On peine souvent à avoir des chiffres du côté de Netflix. La plateforme communique sur ses gros succès d’audience comme cela a été le cas récemment pour Murder Mystery. De façon occasionnelle, on a aussi un aperçu du nombre d’abonnés. Il y a quelques mois, la plateforme de vidéo à la demande flirtait ainsi avec les 150 millions d’abonnés payants. Mais, le site comparitech s’est amusé à aller voir dans le détail ou à faire des estimations. Attention les chiffrent donnent le tournis.
Netflix, un géant aux pieds d’acier
Première information, c’est bien dans les pays anglophones que les abonnés payant sont les plus nombreux.
- Etats-Unis : 58,5 millions (666 millions de dollars par mois)
- Australie : 11,3 millions (106 millions de dollars par mois)
- Royaume-Uni : 9,8 millions (92 millions de dollars par mois.
La France ? Elle se trouve à une très honorable 7e position avec 5 millions d’abonnés et 47 millions de dollars de revenus mensuels. Entre les deux, le Brésil, le Canada et l’Allemagne.
On apprend aussi que la répartition des revenus entre les différents pays serait la même (9,43 dollars par abonné). Ce qui signifie que la part d’utilisateurs ayant recours à chaque formule est similaire d’un pays à l’autre. Bien sûr, les chiffres sont lissés, et surtout issus d’une estimation, mais cela permet d’avoir une véritable vision d’ensemble. Seule exception, les États-Unis où ce montant est légèrement supérieur (11,40 dollars).
Depuis le début de l’année, Netflix a annoncé avoir gagné 9,6 millions d’abonnés payants, principalement à l’international. Quand on voit le peu d’abonnés, proportionnellement à leurs populations, que comptent l’Inde, la Russie ou encore la Corée du Sud, on comprend qu’il existe encore un très important potentiel de croissance pour la plateforme.
Toutefois, elle va rapidement devoir faire face à la concurrence de Disney, Apple ou encore Warner Media. Rien ne garantit donc que sa croissance demeurera aussi florissante à l’avenir.
📍 Pour ne manquer aucune actualité de Presse-citron, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.
Suite à votre article sur Meero, je vous invite à faire un tour sur certains groupes facebook dédé à la photo qui en parlent.Ne quelques mots, il en ressort que c’est bien de l’ubérisation du travail de photographe et ensuite les conditions générales sont contraires au droit