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Conduite autonome : Tesla doit obtenir cette pièce manquante

Un élément indispensable que le constructeur n’assume pas totalement.

« C’est pratiquement une affaire conclue », s’accordaient à dire des sources interrogées par le Korea Economic Daily. D’ici peu, Tesla devrait en finir avec ses pourparlers avec Samsung pour la production de sa future puce électronique en voie d’équiper les modèles du constructeur, pour leur conduite autonome.

Les rumeurs avancent que le nouveau microprocesseur gravé en 5 ou 7 nm ferait son arrivée sur le futur Cybertruck. Mais derrière lui, le projet bien plus large d’introduire « Self Driving Computer 2 », la deuxième itération du « FSD », le nom donné à l’ordinateur de bord installé dans les modèles de la marque.

Un élément indispensable ?

Elon Musk, le patron de Tesla, avait commencé à évoquer ce nouveau matériel lors du Tesla AI Day, son rendez-vous spécialement dédié aux sujets liés à l’intelligence artificielle en août. L’entrepreneur s’était montré flou quant à la nécessité de renouveler le matériel pour supporter la conduite autonome.

En continuant à affirmer que les Tesla actuelles possédaient tous les composants prêts à la conduite autonome, il garantissait que le nouveau FSD 2 sera indispensable pour augmenter l’écart encore la sécurité d’une conduite autonome et d’une conduite humaine, à l’avantage de la machine.

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« De toute évidence, il y aura un Hardware 4 ou un Self Driving Computer 2, que nous introduirons probablement avec le Cybertruck dans environ un an. Il sera environ 4 fois plus performant », commentait Elon Musk le mois dernier. L’actuel FSD a été commercialisé au début de l’année 2019.

Or selon Tesla, depuis 2016, l’ensemble de ses modèles possèdent les composants technologiques pour accueillir un mode de conduite 100 % autonome. À ce moment, l’ordinateur de bord reposait sur un composant fourni par NVIDIA. Tesla s’était ensuite rapproché de Samsung pour développer sa première itération du FSD.

Partenariat colossal

En tout cas, les discussions seraient bien avancées avec Samsung pour la conception et la production du futur semi-conducteur à bord. D’ailleurs, la puce électronique n’est pas le seul élément sur lequel Tesla fait appel à Samsung.

Début juillet, nous apprenions que le futur Cybertruck pourrait s’équiper de rétroviseurs conçus par le fournisseur sud-coréen. Le pick-up posséderait donc des caméras à la place des miroirs classiques, en plus de huit caméras comme sur les modèles actuels (pour la sécurité et le mode Autopilot).

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