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Essai Audi e-tron Sportback : on a essayé le plus premium des SUV électriques

Sa silhouette de SUV coupé n’est pas sa seule nouveauté. Notre essai de l’e-tron Sportback, dernier fleuron des voitures électriques de la marque aux anneaux.

Audi ne propose pas un, mais deux SUV électriques dans sa gamme depuis la présentation de l’e-tron Sportback. À l’image des X6, GLC, ou Cayenne Coupé, la marque aux anneaux perpétue la mode des SUV Coupé jusque dans sa nouvelle gamme de voitures électriques. Il en découle un modèle à l’allure plus sportive et élancée, malgré un format toujours aussi imposant avec ses 4,90 mètres de longueur. Un gabarit qui ne change pas – ou peu – et qui profite de sa taille pour proposer une chute de toit façon coupé sans même venir déranger les plus grands qui viendraient s’asseoir sur l’une des trois places arrière.

Car oui, comparé à un Tesla Model X, l’e-tron Sportback suit le chemin de son grand frère : elle se limite à cinq places plutôt que sept, et la version coupé du SUV électrique Audi propose toujours un coffre imposant, de 615 litres. Fidèle à certains principes du SUV e-tron classique, cette nouvelle version « Sportback » n’en est pourtant pas totalement héritière.

Notre essai en région parisienne, pour aller découvrir les différentes nouveautés intégrées. L’occasion de faire le point avec Audi sur l’avenir de ses moteurs et de sa production.

Audi e-tron Sportback essai avis
© Presse-citron.net

Mise à jour technologique

Audi n’a pas attendu un restylage de l’e-tron pour sortir l’e-tron Sportback. Mais deux ans après la présentation de la version classique, la nouvelle silhouette profilée du SUV électrique apporte son lot de nouveautés. À commencer par les nouveaux projecteurs digitaux matriciels à LED, qui initient une nouvelle génération d’éclairage chez Audi et la porte vers les feux réellement intelligents. Leur intérêt est de pouvoir étendre l’utilisation des projecteurs à l’affichage de messages au sol (utile notamment dans la navigation), l’évitement des autres conducteurs et piétons pour éviter de les éblouir tout en restant en feux de route, mais aussi des possibilités d’aller éclairer des personnes ou des animaux dans l’obscurité pour attirer l’attention du conducteur.

Pour atteindre de telles possibilités, Audi présente ses « Digital Matrix LED » à travers la conception d’un million de micro-miroirs venant faire dévier la lumière d’un projecteur LED par le biais d’un système de mouvement électrostatique. Ces micro-miroirs, fonctionnant finalement comme des pixels sur un écran, peuvent effectuer jusqu’à 5000 mouvements à la seconde. Lors des essais, un ingénieur en charge de la conception chez Audi déclara : « on serait capable d’afficher un film ». C’est dire.

Audi e-tron Sportback avis habitacle
L’habitacle de l’Audi e-tron Sportback © Presse-citron.net

Dans l’habitacle, Audi fait le pari du numérique sans tomber dans le l’esprit futuriste des premiers modèles électriques. Trois écrans s’offrent devant mes yeux sur mon exemplaire à l’essai, et de série sur toute la gamme. On y retrouve une dalle de 12,3 pouces pour l’instrumentation numérique, dans le Virtual Cockpit d’Audi qui regroupe les compteurs de vitesse, la navigation et l’autonomie estimée du véhicule. Sur la console centrale, deux écrans multimédias à retour haptique. Audi réserve les commandes de climatisation sur l’écran le plus bas, pour garder à porter de main les réglages. Sur le dessus de cette dalle, on apprécie l’espace consacré à ajouter des raccourcis (itinéraire, contact téléphonique, application, etc).

