Les clients français de la banque en ligne ING vont devoir se préparer à une réduction drastique des effectifs travaillant pour l’établissement d’origine néerlandaise. Le 8 septembre, sa direction a confirmé qu’elle envisageait un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) qui aura pour conséquence de licencier 517 salariés sur les 680 qui composent actuellement la branche française.
L’année dernière, ING France confirmait une autre rumeur concernant ses agences physiques. La pandémie a fragilisé le modèle bancaire traditionnel et accéléré le déploiement de l’offre 100 % mobile, conduisant à la fermeture de 40 succursales. Ces locaux ne rouvriront pas leurs portes, et viendront s’ajouter à la liste de plus en plus longue d’agences et de points de services où ING opérait encore en 2010 (avec 280 bureaux et 500 points de service).
Quel avenir pour ING France ?
Les doutes pour les clients sont de plus en plus nombreux et la présence même d’ING en France est remise en question. À la mi-juin, comme le rappelle une récente dépêche de Reuters, la banque en ligne lançait une « réflexion stratégique » sur son activité dans l’hexagone. ING a 20 ans d’ancienneté en France, avec un million de clients (cap qu’elle dépassait en 2015).
Face à lui, Boursorama Banque est en plein boom et dépassait récemment les 3 millions de clients, le résultat d’un plan d’investissement massif depuis 2016.
« Ce qui compte pour nous, c’est le nombre de clients qui sont engagés avec ING – et non pas le nombre total de clients. Ce dernier chiffre ne veut pas dire grand-chose, et il est parfois très éloigné de la réalité de la situation. Avoir quelques centaines de milliers de clients en plus – qui n’utiliseraient pas la banque, ce serait bien comme effet d’annonce mais cela n’aurait aucun intérêt pour nous, qui avons besoin de clients qui s’engagent au quotidien », se défendait Frédéric Niel, le directeur de la banque en ligne en France, dans une interview à Presse-citron accordée en septembre 2020.
Les bureaux et le personnel d’ING ne sont pas les seuls problèmes financiers de la banque. Il y a quelques jours, le siège néerlandais évoquait son intention de mettre à terme à « Payvision », une fintech du paiement qu’elle avait racheté en 2018 pour 360 millions d’euros. Le journal Les Echos notait que la société avait été dépréciée de 188 millions d’euros en 2020.
Gold Mastercard gratuite
Black Card disponible
Etranger : 100% gratuit
Excellente ass-vie
80 €
OFFERTS
Conditions :
Frais annuels : 0 € • Dépôt initial : 300 €
Dépôt de chèques : ✔ • Dépôt d'espèces : ✘
Coût mensuel de la carte : 0 €
Retraits zone euro : Gratuits • Paiements zone euro : Gratuits
Retraits en devises : Gratuits • Paiements en devises : Gratuits
Banque la moins chère
Apple Pay, Google Pay
Carte premium gratuite
Prime liée au versement
150 €
OFFERTS
Conditions : - Si le versement est inférieur à 50€ : Prime de 0€ - Si le versement est compris entre 50 et 299€ : Prime de 30€ - Si le versement est au-delà de 300€: Prime de 80€
Frais annuels : 0 € • Dépôt initial : 300 €
Dépôt de chèques : ✔ • Dépôt d'espèces : ✘
Coût mensuel de la carte : 0 €
Retraits zone euro : Gratuits • Paiements zone euro : Gratuits
Retraits en devises : 1,69% • Paiements en devises : Gratuits
Offre gratuite et sans condition
Zéro frais à l'étranger
Meilleur livret d'épargne
Prime : 1€ par mois / 6 mois
80 €
OFFERTS
Conditions : Sans condition de revenus
Frais annuels : 0 € • Dépôt initial : 10 €
Dépôt de chèques : ✔ • Dépôt d'espèces : ✔
Coût mensuel de la carte : 0 €
Retraits zone euro : Gratuits • Paiements zone euro : Gratuits
Retraits en devises : Gratuits • Paiements en devises : Gratuits
📍 Pour ne manquer aucune actualité de Presse-citron, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.