Au sommaire cette semaine : pourquoi Android est sur le point de tuer les cartes SIM, ce brevet Ford qui inquiète, Figure, le robot humanoïde qui pourrait bien ravir la politesse à Tesla et Xiaomi et enfin les coulisses du départ de Renault de la Russie après l’éclatement de la guerre en Ukraine.
Bye, bye, cartes SIM
Google continue d’encourager l’ensemble des constructeurs de l’écosystème Android à passer à l’eSIM sur leurs prochains smartphones. Apple est déjà comparativement en pointe sur le sujet et commence à vendre des iPhone sans le slot permettant d’utiliser une SIM classique. Android va entre autres faciliter le transfert de ces eSIM dématérialisées. Qualcomm et Thales annoncent de leur côté une version améliorée, baptisée iSIM.
Ford réfléchit sérieusement à pirater les voitures des mauvais payeurs
Ford dépose le brevet d’un système qui permettrait de prendre le contrôle des véhicules des clients mauvais payeurs à distance. La procédure, qualifiée de “repossession” par le document, serait graduelle : en fonction des cas, Ford pourrait verrouiller le véhicule à distance, voire le faire revenir dans une concession en conduite autonome. Le brevet fait couler beauoup d’encre depuis son apparition il y a quelques jours sur le web. Ce qui a forcé le constructeur à réagir. Ford assure qu’il n’est pas question de déployer cette technologie… en tout cas pour le moment.
Figure pourrait bien devenir le premier robot humanoïde du marché
Fruit du travail d’anciens ingénieurs de Boston Dynamics, Tesla, Apple Special Projects Group, IHMC Robotics Lab, les véhicules autonome Cruise et Alphabet Project X, Figure est la startup robotique qui commence vraiment à attirer l’attention des observateurs. L’entreprise dispose de sans doute l’équipe la plus en pointe au monde sur le sujet, et assure être déjà en train de tester un prototype dans ses laboratoires. De quoi lancer un robot “commercialement viable” avant Tesla et Xiaomi ? Ses concepteurs l’espèrent…
La nouvelle vie de l’usine Renault en Russie
L’usine russe de Renault a été reprise par la marque Moskvitch pour produire des SUV destinés à Yandex, l’équivalent russe de Uber. Renault a quitté le marché russe des suites de l’éclatement de la guerre en Ukraine. Un départ forcé qui lui a coûté 2,2 milliards d’euros. Renault a pu se relever de son départ de Russie grâce à une hausse des prix et des rendements sur ses modèles vendus en Europe. Tous les détails sur les coulisses du départ de Renault de la Russie dans cet article.
C’est tout pour aujourd’hui. Retrouvez dès la semaine prochaine un nouveau Citron-pressé pour rester connecté à l’actualité qu’il ne fallait pas rater !
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MRC
A quand le retrait de renault de Turquie ?