Sur la route avec l’e-tron Sportback

Entrer à bord de l’e-tron, c’est profiter des dernières technologies de la marque, et d’un niveau de conception premium. Mais c’est aussi, dès le départ, profiter d’une position de conduite très bonne, quel que soit notre profil. Pour ma part, avec 1m80, j’apprécie l’instrumentation numérique de la tablette de 12,3 pouces placée derrière le volant. La console centrale, venant bien mieux enveloppée le siège du conducteur à la différence de chez Tesla et de façon moins classique que chez Mercedes, laisse à porter de main l’ensemble des commandes. La vue sur le capot est profitable plus avoir le gabarit en tête, et la rétrovision par la lunette arrière est optimale.

Audi e-tron Sportback affichage tete haute
Un équipement indisponible chez Tesla : l’affichage tête haute, qui participe à l’ergonomie de cet Audi e-tron Sportback © Presse-citron.net

Contact et le silence des deux moteurs électriques rappelle au combien le luxe d’une conduite en ville passe par un modèle zéro émission. À Paris, notre lieu de départ, la voiture se faufile avec une grande agilité dans le trafic grâce à son couple instantané et ses 360 ch. L’e-tron est pratiquement chargée à 100 %. Après quelques tours de roues en ville, en prenant rapidement le périphérique, le compteur rend son premier verdict : j’enregistre une autonomie estimée à 321 km. Encore cinq kilomètres à 70 km/h avant l’autoroute. Puis, un parcours plus rural et sillonné.

Contact et le silence des deux moteurs électriques rappelle au combien le luxe d’une conduite en ville passe par un modèle zéro émission

Sur l’autoroute, un premier constat se confirme : l’Audi e-tron Sportback profite toujours de son double vitrage, un équipement disponible de série sur le haut de gamme et en option à 600 €. Il vient contribuer au silence saisissant de la voiture en réduisant le bruit de roulement alors que les bruits d’air sont déjà très bien gérés. Un excellent point, un luxe supplémentaire rendant l’option obligatoire, quitte à mettre ce prix-là.

Audi e-tron Sportback essai avis
© Presse-citron.net

L’Audi e-tron Sportback est un SUV électrique, et cela se confirme sans surprise sur son poids. Sous le plancher, quelque 750 kg de batterie feront la route avec vous, et contribueront aux 2,5 tonnes à vide de la voiture. Il n’y a qu’à voir sur la pédale de frein, qui manque de sensibilité à notre goût, pour se rendre compte de la masse de l’engin. Car autrement, rien ne laisse vraiment à penser que l’on embarque dans un tel mastodonte. L’Audi e-tron Sportback réussit avec brio l’exercice de la conduite. Agile, son châssis aspire la confiance. La voiture est très bien équilibrée – aidée par la masse rabaissée des batteries sous le plancher – et vire de façon sûre grâce à une suspension pneumatique conjuguant confort et fermeté (les sièges complète le travail).

Dans le détail, tout n’est pas parfait cependant. Déjà, la direction accuse davantage le poids de l’auto à mon goût. Elle n’est pas la plus souple et on y ressent l’inertie de l’engin dans les virages. Mais finalement, ce n’est peut-être pas plus mal pour se rappeler que malgré tout, nous déplaçons un gabarit de près de cinq mètres, haut sur patte, et au poids équivalent à deux Peugeot 308.

Le constat est le même pour la pédale de frein. Audi propose un mode automatique, qui viendra enclencher le freinage regénératif en fonction des données GPS, de la reconnaissance des panneaux, du trafic et des virages. Il est plutôt bon, mais pas assez pointilleux pour ne pas rapidement nous faire passer sur un mode « manuel », différent de ce que l’on peut trouver sur le marché de la voiture électrique. Celui-ci s’articule autour de deux palettes, disposées derrière le volant. Malgré leur connotation, elles ne sont pas là pour passer des vitesses, mais plutôt régler en temps réel le niveau de freinage que l’on souhaite. Le niveau 3, le maximum, permet de ne pratiquement jamais toucher aux freins.

