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Une étude N26 montre l’un des principaux problèmes de la banque

Un résultat clair : seulement 27 % des consommateurs en Europe et aux États-Unis ont le sentiment de contrôler leurs dépenses.

Dans une note de blog, la néo-banque N26 a publié les résultats d’une étude réalisée sur plus de 10 000 personnes à travers l’Europe et les États-Unis. Baptisée « Big Banking Chat », cette discussion autour de la banque visait à pointer du doigt les problèmes majeurs que les clients continuent de rencontrer avec leur banque respective.

Sur les consommateurs questionnés, seulement 27 % d’entre eux ont exprimé leur sentiment d’avoir le contrôle sur leurs finances, de quoi montrer l’un des principaux problèmes de la banque autour de la transparence, de la simplicité et de la rapidité de ses outils mis à disposition des clients pour gérer leur argent.

De façon plus délicate, 15 % des répondeurs ont dit se sentir dépassés par leur situation financière. L’étude N26 évoquait également plusieurs réponses des plus populaires, tournant autour du stress et de l’inquiétude des consommateurs, en partie aidé par ces plusieurs défauts qui continuent de disqualifier les banques traditionnelles face à certaines banques en ligne et néo-banque.

Un coup d’œil sur le marché américain

L’étude de la néo-banque allemande fut l’occasion d’en apprendre plus sur les différences entre les attitudes des clients américains et européens. Pour rappel, N26 est arrivé sur le sol du Nouveau Continent en août 2019, et prétendait avoir rassemblé pas moins de 250 000 clients selon ses données actualisées en février dernier.

Pendant cette crise sanitaire qui affecte aussi le paysage fintech et les banques mobiles, N26 a montré que malgré ce que l’on pourrait penser, les clients américains sont plus à même d’épargner. Le client N26 moyen aux États-Unis économise 220 dollars en fin de mois, contre 177 € (192 $) pour le client N26 moyen en Europe. La situation, bien qu’exceptionnelle, possède de lourdes conséquences sur les revenus de l’établissement de paiement, qui voit un creux dans ce manque d’utilisation des cartes de leurs clients, indispensables pour que la néo-banque puisse toucher une commission sur chaque transaction.

Forcément, l’étude mise en place par la néo-banque vise à promouvoir les outils statistiques proposés par la banque challenger dans son offre de compte bancaire N26. Mais il faut savoir que les offres de N26 sont en concurrence directe avec celles de Revolut. Les néo-banque anglaise et germanique ont un produit de base commun, mais tous les deux ont pris des chemins légèrement différents. Pour vous faire un avis sur la question, nous vous conseillons d’aller lire notre comparatif N26 vs Revolut.

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1 commentaire
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  1. Il sert à rien cet article en vrai. Étant client des deux banques en questions, je reste sur ma faim après avoir lu cet article.

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