer un rendu en 5.1. virtuel, la ROG Ally ne dispose certes que de deux haut-parleurs, mais le rendu est excellent, avec en prime une virtualisation vraiment très réussie.

Côté autonomie… un air de Game Gear ?

Évidemment, outre la partie optimisation (avec Windows 11), cette ROG Ally a également soulevé de nombreuses interrogations en ce qui concerne… son autonomie. Et à ce sujet, comme on pouvait le craindre, l’endurance de l’appareil dépendra grandement de l’usage que vous en faites.

Par exemple, nous avons réalisé le test suivant sur le jeu Death Stranding, téléchargé via le PC Game Pass et réglé en graphismes « Très Elevé ». L’Asus ROG Ally est en mode Turbo, l’écran en 1080p/120 Hz, le WiFi est activé, tout comme les vibrations, tandis que le Bluetooth est sur Off et les RGB éteintes. On part donc sur une utilisation assez intensive de la machine, le but étant de profiter d’une expérience de jeu impeccable.

La partie est lancée à 16h pétantes avec une batterie chargée à 100%. Dès 16h29, la batterie affiche déjà 50%… À 16h40, l’autonomie n’est plus que de 30%, et cinq minutes plus tard, elle chute à 20%, faisant alors passer la ROG Ally en mode « Economie d’Energie ».

Cela n’empêche pas la batterie d’afficher 5% à 16h53, suivi par une mise en veille automatique de l’appareil à 16h56. Par défaut, l’appareil se met en veille, et permet de reprendre sa partie là où elle s’est arrêtée une fois la batterie rechargée.

rog ally hands on confort
La touche Armoury Crate SE permet de revenir à tout moment sur la surcouche de la ROG Ally © Presse-citron

Une autonomie inférieure à 1 heure donc dans cette configuration précise, mais qui permet en contrepartie de profiter d’une expérience de jeu vraiment bluffante. En réduisant certains paramètres (ce qui est faisable à la volée) comme passer en mode Performances et basculer de 1080p à 720p et de 120 Hz à 60 Hz, on parvient à glaner entre 30 et 40 minutes d’autonomie supplémentaires… au détriment toutefois de la qualité visuelle du jeu.

Evidemment, l’autonomie varie aussi en fonction du jeu lui-même, et si ce dernier nécessite beaucoup de puissance ou non, mais globalement, préparez-vous à recharger votre machine très (très) régulièrement.

Ci-dessous, quelques captures d’écran réalisées directement depuis la ROG Ally, sur Death Stranding, Ori & the will of the Wisps et Resident Evil VII en mode natif.

MAIS ! Si la ROG Ally permet de jouer aux jeux de manière « native », soit avec les jeux installés dans la mémoire de la machine, elle peut aussi faire tourner ces derniers grâce à la magie du streaming.

Par exemple, de nombreux jeux sont proposés en « Cloud Gaming » via le PC Game Pass. Et dans ce cas précis, l’utilisation des CPU et GPU est ultra réduite, l’expérience de jeu étant conditionnée par la connexion réseau.

rog ally hands on caracteristiques
© Presse-citron

Ainsi, on peut profiter de jeux AAA (Fallen Order, Flight Simulator, Forza Horizon 5, Gears 5…) avec une qualité visuelle somme toute très (très) correcte, tout en profitant ici d’une autonomie qui va varier de 3 à 4 heures, cette dernière étant évidemment sujette à divers paramètres : luminosité de l’écran, mode de fonctionnement choisi, vibrations activées ou non…

Star Wars Jedi Fallen Order sur Asus ROG Ally, via le cloud gaming du Game Pass

En mode « streaming », l’Asus ROG Ally a également tendance à conserver une température de fonctionnement très basse, contrairement au mode « natif », qui fait parfois (souvent ?) souffler un air très chaud par les deux ventilateurs embarqués, lesquels sont très largement mis à contribution, tout comme les CPU et GPU.

Sur Death Stranding, la température affichée était en moyenne de 80°, avec une utilisation du GPU flirtant constamment avec les 95%.

rog ally hands on armoury crate
Le centre de commande permet de changer divers options à la volée : luminosité, mode de fonctionnement, profils de jeu, résolution, fréquence… © Presse-citron

En définitive, comme c’est le cas pour tout appareil nomade, l’autonomie va donc dépendre ici de l’utilisation qui en sera faite. Vous souhaitez profiter pleinement de votre supercar en activant le mode « Race » et en tirant sur les rapports, vous consommerez alors davantage de carburant qu’en roulant en mode « Eco » et en adoptant une « éco-conduite ».

C’est exactement la même chose ici, avec une autonomie qui peut être inférieure à 1 heure en faisant tourner un AAA installé dans la mémoire de la machine, en utilisant la pleine puissance de la ROG Ally, mais qui peut aussi s’étendre à 4 heures environ, si l’on optimise les paramètres de puissance et/ou si l’on profite d’un jeu en cloud gaming.

