Cette décision avait créé une vraie polémique. OpenSea, la plateforme leader dans le secteur de la vente et d’achat de NFT, a récemment annoncé la mise en place d’une limite dans la gratuité de l’outil de frappe qui permet aux artistes de créer des jetons non-fongibles sans avoir à se soucier des frais. Il deviendrait ainsi payant au bout du cinquantième objet numérique.
Devant le tollé que cette nouvelle stratégie a provoqué, le service a toutefois décidé de faire machine arrière. Mais les explications avancées sur Twitter font l’effet d’une bombe, puisque la plateforme explique qu’une écrasante majorité des œuvres crées sont des fraudes, ou du plagiat.
Œuvres plagiées, fraudes et spam sont monnaie courante
To all the creators in our community impacted by the 50 item limit we added to our free minting tool, we hear you and we're sorry.
We have reversed the decision.
But we also want to offer an explanation ↯ pic.twitter.com/Y3igaE1RM2— OpenSea (@opensea) January 27, 2022
OpenSea explique ainsi dans un long thread :
Chaque décision que nous prenons, nous le faisons avec nos créateurs à l’esprit. Nous avons initialement construit notre contrat de vitrine partagée pour faciliter l’embarquement des créateurs dans l’espace. Cependant, nous avons récemment vu l’utilisation abusive de cette fonctionnalité augmenter de manière exponentielle. Plus de 80 % des articles créés avec cet outil étaient des œuvres plagiées, de fausses collections et du spam.
Ce chiffre effrayant n’est en réalité pas si surprenant. Depuis l’an dernier, il est en effet assez fréquent de tomber sur un artiste en ligne qui se plaint de voir son œuvre plagiée et revendue en NFT. De même, l’engouement pour les jetons non-fongibles donne parfois lieu à de grosses arnaques.
Pour ne citer que quelques exemples, nous étions revenus en décembre dernier sur ce phishing qui a permis de récolter 800 jetons de cryptomonnaie Solana, soit l’équivalent de 150 000 dollars. De même, le vol de la collection Bored Apes d’une valeur de 2,2 millions d’euros, toujours en fin 2021, a profondément marqué les esprits.
Pour l’heure, le problème reste donc entier. À terme, des plateformes comme OpenSea devront en tout cas trouver une solution, si elles veulent conserver la confiance de leurs clients.
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Faut se mettre à jour avant de publier un article par contre. Opensea est revenu sur sa décision.
Bonjour.
Opensea à ouvert sa vitrine pour un inventaire de tout ce qui peut être numérisé, et là par le luxe succédant qu’apporte le NFT, (distinction) comme une expertise globalement confondu du tout est art, cela devient une autre source de spécifications pour mettre à jour la franchise, et l’accès.
Manque à l’avenir une vérification par un engagement personnel à devoir souscrire, posté, et diffusé des objets numérique.
C’est plutôt compliqué, mais pas suffisamment à jour de tout.
Bref, je ne suis pas plus intéressé aux arts, cinéma, numérique, peinture, ni entrepreneur, ni pratiquant, mais parmis toutes ces Nft-isations précipité, il y a déjà une confusion de style, de plasticité. Par ailleurs, il est proposé sur opensea au sujet de Mundi, un certificat d’authenticité ainsi nommé Mundi mardi..
Tapez: yonemag dans recherche.
Une info spéciale parmi les nouvelles, communiqué dans le mille des inventaires.
Opensea devra probablement spécialisé le cheminement de l’Nft-isation, et orienté le tout est art, vers des centaines de Galeries-numeriques.
Plateforme Banque-plastique etc..
Salutationneries..