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“Hacker de l’année”, il explique son changement d’avis sur les cryptos

C’est l’une des plus grandes personnalités restées dans l’ombre à l’origine du développement du web 2.0.

David Heinemeier Hansson, aussi connu sous ses initiales “DHH”, est une grande figure du développement web. Il est connu pour avoir créé “Ruby on Rails”, avoir contribué au succès de l’outil de gestion de projet Basecamp, mais aussi d’avoir obtenu la distinction, par Google, de “Hacker de l’année” en 2005.

Aux prémices du web 2.0, qui régi toujours avec les grandes sociétés de la tech que l’on connaît aujourd’hui, il faisait alors partie des plus méfiants à l’idée d’un web3, et des cryptomonnaies. Pollution, gouffre économique, “shitcoins”, fluctuations sauvages… ses arguments contre les actifs numériques ne manquaient pas.

“J’avais tort, nous avons besoin de cryptos”

Tout a changé très récemment, le 21 février, lorsque David Heinemeier Hansson a publié une note de blog très explicite. “J’avais tort, nous avons besoin de cryptos”, titrait alors le programmateur d’origine danoise, installé aux États-Unis. Une décision politique face à la crise sanitaire, au Canada, lui a fait changer d’avis.

Après avoir rappelé ses positions sur les cryptomonnaies, DHH en venait aux faits : le 15 février dernier, en réponse à plusieurs mouvements de contestation des mesures sanitaires, le Premier ministre canadien Justin Trudeau défrayait la chronique en invoquant une “loi d’urgence”, amenée à geler les avoirs de tous les participants aux blocages ”illégaux” du pays.

“Il y a quelques mois à peine, je ne vous aurais pas cru si vous me disiez qu’une manifestation pacifique de trois semaines au Canada aurait pu conduire à la loi martiale”, écrivait-il.

Déboussolé, en ressortait du texte de Daniel Heinemeier Hansson un sentiment de perte de confiance dans les démocraties occidentales. De quoi donner de la légitimité à la nécessité de bâtir une solution pour maintenir notre “liberté fondamentale de faire des transactions”“notre meilleure chance de nous protéger”, affirmait l’entrepreneur. Des propos qui résonnent encore plus fort avec la guerre en Ukraine

Il terminait sa note en concluant qu’il s’était montré “trop pressé” à rejeter les cryptomonnaies sur la base de leurs problématiques du moment. Un discours proche de celui des défenseurs des pièces virtuelles, notamment sur la question de la pollution et de la spéculation. Par une plus grande adoption, Bitcoin et consorts régleront “tout ce qui ne va pas pour le moment”, ajoutait le programmateur. Prochaine étape, l’investissement ? La contribution au Web3 ?


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4 commentaires
4 commentaires
  1. Ahah, on touche a son portefeuille et le mec se rend compte qu’il a un 2ème coté à sa veste.
    Venir dire qu’on a besoin d’une monnaie ultra polluante et qui favorise les échanges monaitaire du grand banditisme (trafique d’humains, de drogues, d’armes, etc …) juste parce qu’on t’a bloqué ta carte bleue, on sent le niveau d’engagement du mec envers les injustices et les problèmes de se monde.

  2. Encore les même arguments débiles repris en boucle par des faibles d’esprits. Heureusement que d’autres se battent pour vos libertés parce qu’avec des gens comme vous on serait déjà en dictature.

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