Pour ce qui est de l’expérience au quotidien de cette ROG Ally, le constat est somme toute très positif en ce qui nous concerne, même s’il est évident qu’il faudra accepter de passer très (trop ?) souvent par la case recharge.

Globalement, autonomie mise à part, l’expérience passée avec la ROG Ally fut très agréable, et si la machine s’avère un chouia encombrante, elle parvient à se faire oublier une fois tenue entre les mains.

Il faudra toutefois s’habituer à la sensibilité des sticks analogiques, et à la croix directionnelle, pratique pour le rétrogaming certes, mais dont l’inspiration Game Gear ne procure pas toujours la précision souhaitée.

On espère désormais que les quelques semaines qui la séparent de sa commercialisation (le 11 juin prochain) permettront à Asus de déployer diverses mises à jour pour venir optimiser encore un peu la section logicielle, encore un brin fragile.

Notre avis concernant l’Asus ROG Ally

Avec sa fiche technique explosive, son écran 1080p et sa prise en mains très agréable, l’Asus ROG Ally est une véritable bête de course, un rêve de gosse pour tout gamer qui se respecte. L’Asus ROG Ally tient toutes ses promesses, et jouer à ses AAA favoris en mode nomade avec un tel confort visuel (et ergonomique) procure un bonheur absolu.

MAIS ! Il convient de souligner que la console constitue en réalité un « mini PC sous Windows 11 déguisé en console portable », ce qui implique de devoir (très) souvent manipuler l’OS de Microsoft, dans sa version complète. On n’échappe pas également à quelques petits bugs ça et là (Notification Windows qui poppe en plein jeu, plantage, interface figée durant quelques secondes à la sortie d’un jeu…), sans oublier une autonomie très fluctuante en fonction de l’usage, avec une batterie qui peut fondre en moins d’une heure, comme assurer jusqu’à 4 heures de jeu, en fonction des conditions.

Et quand bien même ceux qui s’attendent à une console portable simple d’utilisation seront un peu désappointés par l’omniprésence de Windows 11 (et une surcouche Armoury Crate SE perfectible), la ROG Ally est à même de réaliser les fantasmes nomades de nombreux joueurs.

À voir maintenant si vous êtes prêt à débourser les 799 euros demandés par Asus pour profiter de cette expérience de jeu hors norme.

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Asus ROG Ally

799€
8.2

Design et écran

9.0/10

Performances

10.0/10

Autonomie et Recharge

7.0/10

Logiciel

7.0/10

Rapport Qualité/Prix

8.0/10

On aime

  • La prise en mains
  • La (sur)puissance
  • La section audio
  • Un vrai plaisir au quotidien
  • Un vrai Windows 11 complet à bord

On aime moins

  • La partie logicielle, à optimiser
  • L'autonomie qui varie de 55 minutes à 3 heures 30
  • Encore quelques bugs et autres plantages
  • La croix directionnelle façon Game Gear, pas un modèle de précision...
  • Un vrai Windows 11 complet à bord
4 commentaires
4 commentaires
  1. Donc en gros on a le droit à une console qui coute 700€ avec 1h d’autonomie.
    Et si on veut plus d’autonomie, il faut l’utiliser en console Cloud qui couterai 150 à 200€.
    Ne pas pouvoir faire un petit trajet en train avec sa console de jeu, ça n’a pas vraiment d’intérêt, ceux qui l’achèterons seront très déçus de devoir jouer avec leur console portable branchée en permanence après 1 petite année d’utilisation car la batterie aura déjà pris trop dans la tronche à se faire rechargée 2x par jour.

    1. 1h d’autonomie en jouant à un AAA installé dans la mémoire de la machine, en Ultra et avec les options de Performances réglées aux maximum oui 🙂 Rien n’empêche de régler en 720p, en 60 hz, et en mode Eco pour booster l’autonomie, au détriment de la qualité d’affichage évidemment (comme on le ferait sur un PC portable finalement).

      D’après mes tests (sans jamais trop faire de sacrifices concernant les performances de la machine) l’autonomie va varier de 1h à environ 4h selon les usages.

      1. Vu la taille de l’écran il faut surement mieux régler en 720p effectivement, je ne suis pas certain que la différence soit vraiment visible.
        Vous parlez dans l’article de 3h30 en jeu Cloud, ce qui utilise très peu de ressources et donc d’électricité.
        Admettons 4h en qualité faible, j’ai beaucoup de mal à y voir un bon rapport qualité prix.
        Après c’est comme beaucoup de chose, on est au début de la technologie, ça coute cher pour un service faible, ça va s’améliorer et on finira avec des consoles qui valent le coup.

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