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Destitution de Trump : 8 sénateurs aperçus avec une Apple Watch au poignet

Depuis hier, le procès en destitution de Donald Trump a commencé, et le règlement pour les sénateurs présents est très strict. Cependant, un détail semble avoir échappé à quelques-uns.

Hier a débuté le procès en destitution de Donald Trump, dès lors que John Roberts, le président de la Cour suprême des États-Unis a donné ses 3 coups de marteau, les 100 sénateurs se sont tus comme l’exige le protocole, sous peine d’emprisonnement. Pour saisir l’importance de ce procès, il faut savoir que Donald Trump est seulement le troisième de l’histoire des États-Unis à passer par cette épreuve, après Andrew Johnson en 1868 et Bill Clinton en 1999.

Cependant, si les sénateurs ont l’interdiction de parler pendant le procès, la procédure exclut également la présence de dispositifs électroniques dans l’enceinte de la chambre haute. Si la première mention est respectée à la lettre par les 100 sénateurs, 8 d’entre eux ne semblent pas savoir ce que signifie “dispositif électronique”. En effet, 7 de ces députés ont été aperçus avec une Apple Watch au poignet : Mike Lee de l’Utah, John Thune du Dakota du Sud, Jerry Moran du Kansas, James Lankford de l’Oklahoma, John Cornyn du Texas et Tim Scott de Caroline du Sud.

Qu’exige le règlement ?

Le média américain Roll Call qui est à l’origine de cette annonce explique que Mitch McConnell, le chef de la majorité républicaine porte lui aussi une montre connectée. Pour rappel, les règles de bienséance stipulent que les sénateurs ne peuvent pas utiliser de smartphone ou d’appareils électroniques dans la chambre pendant le procès de destitution du président Donald Trump, mais rien n’est précisé concernant les Apple Watch et autres montres connectées.

Les dernières versions de ces montres connectées proposent presque autant de fonctionnalité qu’un smartphone, il est possible d’appeler, envoyer des messages, enregistrer, et d’utiliser bien d’autres options depuis sa simple montre. Si les règles archaïques comme l’obligation de se taire sont respectées à la lettre, la chambre haute devrait revoir son règlement pour prendre en compte les avancées technologiques et tout ce que cela peut entraîner au cours d’une situation si importante.

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8 commentaires
8 commentaires
    1. c’est ridicule, il n’a commis aucun crime, et quand bien même les démocrates attardés mentaux arrivent en tortillant du fion à lui en trouver deux ou trois qui n’en sont même pas, vous ne pourriez pas en citer UN SEUL de mémoire. mais libre à vous de nous prouver le contraire ? allez, un peu de lecture sur les sites de gauchistes, on vous attend.

  1. “Si les règles archaïques comme l’obligation de se taire sont respectées à la lettre […]”

    En quoi est-ce archaïques de se taire durant un procès ?

    1. Bonjour, la tournure de phrase n’est peut-être pas la meilleure (même si archaïque n’est pas forcément péjoratif), mais est-ce vraiment le sujet de l’article ?

  2. À trop presser le citron on s’en asperge les yeux. (Bon, je sais, c’est mauvais. :x) Non, sérieusement, j’en peux plus de ce site… Je l’avais bloqué sur mon fil d’actualité, mais j’ai complètement oublié de le faire sur mon navigateur. Quelle bévue !

    Pro-Apple jusqu’à la moelle, et très souvent de mauvaise foi à ce sujet. Articles très dirigés et partiaux. Et là, comble du comble :

    « Si les règles archaïques comme l’obligation de se taire sont respectées à la lettre […] »

    Non mais oh ! On parle tout de même d’une procédure judiciaire/gouvernementale visant un chef d’état ! (Malheureusement, Trump est bel et bien un président…) Il est p’têt un peu normal que pendant les séances on ne raconte pas la dernière connerie de son fiston ou qu’on ne montre pas ses photos de vacances sur son smartphone.

    1. Bonjour, vous devriez relire l’article, l’information importante n’est pas l’obligation de se taire pendant le procès, mais plutôt l’interrogation autour du respect de la règle qui empêche les sénateurs de posséder un objet électronique pendant le procès.

      En aucun cas l’article n’explique qu’il est normal de montrer “la dernière connerie de son fiston ou qu’on ne montre pas ses photos de vacances sur son smartphone” au cours de ce procès.

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