Nous déplaçons un gabarit de près de cinq mètres, haut sur patte, et au poids équivalent à deux Peugeot 308

Audi e-tron Sportback recharge
Audi propose une charge rapide compatible avec le réseau Ionity. Pour cela, une prise Combo est disponible © Presse-citron.net

Une meilleure autonomie

De retour sur l’autoroute après avoir emprunté les tracés vallonnés de la Vallée de Chevreuse. Le temps de faire un premier point sur l’autonomie du véhicule. Lors de nos essais organisés sur la journée, le programme était de parcourir une distance équivalente à l’autonomie de l’e-tron Sportback, de Paris à l’aéroport du Bourget (aller-retour), en passant par de nombreux villages dans les Yvelines. Aucune pose de recharge mais un premier constat : Audi se rapproche des performances de Tesla en matière de batteries.

L’autonomie de l’e-tron Sportback est enregistrée à 446 km en cycle mixte WLTP. Généralement, vous devriez pouvoir en tirer entre 300 et 380 km, là où une Tesla Model X en propose annonce 507 km WLTP mais peut difficilement passer au-delà des 380 km en réalité. La Mercedes EQC s’aligne à quelque chose près, selon notre test de la version EQC 400.

En revanche, l’e-tron Sportback n’est pas qu’une alternative de carrosserie et son arrivée sur le marché a bel et bien marqué une amélioration sur l’autonomie. En plus de l’aérodynamique qui propose un meilleur coefficient de pénétration dans l’air, Audi a travaillé sur plusieurs améliorations pour finalement gagner l’équivalent de 30 kilomètres d’autonomie supplémentaire vis-à-vis de l’e-tron classique. D’abord, il y a la capacité utile des batteries. Sur les 95 kWh de capacité brute, l’Audi e-tron Sportback augmente de 84,7 à 86,5 kWh son exploitation.

Ensuite, le couple de freinage résiduel est moindre, comme le moteur sur le train avant est régulièrement déconnecté de la motricité. Malgré ses deux moteurs pour une transmission intégrale, le nouveau SUV électrique d’Audi est avant tout une propulsion qui active son moteur à l’avant en cas de situation propice (forte accélération, terrain à faible adhérence).

Audi e-tron Sportback essai avis
© Presse-citron.net

Audi profite actuellement du réseau Ionity, un équivalent aux Superchargeurs de Tesla pour pouvoir atteindre des puissances de recharge de l’ordre de 150 kW (80 % récupérés en l’espace de 30 minutes). Autrement, l’e-tron Sportback peut être rechargé sur secteur classique (il faut compter plus de 26 heures pour une recharge complète) et sur bornes des différents réseaux de recharge de 11 à 22 kW (Audi équipe l’e-tron Sportback du câble de recharge s’il n’est pas disponible sur place). On espère qu’à l’avenir la marque déploiera davantage de chargeurs au sein de son réseau de concessionnaires. En reste, Audi propose différentes solutions d’installation de borne de recharge à domicile, notamment une offre pour améliorer l’organisation dans les copropriétés.

Audi e-tron Sportback recharge combo
La trappe de la prise Combo de l’Audi e-tron Sportback se trouve sur le côté gauche. En option, une seconde prise est disponible sur l’aile droite © Presse-citron.net

Des rétroviseurs numériques qui divisent

Audi veut faire de son nouveau e-tron Sportback le porte-étendard de sa nouvelle gamme de véhicules électriques. Et cela passe aussi par l’esthétique. Malgré qu’elle ne diffère pas tant de la gamme thermique (la gamme électrique Audi se distingue en particulier par l’intégration d’une calandre pleine), Audi a intégré pour la première fois des rétroviseurs numériques. Ils se caractérisent par des caméras à la place des « anciens » miroirs, et des branches bien moins discrètes que la nouvelle Honda e, elle aussi équipée d’un tel dispositif.

