(Déjà) 25 ans de Need for Speed
Initiée en 1994 (il y a 25 ans déjà), la saga Need for Speed a connu ses heures de gloire, avec divers opus très réussis, le point culminant étant pour beaucoup un certain NFS Underground sur PS2. Par la suite, EA a eu bien du mal à remettre la main sur la formule magique, avec quelques réussites (Most Wanted, Hot Pursuit…) mais également pas mal de déchets ces dernières années… Avec NFS Heat, EA promet un opus “à l’ancienne“, avec une alternance jour/nuit, des courses-poursuites avec la police locale, des bolides a gogo, de la personnalisation à outrance… Bref, le test de Need for Speed Heat, c’est maintenant !
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NFS Heat plonge le joueur au coeur de la ville fictive de Palm City, et demande en premier lieu au joueur de choisir un avatar, mais aussi un premier bolide. Après une courte cinématique d’introduction, mettant en place un scénario bas de gamme et affublé d’une VF affligeante, le jeu nous place enfin au volant de notre premier bolide (façon de parler, car la vue cockpit n’est toujours pas disponible ici). Et là, difficile de ne pas se montrer très circonspect, après seulement quelques accélérations…
Un jeu… “vide” ?
En effet, difficile de ne pas écarquiller les yeux face à une ville de Palm City désespérément vide. Un Need for Speed vide de circulation d’une part, mais aussi de sensations, d’ambition… NFS oblige, on retrouve ici un gameplay typé arcade, avec la possibilité de drifter de manière abusive, mais on peine quand même à saisir le feeling général de cette conduite assez spéciale (pour ne pas dire décevante), contrairement à un Forza Horizon qui procure un plaisir et un fun immédiats. Bref, on s’ennuie ferme dès les premières minutes de jeu dans ce NFS Heat, ce qui est rarement bon signe pour la suite…
Outre les courses permettant de faire progresser le “scénario“, on peut également participer ici à diverses activités, comme les radars, les zones de drifts ou encore des panneaux à exploser via un saut bien ajusté, de quoi faire gonfler la réputation et/ou amasser de l’argent. A cela s’ajoutent d’autres activités annexes en fonction du quartier, mais rien de bien folichon globalement.
Côté progression, ce NFS Heat introduit une nouvelle mécanique de jour/nuit, avec la possibilité le jour de participer à des courses “légales” pour gagner de l’argent, et la nuit, de participer à des courses clandestines pour accumuler des points de réputation. On peut également engranger des points en affrontant les forces de police la nuit, mais il faudra veiller à ne pas se faire coincer avant d’aller se mettre à l’abri dans une planque, sous peine de perdre les précieux points.
A noter à ce sujet que l’alternance jour/nuit (que l’on peut activer à loisir via un simple bouton) est plutôt bien rendue, et ne nécessite qu’un très court temps de chargement. Inutile donc d’attendre un certain laps de temps pour voir la nuit tomber sur la ville ou le jour se lever, cela s’effectue simplement en affichant la map, puis en pressant la touche L3. Sympa.
Graphismes, personnalisation et déception
Visuellement, si la partie Jour est correcte mais sans plus, la partie Nuit a bénéficié d’un soin tout particulier, avec des éclairages de toute beauté. A cela s’ajoute une pluie assez présente dans le jeu, avec là encore, des reflets et autres effets très réussis. Attention toutefois, cela n’empêche pas quelques bugs de collision et autres bugs graphiques en tout genre.
Le jeu est compatible HDR, mais locké à 30 fps (y compris sur PS4 Pro et Xbox One X). La partie Personnalisation a elle aussi été très soignée, avec de très nombreuses modifications possible, le tout, via une interface visuellement très accrocheuse. Autant dire que les amoureux de la chose vont y passer un bon moment.
En ce qui concerne le contenu, NFS Heat propose pas moins de 130 bolides à piloter, avec quelques légendes mécaniques, mais aussi des véhicules très modernes, issus de nombreux constructeurs comme Porsche, BMW, Ford, Volkswagen, Nissan, Alfa Romeo, Lamborghini… Dommage toutefois que le plaisir de conduite soit assez absent globalement, peu importe le véhicule choisi. On prend certes beaucoup de plaisir à bichonner son bolide, mais très peu à le conduire. Frustrant…
Bref, vous l’aurez sans doute compris, ce nouveau NFS Heat est une énième déception, que ce soit pour les fans de la licence comme pour les amateurs de jeux de courses, la faute notamment à un gameplay sans saveur, une aire de jeu désespérément vide, et un vrai manque général d’inspiration… Un épisode pas franchement nécessaire finalement, ni justifiable, qui semble s’être contenté de piocher quelques idées chez la concurrence et chez certains autre opus de la saga NFS, et de compiler le tout en espérant en faire quelque chose de potable.
Mon verdict concernant Need for Speed Heat
Plutôt agréable pour les yeux (surtout de nuit), ce Need For Speed Heat se révèle très rapidement d’un ennui profond, avec un manque d’inspiration assez flagrant d’une part (hormis la dualité jour/nuit), mais surtout un gameplay qui ne procure pas la moindre sensation. Le côté Personnalisation est pour sa part très bien rendu, mais quelle tristesse de déambuler dans les rues désertes de Palm City, avec en prime un scénario bas de gamme et des personnages plus caricaturaux les uns que les autres, flingués qui plus est par une VF loupée… Bref, à éviter.
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Franchement, je suis pas d’accord et ça se voit que tu as pas tout tester le jeu dans sa globalité. Par rapport à ton lvl dans le jeu via les images représenté, comment ose tu dire que tu t’ennui ?!!! Si tu t’ennuie, retourne jouer sur mario kart. Et le pire dans tout ça , c’est que tu compare Nfs à Forza Horizon #horssujet. C’est comme si tu compare un film d’action avec un film d’amour. C’est vrai que le map manque de pnj , mais jamais on s’ennui dans le jeu : il y a courses , des drift , des courses de tout terrain , des poursuites et des courses alertes… Mais je parie que t’en a fait aucune et c ‘est pour ça que tu t’ennui. Autre point (la sensation conduite ) que tu trouve à chier , il y a un reglage que l’on peut regler via la fleche droite de ta mannette (“reglage live”) où tu peux régler ta voiture (“mais ça aussi tu ne sais pas de quoi je parle”) et aussi les pièces que tu gagne , a un impact sur la conduite (piece exhibition , tout terrain , rallye,piste ,drag ,course et drift) mais ça non plus tu n’en c’est rien.
Et pour en finir, le seule conseil que je puisse te donner , test les jeux à 100 % au lieu de 5 %.
je trouve que ton commentaire et très satisfesant de ma part NFS HEAT ne dois pas etre juger d’une t’elle manière je trouve que se jeux mérite une note de 7.5 qui et relativement bon pour un jeux mais une note de 4.5 !!!! C’est honteux pour un jeux si bien c’est vrai que sur nfs payback il y avait plus de pnj et de voiture dans le rue mais les gens comme se dise tester gaming pfff vaux mieux comme ta dit qu’il retourne jouer a mario kart lol et aussi c’est vrai qu’il ne test pas nfs a 100% parse-que quand on regarde c’est capture d’écran il a la bmw quand tu commence le jeux mais j’ai nfs heat et je ne trouve pas que c’est un tres mauvais jeu paraport au note…