Après avoir levé le voile sur deux nouveaux iPad hier, Apple s’attelle à une mise à jour de son iMac avec la sortie de deux nouveaux modèles de 21,5 pouces et 27 pouces. Pour une fois, la marque à la pomme augmente les performances sans toucher au tarif. Hélas, elle ne touche pas non plus au design. Les nouveaux modèles sont déjà disponibles sur l’Apple Store.
Apple est discret… Jusqu’au 25 mars
Depuis 2017, Apple n’avait pas fait évoluer sa gamme d’iMac, si bien que l’on pouvait rêver à une mise à jour plus conséquente que celle dévoilée en catimini ce jour par la marque à la pomme. En effet, cette dernière a seulement fait évoluer les processeurs et les cartes graphiques. Pour ce qui est des tarifs et du design, ces deux caractéristiques n’évoluent pas et restent similaires au précédent modèle.
En conséquence, l’iMac de 21,5 pouces embarque un écran Retina 4K et est commercialisé des 1 499 euros, là où l’iMac Retina 5K de 27 pouces est accessible dès la bagatelle de 2 099 euros.
Concernant le premier iMac 21,5 pouces d’Apple, la version à 1 499 euros dispose d’un Core i3 quatre cœurs (8e gen), de 8 à 32 Go de RAM, et 1 To de disque dur. La seconde version à 1 699 pouces se dote d’un processeur iCore 5 six coeurs, de 8 à 32 Go de RAM et d’un Fusion Drive 1 To. Les cartes graphiques sont des Radeon Pro 555X ou Radeon Pro 560X.
Pour ce qui est des iMac de 27 pouces, ce sont trois versions qui sont désormais en vente sur le site officiel d’Apple. La première embarque un Core i5 six cœurs, 8 à 32 Go de RAM et un Fusion Drive 1 To, le tout pour 2 099 euros. À 2 299 euros, la seconde se dote d’un Core i5 six coeurs, 8 à 64 Go de RAM et un Fusion Drive 1 To. La dernière version dispose d’un Core i5 six coeurs, 8 à 64 Go de RAM et un Fusion Drive 2 To. Quant aux cartes graphiques, il s’agit respectivement des Radeon Pro 570X, Pro 575X et Pro 580X.
Si Apple se veut discrète avec ces nouveaux iMac, elle le sera certainement moins le 25 mars, date à laquelle elle compte lever le voile sur son nouveau service de streaming. Celui-ci est particulièrement, car il devra se frotter non seulement à Netflix -leader du marché-, mais aussi Disney, dont la plateforme est attendue pour la fin de l’année, du moins aux États-Unis.
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