Audi e-tron Sportback retroviseurs
Loin de vouloir être discrets, les rétroviseurs numériques de l’Audi e-tron Sportback ont attisé la curiosité des passants lors de notre essai © Presse-citron.net

Par ce simple détail (une option à 1 850 € indisponible de série même sur la finition haut de gamme Avus Extended), la voiture se transforme et les passants se retournent fréquemment à son passage, surpris du dispositif aux semblants futuristiques. À l’utilisation, le sentiment fait rapidement place aux difficultés. Il faut se réhabituer à contrôler ses rétroviseurs latéraux. Les écrans des caméras sont intégrés aux portières, donc plus bas que la ligne d’horizon habituel sur lequel nous portons généralement notre regard.

On appréciera les avantages nocturnes et l’angle mort légèrement moindre grâce à l’angle plus important des caméras. En revanche, ce dispositif reste gadget à notre goût, d’autant plus que les dalles numériques font apparaître de dangereux reflets. Étant gaucher et portant ma montre sur le poignet droit, en cas de forte luminosité de jour il m’était presque impossible de contrôler le rétroviseur droit tant le cadran gênait l’affichage.

Il faut se réhabituer à contrôler ses rétroviseurs latéraux

Audi e-tron Sportback avis retroviseurs
À l’usage, les écrans des rétroviseurs numériques demandent un certain temps d’adaptation, durant lequel on est dérangé par leur position trop basse © Presse-citron.net

Au quotidien ?

Le marché des voitures électriques commence à se renforcer. Les constructeurs traditionnels lâchent petit à petit la bouée de l’hybride pour déployer des modèles 100 % électriques à l’usage qui ne se limitent pas à des trajets urbains comme c’était le cas des Renault Zoé et autres Nissan Leaf. Audi fait partie de ces constructeurs en lice de concurrencer Tesla ces prochaines années. Sa stratégie : des voitures loin d’être dépaysantes, reprenant les standing de la marque malgré l’augmentation des coûts de production avec les moteurs et batteries électriques.

Tesla domine toujours le marché sous l’angle des technologies de conduite autonome (même si Volvo n’est pas loin) et en termes d’aspect « tech » avec ses voitures connectées et mise à jour tout au long de leur carrière. Audi, de son côté, fait le pari d’introduire l’électrique sur des modèles qui – à première vue – ne sont pas destinés à résoudre le problème de l’autonomie. Ses deux SUV de plus de deux tonnes sont pourtant stratégiques en venant toucher la clientèle la plus aisée de la marque et ses véhicules auparavant les plus énergivores en essence et diesel.

Audi e-tron Sportback essai avis
Esthétiquement, les modèles électriques Audi ne cherchent pas à être radicalement différents © Presse-citron.net

Au quotidien, l’e-tron Sportback est prête. Son autonomie est suffisante, malgré l’aisance supplémentaire que connaît actuellement Tesla avec son réseau de Superchargeurs. Son habitabilité est optimale et le confort du silence, de la position de conduite et de la suspension pneumatique vient parfaitement se corréler avec le réglage dynamique de l’amortissement, le châssis et le centre de gravité bas de l’auto qui lui procure un faible roulis malgré son gabarit et ses agréments de conduite.

On regrettera que la cinquième place ne soit pas aussi confortable que les deux autres de la seconde rangée

Les rangements sont nombreux et le coffre de l’Audi e-tron Sportback de 615 litres (660 l sur e-tron classique) bat à plate couture Mercedes et les 500 litres de son EQC 400. Sous le capot avant, Audi nous fait du Tesla avec un petit espace supplémentaire permettant particulièrement d’y ranger les câbles de recharge. Enfin, à l’intérieur, la silhouette de coupé ne déroge pas à la hauteur de la garde au toit. Même à l’arrière, les plus grands profils ne seront pas gênés. On regrettera seulement que la cinquième place ne soit pas aussi confortable que les deux autres sur la seconde rangée.

Audi e-tron Sportback avis coffre
En perdant 45 litres, l’Audi e-tron Sportback propose tout de même 615 litres de capacité dans son coffre à double fonds © Presse-citron.net

Le SUV électrique le plus cher ?

