Fotolia, la place de marché mondiale destinée aux photographes, créée par deux français, Oleg Tscheltzoff et Thibaud Elziere, est probablement l’une des plus belles réussites du Web tricolore, même si la plateforme était devenue depuis plusieurs années internationale, avec un siège à New York et une précédente levée de fonds de 150 millions de dollars auprès du fonds d’investissement américain Kohlberg Kravis Roberts en 2012.
(communiqué de presse)
Dans son communiqué de presse des résultats financiers annuels, Adobe vient d’annoncer
Fondée en 2004 et disposant de bureaux à New York, Paris et Berlin, la société privée Fotolia est détenue par Kohlberg Kravis Roberts & Co. L.P., TA Associates and management. Fotolia est actuellement présente dans 23 pays et possède des sites web dans 14 langues.
J’imagine que les croissants de Thibaud et Oleg ont une saveur toute particulière ce matin…
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Si cela permet à adobe de sortir du marasme ou il est depuis des années , c’est déjà bien!
Adobe ne se contentait pas de pomper le fric des photographe en leur vendant ses produit a prix prohibitif, voila a présent qu’il vont se faire du pognon en presque donnant les photos d’amateurs (les pros ne passeront pas par la pour vendre) alors que toute la profession est en crise
Déjà qu’on se fait voler les photos par la presse et autres site web, si maintenant on leur donne la possibilité d’avoir ça pour quelques miettes légalement, que nous restera-t-il
Ne me dite pas qu’il y a longtemps que cela existe, oui, je le sais, mais si adobe se charge de ça, c’est bien pour en faire la promotion et empirer les choses
Je crois que ça va mieux pour Adobe avec leur suite Créative dans le Cloud, qui génère de gros revenus. S’ils peuvent sortir comme ça 800 millions en cash, cest que ca ne doit pas aller trop mal quand même 🙂
J’en ai assez de lire que des photos sont libres de droit. Ça n’existe pas !!! En français il faut ecrire que les images sont libres de redevance prortionnelle si vous parler de royalty-free.
çà rapporte combien ce genre de deal aux “lumières” qui alimentent (entièrement à leurs frais) ce genre de transnationale de l’image ? Réponse : euh ben rien ! Vont toucher des clopinettes ! Euh ben euh y sont content !