Pour ceux qui ne connaissent pas, Boomerang est un plug-in qui aide à avoir plus de contrôle sur les e-mails. En substance, le logiciel permet à l’utilisateur de programmer des courriers ou bien d’en cacher pour recevoir des alertes plus tard.
Elle permet également de recevoir des alertes si un e-mail n’a pas de réponse. Boomrang est assez populaire et de ce fait, il a accès à pas mal de données. Grâce aux 40 millions de messages traités par cette fonctionnalité l’année dernière, l’entreprise qui la propose été en mesure de réaliser une étude qui visait à déterminer les caractéristiques de l’e-mail idéal ou plus exactement les caractéristiques qui font qu’un e-mail est susceptible d’être répondu.
La bonne longueur
Selon cette étude, ce sont les courriers de 50 à 125 mots qui sont les plus susceptibles d’être répondus. Le taux de réponse augmente de 10 à 100 mots puis à partir de 125 mots (TL;DR), ce taux baisse progressivement.
Sinon, si vous devez écrire de longs courriers (parfois, on n’y peut rien), entre 500 et 2000 mots serait la taille idéale. En effet, selon Boomrang, après 500 mots, le taux de réponse reste stable, mais baisse de manière significative après 2000 mots.
Le niveau de lecture semble aussi très important. Ne soyez pas trop pendant, car selon cette étude, les courriers écrits avec un niveau de lecture de classe de CE2 auraient un maximum de réponses.
De plus, l’humeur que vous laissez paraître dans vos e-mails aurait un impact sur le taux de réponses. Il serait faux de penser que les courriers rédigés avec un ton neutre, sans émotions, sont ceux qui ont le plus de réponses. En réalité, il faudrait écrire des e-mails soit négatifs, soit positifs, mais toujours modérés.
Pour avoir plus de réponses, il serait aussi recommandé d’écrire des courriers dont la longueur de l’objet est comprise entre 3 et 4 mots, de poser entre 1 et deux questions, et de ne pas être trop objectif (donc, donner son opinion).
Après, bien que cette étude soit très intéressante, elle a aussi certainement ses limites.
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Mouais donc en gros dès que tu mets 50 mots minimum ça passe mieux.
Mettre une différence entre 48-49-50-51% ça me rappelle un peu les concours de qui a la plus grosse sur les Benchmark PC avec un score de 7460 contre 7530, au final ça change pas grand-chose 😉
Article intéressant!
Ce post pour faire part de mon interrogation : depuis quelques temps, en plein milieu des paragraphes, il y a une pub pour un de vos site (celui sur les drones). Est ce que c’est vous qui ajoutez cette pub, ou est ce votre régie ? je pencherai pour la première option vu que c’est toujours la même pub…
En tout cas, c’est très désagréable, et c’est le genre de pratique, qu’en tant que lecteur premium je désapprouve…je veux bien financer, mais pas pour voir apparaitre de la pub au milieu des textes. Vous valez mieux!
Ce n’est pas notre régie… puisque nous n’en n’avons pas 🙂 Cette petite auto-promo ne nous rapporte rien, elle permet juste de faire connaitre un peu nos autres sites, c’est une initiative purement interne et informative. C’est si dérangeant que ça ce petit bout de phrase de 7 mots ?
Personnellement, cela me dérange : en fait, lorsque à la lecture, cela ressemble à un inter titre ou à une citation, alors qu’en fait c’est une publicité ; du coup, je ne l’identifie pas comme tel, et je la lis, ce qui créé une rupture dans le texte…Est ce que cela ramène du trafic ?
Bjr, juste pour dire que la taille d’un commentaire doit être courte, surtout quand il n’y a rien à dire. Un commrntaire long doit être argumenter et pédagogique, non depourvu d’humour et de sentiments respectueux du lecteur lambda. Car le lecteur n’aime pas qu’on ne se soucie pas de lui avec des notions qui lui échappe lui donnant cette impression étrange de pas comprendre pourquoi autant de mots pour ne rien apprendre. Bien que souvent pour comprendre il faut faire l’effort d’accepter son ignorance. Bien sûr ce n’est pas facile. Il est plus simple de balancer un jugement venant de la frustration de son ignorance. En fait le rapport d’intérêt à la lecture d’un commentaire est lié aux services qu’on en tire en matière d’argent (bonnes affaires) ou bien d’une motivation personnelle sur un sujet donné. Si bien que pour finir c’est l’amour que l’on porte à la correspondance avec autrui qui vient nous offrir le désir de converser, voir d’en connaître un oru plus de ce qu’on ignore. Je ne veux pas terminer sans citer cette belle tirade d’un fils à son père qui nous vient de S. Beckett :
– Salop, pourquoi tu m’as fait ?!
Et le père de répondre :
– Mais je ne savais pas que ce serait toi !…
Ainsi le savoir avance tjrs dans l’inconnu… Ce qui le rend particulièrement interressant, ou pas…