Terminons cet essai et avis de l’Audi e-tron électrique en évoquant ses prix et différents tarifs des quatre finitions proposées. La marque aux anneaux majore de 2 600 euros chacune d’elles vis-à-vis de l’e-tron classique, de quoi ramener le prix à 86 800 € pour une Audi e-tron Sportback. En vue des équipements sur cette version (on y trouve le freinage d’urgence autonome, mais ni l’accès et démarrage mains libres ni la caméra de recul). Il faudra davantage compter 96 700 € pour un modèle un minimum équipés, grâce à la finition S Line. Et avec les différentes options ou les équipements proposés sur les finitions Avus et Avus Extended, la majeure partie des e-tron Sportback sur les routes avoisineront ou dépasseront les 100 000 €.

Chez la concurrence, on fait un peu mieux. Mercedes commercialise son EQC à partir de 79 250 €, bien qu’Audi soit bientôt en mesure de pouvoir abaisser son prix de son e-tron Sportback aux alentours de 70 000 € grâce à une nouvelle motorisation moins puissante qui devrait arriver plus tard. Chez Tesla, le prix d’appel est de 96 700 € mais on notera que moins d’options sont proposées faisant de la finition et des prix un ensemble plus honnête sur le papier.

En 2020, l’Audi e-tron Sportback en restera encore qu’un porte-étendard de la gamme électrique. Le modèle possède une clientèle encore très restreinte et seulement 285 exemplaires d’Audi e-tron ont été commercialisés en France en 2020. Pourtant, dans un avenir proche, ce sera grâce à ce genre de véhicules que les marques pourront démocratiser des technologies et en faire profiter des modèles plus accessibles. En reste que désormais, l’avance maintenue par Tesla sur le domaine est rattrapée. Audi compte commercialiser six modèles électrique à l’horizon 2021. E il ne manquera plus que la firme allemande intègre un système de conduite semi-autonome…


Audi e-tron Sportback essai avis
© Presse-citron.net

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Audi e-tron Sportback

86 800 €
8.1

Conduite

8.0/10

Habitacle

9.0/10

Technologies embarquées

9.0/10

Autonomie

7.5/10

Prix / équipements

7.0/10

On aime

  • Position de conduite et ergonomie
  • Finition et assemblage
  • Bien plus silencieuse qu'une Tesla
  • Instrumentation numérique simple
  • D'une agilité déconcertante (malgré le poids et la silhouette)

On aime moins

  • Mode de freinage manuel / auto
  • Rétroviseurs numériques
  • Autonomie encore limitée pour le prix
  • Comptez plutôt 100k€
3 commentaires
3 commentaires
  1. Alors non seulement les constructeurs ne savent plus ce qu’est un véhicule : ça fait des années qu’on appelle coupé des coachs (2 portes, 4 ou 5 places, comme la Cox) mais quand en plus ils appellent coupé un 4 ou 5 portes (Merci Nissan d’avoir créé cette aberration avec la Juke, en tout cas se sont les premiers chez qui j’ai vu cette dénomination… Mais au moins les portes arrières sont déguisées en “non-portes”, il y a eu beaucoup de monde à venir dans la notre en nous demandant comment on entrait à l’arrière) il n’y a personne dans la presse plus ou moins spécialisée (Eric a montré qu’il l’était plus que moins) pour relever la connerie…

    Surtout que là ils n’ont fait aucun effort pour cacher les portes arrières…

    PS, y a un bug sous le commentaire, avec des barres modifiables ou c’est pour vous donner notre appréciation ?

  2. Article mal écrit
    Relisez vous

    Et ça se voit que vous y connaissez pas grand chose en terme de reportage auto avec des non-sens et des termes auto abscons

    Sans compter une synthèse de notes qui ne correspond pas avec vos critiques (exemple : agilité fort bien noté quand vous critiquez -à juste titre- la feignantise du train avant)

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